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- Né le 10 septembre 1883 (lundi)
- Décédé le 20 mai 1963 (lundi) - PARIS VII 75,à l'âge de 79 ans
- Romancier, poète, essayiste, historien d'art
Parents
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Union(s) et enfant(s)
- Marié le 13 octobre 1920 (mercredi), PARIS XVII 75, avec Frédérique WEBER ca 1895- (voir note)dont
- Geneviève VAUDOYER ca 1921
- Daphné VAUDOYER ca 1923
Fratrie
- Marianne VAUDOYER 1880-1968 Mariée le 21 novembre 1898 (lundi) avecDaniel HALÉVY 1872-1962
- Jean Louis VAUDOYER, Académie Française 1883-1963 Marié le 13 octobre 1920 (mercredi), PARIS XVII 75, avecFrédérique WEBER ca 1895-
Grands parents paternels, oncles et tantes
- Léon VAUDOYER, Architecte 1803-1872(1860)
- Marie Anne BULKLEY 1809-1863
- Alfred VAUDOYER, Architecte 1846-1917
- Léon VAUDOYER, Architecte 1803-1872(1869)
- M Joséphine Clémence MIRA 1833-
- Marie Anne BULKLEY 1809-1863
- (1833) Antoine BOUWENS VAN DER BOIJEN ca 1803-
- William BOUWENS VAN DER BOIJEN 1834-1907
- Marie Anne BOUWENS VAN DER BOIJEN 1839-1862
1, 2(1880) 2enfants |
(1861) 3enfants |
(1861) 1enfant |
Grands parents maternels, oncles et tantes
- Louis Henri Antoine BRETON 1817-1883(1844)
- Zélime Octavie Eugénie AUZAT
- Geneviève BRETON 1849-1918
(1880) 2enfants |
Notes
Notes individuelles
Issu d'une lignée d'architectes, petit-fils d'un membre de l'Institut, à qui l'on doit la coupole de l'Académie, Jean-Louis Vaudoyer fut très tôt porté vers les arts, et devint attaché libre au musée des Arts décoratifs, avant d'être nommé conservateur du musée Carnavalet.
C'est comme critique d'art et écrivain qu'il acquit sa notoriété auprès du grand public, collaborant à L'Écho de Paris ainsi qu'à plusieurs revues.
Auteur de romans et poèmes, plus proche dans sa manière de l'impressionnisme que du réalisme, Jean-Louis Vaudoyer, beau-frère de Daniel Halévy, disciple et ami d'Henri de Régnier qu'il retrouvait souvent à Venise, a laissé une oeuvre, où voisinent romans, poèmes et essais, et dans laquelle on retiendra : L'Amour masqué (1908), Suzanne et l'Italie (1909), La Bien-aimée (1909), La Maîtresse et l'amie (1912), Poésies (1913), Les Papiers de Cléonthe (1919), L'Album italien (1922), La Reine évanouie (1923), Les Délices de l'Italie (1924), Raymonde Mangematin (1925), Beautés de la Provence (1926), Rayons croisés (1928), Franges (1938), Peintres provençaux (1947), L'Italie retrouvée (1950), La Sicile (1958).
S'il lui fut reproché par certains d'avoir accepté d'être administrateur de la Comédie française pendant l'Occupation, tout le monde s'accorda pour reconnaître qu'il avait assumé la fonction dans une période particulièrement difficile avec efficacité et dignité.
Le terme d'élégance le définissait, et Maurice Martin du Gard le décrit dans ses Mémorables dans les termes suivants : « Une politesse égale, sans flatterie, point de masque, c'est l'honnête homme, le Français classique qui rend aimable la rectitude, séduisant le scrupule, plaît par une harmonieuse alliance de la bonne grâce et du bon sens ; esprit libre, ardent, mais sans délire, réglé et voluptueux... »
Grand prix de littérature de l'Académie française en 1928, Jean-Louis Vaudoyer, fut élu le 12 janvier 1950 au fauteuil d'Edmond Jaloux, par 21 voix au second tour, contre 7 au duc de Lévis Mirepoix. C'est Émile Henriot qui le reçut, le 22 juin 1950.
Commandeur de la Légion d'honneur.
Croix de guerre 1914-1918.
Notes concernant l'union
Photos & documents
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Aperçu de l'arbre
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Section Beaux-Arts : Elève=Fils élevé, et Pèrenourricier=Maître
Légion d'Honneur : Parrain demandé et qui accepte= Père nourricier
"sous les ordres de X.X." pour un Militaire,X.X.= Père nourricier
Bonus*** Gratuit : Les Ancêtres du petit chat Kipic.