Bout de Branche 44 FORGETEAU (LE BIGNON 44)
Bout de Branche 44 FORGETEAU (LE BIGNON 44)
Bout de branche PRIOU (CORBINEAU)

  • Né vers 1600
  • Décédé
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 Union(s) et enfant(s)

 Notes

Notes individuelles

Dates maxi des registres Paroissiaux :

M 1668
B 1668
D 1668

Tables de l'AGV :
LE BIGNON [Loire-Atlantique]
b (1635-1921)
m (1617-1932)
d (1585-1959)
Le Bignon est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.
L'origine du nom serait gauloise. Ce serait Bugna, tronc ou ruche, ou bien Bunia , une source.
Le Bignon est situé à 16 km au sud de Nantes, au départ de l'autoroute A83 Nantes-Niort, qui permet de rejoindre l'autoroute A10, Paris-Bordeaux.
Les communes limitrophes sont, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, Vertou au nord, Les Sorinières, Pont-Saint-Martin, La Chevrolière, Geneston, Montbert et Château-Thébaud.
Selon le classement établi par líINSEE en 1999, Le Bignon est une commune rurale monopolarisée qui fait partie de líaire urbaine de Nantes et de líespace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).
Histoire [modifier]
Un micro toponyme "la fontaine aux fées", plus officiellement appelé "la fontaine aux moines", atteste depuis la 1re moitié du XVIIe le souvenir d'un plausible culte aux divinités des eaux jaillissantes (ou/et des bois), culte qui auraitpu être à l'origine même de l'agglomération. [1]
Des pierres polies ont été trouvées en plusieurs lieux de la commune, indiquant une occupation dès le néolithique. Près du village du Landreau, un micro-toponyme Tombelaine fait peut-être référence à un tombeau celtique. Le site duSilureday (ancienSilevreda) a livré un habitat de l'âge du fer.
Au Moyen-Âge, la châtellenie de Touffou commande l'accès sud de Nantes : elle est l'une des forteresses qui protègent la frontière du duché de Bretagne. Elle est démantelée sous Louis XIII.
En 1788, la paroisse du Bignon compte environ 2000 âmes.[2]
Le 18 mai 1794, le général Crouzat, commandant le poste de Roulière, écrit à son chef : "...la patrouille de grenadiers que j'avais envoyés hier en avant du camp m'a rapporté qu'il y avait encore des habitants dans le village du Bignon, et que ce village n'était pas brûlé ! J'ai en conséquence fait partir ce matin, à 2 heures précises un bataillon et 8 chasseurs pour aller brûler ledit village, ce qui a été exécuté. Les fours ont été détruits, le feu a étémis aux moulins...".[3]
Le 31 mai 1865, son démembrement a donné naissance à la commune des Sorinières.
En 1914, 327 bignonais partiront au front, pour une bonne part aux 64e, 264e et 65e régiments d'infanterie. 83 d'entre eux ne reviendront pas.

  Photos & documents

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