Sosa :8 824
Bout de branche PRIOU (MOREAU)

  • Né vers 1585
  • Décédé

 Union(s) et enfant(s)

 Notes

Notes individuelles

Gaudin Diminutif (suffixe -IN) du nom de personne d'origine germanique Gaud (Waldo = qui gouverne). Nom surtout porté dans l'Ouest (35, 44, 85). Voir aussi Godin pour une autre possibilité.

Godin Variante de Gaudin (voir ce nom) ou plutôt nom de personne formé sur la racine germanique god (= dieu). Nom surtout porté dans le Nord-Pas-de-Calais et les départements voisins, ainsi qu'en Belgique. Variantes : Goddin, Goddyn, Godyn, Godyns.

Dates maxi des registres Paroissiaux :

M 1648
B 1624
D 1642

Tables de l'AGV :
HAUTE GOULAINE [Loire-Atlantique]
b (1624-1928)
m (1646-1933)
d (1644-1958)
Haute-Goulaine (Hautt-Goleinn en gallo) est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.
Historiquement, c'est une commune de Bretagne, située dans le Pays nantais (pays historique) et dans le Vignoble nantais (pays traditionnel).
Situation [modifier]
Haute-Goulaine est situé à 10 km au sud-est de Nantes (centre).
Les communes limitrophes sont Saint-Julien-de-Concelles, Le Loroux-Bottereau, La Chapelle-Heulin, La Haie-Fouassière, Vertou et Basse-Goulaine.
Selon le classement établi par líINSEE, Haute-Goulaine est une commune urbaine, une des 19 communes de banlieue de líunité urbaine de Nantes ; elle fait donc partie de líaire urbaine de Nantes et de líespace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).
Histoire [modifier]
Le nom Haute-Goulaine vient de la rivière la Goulaine et de la position du village en amont de la rivière par rapport à Basse-Goulaine en aval.
Moyen Âge [modifier]
Au VIe siècle, est édifiée une chapelle dédiée à saint Martin de Vertou, un disciple de saint Félix, évêque de Nantes de 550 à 583. Une trève (paroisse secondaire), à l'origine sous le patronage de sainte Radegonde, est probablement créée à la mêmeépoque.
La paroisse de Goulaine est fondée entre le XIIe et le XIIIe siècle : elle inclut d'abord Haute-Goulaine et Basse-Goulaine, qui ne sont distinguées qu'à partir de 1287.
L'histoire de la commune de Haute-Goulaine se confond avec celle de la famille de Goulaine (Marcis de Goulaine vit au XIIe siècle). Au XIVe siècle, Jean II de Goulaine obtient le droit de créer une foire le jour de la Saint-Martin.
Temps modernes [modifier]
Henri IV de France (roi de 1589 à 1610) érige la seigneurie de Goulaine en marquisat en faveur de Gabriel de Goulaine, époux de Marguerite de Bretagne. En 1788, Les terres et le château de Goulaine, propriété de Jean de Baille Hache, marquis de Goulaine, sont achetés par Piter Deurbroucq, un armateur et négociant nantais d'origine hollandaise.
Au XVIIe siècle, le manoir des Cléons, situé sur le territoire de Haute-Goulaine, appartient à Madame de Sévigné.
On mentionne plusieurs familles nobles : les de La Forêt d'Armaille (aux Montys-Férusseaux), les Bachelier de Bercy (au Carteron), les Mosnier de Thouaré, Bougrenet de La Tocnaye, puis du Boisguéhéneuc (à la Rabillardière), les du Boisguéhéneuc (à La Châtaigneraie). A noter que le Carteron est acquis par la suite par la famille Douault (riches armateurs et planteurs déjà propriétaires de l'Hôtel d'Aux, place Louis XVI à Nantes) et les Montys-Férusseaux sont acquis par la famille Thébaud ou Thébaut (négociants nantais).
En 1793, les insurgés vendéens établissent un camp aux Cléons et un autre à La Loué.
Liste non exhaustive des recteurs de la paroisse de Haute-Goulaine : Etienne Godard, Pierre Douet, Guyot, Bouyer, Jean Béconnais, Cousin, Curet, Mercier, François Guinel, Pierre Ménard, ...
A REPORTER DANS LA PARTIE "ADMINISTRATION" Liste non exhaustive des maires de la commune de Haute-Goulaine : Janeau (jusqu'en 1807, avec comme adjoint du Perrier), Pierre Douault (1807-1810), Claude David (1810-1815), De Coussy (1815-1817), Pierre Etaise (1817 à 1825), François Scheult (1825-1830), de Lepré, Pierre Brelet (1835-1842), Jean Cremet (1843-1849), René Héron (1849-1855), Henri Leroux (1855-1870), Bougrenet de La Tocnaye (à partir de 1870), Pierre Arnaud, PierreGodefroy, Pierre Brossaud, Elie Bardoul (1892-1912), Ö À signaler quelques gardes-champêtres : Pierre Jamoneau (à partir de 1845), René Buisson, François Mougenot de 1866 à 1871, Mathurin Leray, Théophile Maltête, Joseph Maltête.
Époque contemporaine [modifier]
Le 22 octobre 1941, six des 16 otages fusillés à Nantes suite à l'attentat contre Karl Hotz sont inhumés dans le cimetière de Haute-Goulaine[1].
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de HAUTE-GOULAINE
Haute-Goulaine vient de la rivière la Goulaine et de sa position topographique.
Au VIème siècle, est édifiée une chapelle dédiée à saint Martin (de Vertou), disciple de saint Félix (évêque de Nantes de 550 à 583). La paroisse ou trève, qui est à l'origine sous le patronage de sainte Radegonde, date certainement de la même époque.
La paroisse de Goulaine est fondée entre le XIIème et le XIIIème siècle. Ce n'est qu'à partir de 1287 que l'on distingue les deux paroisses de Goulaine (Basse-Goulaine et Haute-Goulaine).
L'histoire de la commune de Haute-Goulaine se confond avec celle de la famille Goulaine (Marcis de Goulaine vit au XIIème siècle). Au XIVème siècle, Jean II de Goulaine obtient le droit de créer une foire le jour de la Saint-Martin. C'est en faveurde Gabriel de Goulaine (époux de Marguerite de Bretagne) qu'Henri IV érige la seigneurie de Goulaine en marquisat. Au XVIIème siècle, le manoir des Cléons, situé sur le territoire de Haute-Goulaine, appartient à Mme de Sévigné (née de Rabutin-Chantal). Les terres et le château de Goulaine appartenant à Jean de Baille Hache, marquis de Goulaine, sont achetés en 1788 par Piter Deurbroucq (armateur et négociant d'origine hollandaise).
Les vendéens établissent un camp aux Cléons et un autre à La Loué.
Note 1 : on mentionne plusieurs familles nobles : les de La Forêt d'Armaille (aux Montys-Férusseaux), les Bachelier de Bercy (au Carteron), les Mosnier de Thouaré, Bougrenet de La Tocnaye, puis du Boisguéhéneuc (à la Rabillardière), les du Boisguéhéneuc (à La Châtaigneraie). A noter que Le Carteron est acquis par la suite par la famille Douault (riches armateurs et planteurs déjà propriétaires de l'Hôtel d'Aux, place Louis XVI à Nantes) et les Montys-Férusseaux sont acquis par la famille Thébaud ou Thébaut (négociants nantais).
Note 2 : liste non exhaustive des maires de la commune de Haute-Goulaine : Janeau (jusqu'en 1807, avec comme adjoint du Perrier), Pierre Douault (1807-1810), Claude David (1810-1815), De Coussy (1815-1817), Pierre Etaise (1817 à 1825), Fran?cois Scheult (1825-1830), de Lepré, Pierre Brelet (1835-1842), Jean Cremet (1843-1849), René Héron (1849-1855), Henri Leroux (1855-1870), Bougrenet de La Tocnaye (à partir de 1870), Pierre Arnaud, Pierre Godefroy, Pierre Brossaud, Elie Bardoul (1892-1912), .... A signaler quelques gardes-champêtres : Pierre Jamoneau (à partir de 1845), René Buisson, François Mougenot de 1866 à 1871, Mathurin Leray, Théophile Maltête, Joseph Maltête.
Note 3 : liste non exhaustive des recteurs de la paroisse de Haute-Goulaine : Etienne Godard, Pierre Douet, Guyot, Bouyer, Jean Béconnais, Cousin, Curet, Mercier, François Guinel, Pierre Ménard, ...

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