Bout de Branche 44 PABON (LA CHAPELLE BASSE MER 44)
Bout de Branche 44 PABON (LA CHAPELLE BASSE MER 44)
Bout de branche PRIOU (FARINEAU)

  • Né vers 1605
  • Décédé
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 Union(s) et enfant(s)

 Notes

Notes individuelles

Dates maxi des registres Paroissiaux :

M 1566
B 1520
D 1666

Tables de l'AGV :
LA CHAPELLE BASSE MER [Loire-Atlantique]
b (1570-1932)
m (1558-1906)
d (1608-1959)
La Chapelle-Basse-Mer est une commune française du département de Loire-Atlantique, dans la région des Pays de la Loire. Elle est située sur un plateau surplombant la vallée alluvionnaire.
Situation [modifier]
La Chapelle-Basse-Mer est située sur la rive sud de la Loire, à environ :
? 18 km à l'est de Nantes (44) ;
? 50 km au nord-ouest de Cholet (49) ;
? 80 km au sud-ouest d'Angers (49).
Elle s'étend jusqu'à la rivière Divatte, limite départementale de la Loire-Atlantique et du Maine-et-Loire.
Les communes limitrophes de La Chapelle-Basse-Mer sont, en Loire Atlantique :
? Barbechat (Communauté de Communes Loire-Divatte) ;
? Le Loroux-Bottereau (Communauté de Communes Loire-Divatte) ;
? Saint-Julien-de-Concelles (Communauté de Communes Loire-Divatte) ;
? Mauves-sur-Loire (Nantes Métropole).
? et, en Maine-et-Loire, La Varenne (Communauté de communes Canton de Champtoceaux) .
Selon le classement établi par líINSEE en 1999, La Chapelle-Basse-Mer est une commune rurale monopolarisée qui fait partie de líaire urbaine de Nantes et de líespace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).
Géographie humaine [modifier]
Voies de communication
La commune se situe, en voiture, à environ :
? 10 min de la Porte du vignoble (périphérique Nantais) ;
? 15 min de la voie rapide N249 (Nantes-Cholet) ;
? 20 min de l'autoroute A11 (Nantes-Paris) ;
? 20 min de la gare SNCF de Nantes ;
? et 25 min de l'aéroport international Nantes-Atlantique.
Histoire [modifier]
On ne peut retrouver aucun renseignement sur l'histoire de La Chapelle Basse-Mer avant le XIe siècle.
Pendant les XIe, XIIe et XIIIe siècles, ce fut le régime de la féodalité ; à ce moment là, la Chapelle appartenait au Duché de Bretagne.
À la mort de Jean II de Montfort, duc de Bretagne, commencèrent les tourments pour la Paroisse, une guerre de succession longue d'un quart de siècle éclate entre la Maison des Montfort et celle de Blois. Le traité de Guérande y mit finen 1363 et les Montfort reprirent leurs possessions ; seulement, Blois ne renonce pas à ses prétentions, celles-ci refirent surface avec Margot la Boiteuse, fille d'Olivier de Clisson et épouse de Jean de Blais. C'est par elle que la Chapelle intervint : elle était, en effet, la châtelaine d'un village appelé l'Epine Gaudin ; après plusieurs batailles sanglantes, elle fut obligée de se rendre et son château fut détruit. Malheureusement, la Chapelle fut terriblement éprouvée lors de ce conflit.
Un siècle plus tard, les guerres de religions amenèrent une misère pitoyable chez les Chapelains. Le Roi Henri et son ministre, Sully, ramenèrent l'ordre et la paix. Mais les soldats protestants, toujours agressifs, restaient à la charge des habitants et constituaient une lourde charge. C'est pourquoi un seigneur de la Chapelle demanda à la Régente Anne d'Autriche que ces soldats ne soient plus à leur charge, requête accordée.
Peu à peu l'effervescence se calma et la paix régna jusqu'à la révolution. Pendant cette crise, la Chapelle et les environs se joignirent à la Vendée pour sauver leur foi menacée. Là s'arrête l'histoire connue de La Chapelle-Basse-Mer.
Origine du nom [modifier]
Le nom de La Chapelle-Basse-Mer ne vient pas du mot mer, car jusqu'à la Révolution de 1789, son nom s'écrit Chapelle-Bassemere.
Capa, en latin désigne un lieu où est déposée une ´ chape a, mot qui peut lui-même désigner le manteau de Saint Martin ou d'autres reliques. En l'occurrence, la relique locale était un morceau du voile de la Vierge qui disparût en 1793 et fut remplacée en 1839 par une autre relique prélevée sur celles de la cathédrale de Chartres.
Le mot ´ chapelle a désigne, vers le Xe siècle les agglomérations s'étendant autour d'un édifice contenant une relique. Le mot capella apparaît localement dans une charte vers 1050.
D'autre part, Bassemere s'écrit Batsameri dans un texte latin en 1115 et Batsamere en 1140, et se réfère très probablement à un seigneur du lieu, d'autant plus qu'on connaît une charte datée de 1084 qui fait intervenir un nommé Batsamerus dont Batsameri est le génitif. Il faudrait donc comprendre : ´ Chapelle de Batsamere a.
Cette origine du toponyme est confirmée par une tradition, mise par écrit au XVIIe siècle, qui fixe l'origine du bourg aux défrichements importants des Xe et XIIe siècles.

  Photos & documents

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