Sosa :432
  • Né le 25 août 1735 - Eglise Notre Dame - Poissy, 78300, Yvelines, Île-de-France, FRANCE
  • Décédé le 7 mars 1804 - 13 rue Vertbois - Paris 3e, 75003, Paris, Île-de-France, FRANCE,à l'âge de 68 ans
  • Passementier - Galonnier

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Fratrie

  • H sosa Vincent Mathieu II CHABERT 1735-1804 Marié le 10 juillet 1754, Saint Nizier - Lyon, 69000, Rhônes, Rhône-Alpes, FRANCE, avecMarie HENIN †1767..1769
    Vincent Mathieu II CHABERT 1735-1804 Marié le 6 août 1769, Eglise-Saint-Pierre-Saint Saturnin - Lyon, 69000, Rhônes, Rhône-Alpes, FRANCE, avecsosa Marguerite Madelaine MAGNY †1804/
  • H Pierre CHABERT ca 1742-1793/
  • H Jean Marie CHABERT 1745-1793/

 Présences lors d'événements

  • 1771 (présent, Père): résidence de sosa Vincent Mathieu II CHABERT 1735-1804
  • 1772 (présent, Père): résidence de sosa Vincent Mathieu II CHABERT 1735-1804
  • 1774 (présent, Père): résidence de sosa Vincent Mathieu II CHABERT 1735-1804
  • 1780 (présent, Père): résidence de sosa "Jean" Marie CHABERT 1780-1864
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 Événements


 Notes

Notes individuelles

Relie avec: François Vincent CHABERT (1760-)2 ROLE Other , François Vincent est-il le fils de Vincent Mathieu II ???

Profession: (Source: Généalogie de Brigitte HUA (baa) - cousine généalogique - http://www.geneanet.org/profil/baa/Brigitte-Hua - Généanet - )
Passementier
Généalogie de Brigitte HUA (http://gw.geneanet.org/baa?lang=fr&iz=0&p=vincent+mathieu&n=chabert)
Source : Monographie de la famille Chabert par Hubert Tourret

Au moment de leur mariage, Vincent Mathieu habite rue Bonneveau, sur la paroisse Saint-Nizier, et Marguerite Magdeleine rue Luiserne, sur la paroisse Saint-Pierre de Lyon. Les témoins du mariage pratiquent des métiers en rapport avec le travail desétoffes : passementier et calandrier. Avant que la cérémonie ne soit célébrée, un contrat de mariage a été signé le 25 juin 1769, devant Me Chapelon notaire à Lyon. Celui-ci prévoit la non-communauté des biens ; il est motivé sans doute par la nécessité de préserver les droits des enfants nés du premier mariage de Vincent Mathieu car ce que possèdent les futurs époux n'incite guère à faire la dépense d'un contrat : ils ne possèdent que quarante livres à eux deux.

Le ménage s'installe à Lyon, paroisse Saint-Nizier, située entre Saône et Rhône, mi-chemin entre le quartier de la Croix-Rousse et la place Bellecour. Il aura sur place trois enfants du second lit, alors que le père est devenu maître-passementier (Est "maître" celui qui a plusieurs ouvriers ou artisans sous son autorité. Le calandrage consiste à faire passer un papier ou une étoffe entre deux rouleaux, métallique pour l'un et caoutchouté pour l'autre, le lustre et le lisse en lui donnant un aspect satiné)

En 1775, le ménage décide de monter à Paris, où le restant de la famille Chabert est déjà installé depuis 15 ans ; il se pose dans le quartier traditionnel des artisans travaillant les étoffes et celui du commerce de gros des vêtements. On retrouveVincent Mathieu sur les fiches de sûreté de Paris de 1793. Sa fiche, établie le 2 prairial de l'An 1 (21 mai 1793), indique : "Vincent Mathieu CHABERT, galonnier, 58 ans, habitant 13 rue du Vertbois*, venant de la rue du Faubourg-Saint-Martin**, est à Paris depuis 1775 ; né à Poissy, Seine et Oise. A signé sa fiche. "

  • Entre la rue de Turbigo et la rue Saint-Martin, dans le 3 arrondissement.
    • Tout près de la rue du Vertbois, de l'autre côté des Grands Boulevards.
      Il naîtra encore à Paris au moins un autre enfant du deuxième lit : Jean-Marie
      -
      A son décès, à 69 ans, le 16 ventôse de l'An XII (7 mars 1804), au 13 de la rue du Vertbois, Vincent Mathieu II n'a que quatre enfants vivants pour recueillir sa succession : trois filles et un fils, Jean-Marie, qui va épouser quelques semaines plus tard Agathe JARRE. Il laisse une bien petite fortune puisque le total de ses biens est estimé à 339 francs. C'est sa veuve qui le déclare à l'Enregistrement ; cette administration réclame aux héritiers les droits (déjà!) sur la succession, droitsqui se montent à 85 centimes. Elle devra faire deux rappels pour arriver à se faire payer son dû. Les héritiers, peut-être désargentés, l'auront fait patienter plus de huit mois ! On ne sait pas si la veuve était plus riche que ses enfants ; on n'a pas retrouvé trace de sa succession (le ménage n'était pas commun de biens).






      Généalogie de Brigitte HUA (sur la page de Jean, le frère de Vincent Mathieu : http://gw.geneanet.org/baa?lang=fr&iz=0&p=jean&n=chabert&oc=2)
      Source : Monographie de la famille Chabert par Hubert Tourret

      On trouve aussi, dans le fichier des cartes de sûreté, deux autres CHABERT pour lesquels la filiation est moins évidente ; on ne peut que faire des suppositions sans leur attribuer un numéro :
      François Vincent CHABERT, né en 1756, orfèvre, parisien depuis l'origine, habitant au 55 de la rue du Vertbois (qui est aussi la rue où demeure Vincent Mathieu II, au n° 13). Comme il porte en plus le prénom de Vincent, ces détails laissent penser qu'il pourrait être un des frères nettement plus jeune de Vincent Mathieu II (il y a 21 ans d'écart), ou un neveu

      [Commentaire de Brigitte HUA : probablement pas un fils, car Vincent Mathieu II n'est monté à la capitale qu'en 1775, à moins que ce dernier ne se soit marié très tôt, ait habité un temps Paris et y ait eu un fils très tôt également... avant de revenir à Lyon épouser Marie Magdeleine Magny, puis de retourner à Paris... Cela fait quand même beaucoup de suppositions !
      Vincent Nicolas CHABERT, né en 1760, parisien lui aussi depuis l'origine ; il habite au 42 de la rue et Hôtel des Arts (actuelle rue Saint-Denis, touchant la rue des Filles-Dieu citée au § précédent) et exerce la profession de ... rubanier. Est-ce un fils de Vincent Mathieu 2, qui a 25 ans en 1760 ? On ne saura jamais mais là encore, le fait qu'il soit rubanier et porte le prénom de Vincent incline à penser qu'il est de la famille, très probablement neveu, mais pas fils pour la même raison que ci-dessus, ni frère (il y a 25 ans d'écart).
      Le ter novembre 1823 un Vincent Nicolas Chabert, veuf, portier, habitant au 17 de la rue de Grenelle, meurt des suites d'une attaque d'apoplexie. Il a 65 ans selon les témoins, ce qui l'aurait fait naître vers 1755, mais les voisins se trompent souvent dans les âges ; c'est probablement de lui qu'il s'agit, sans qu'on en soit certain.
      Reste enfin un dernier Chabert, trouvé lui dans l'état-civil parisien reconstitué, et qui pourrait être de la famille]

      Jean Sébastien CHABERT.
      Là, je suis moins affirmatif... sauf à lancer une hypothèse aventureuse.
      Jean Sébastien Chabert, dont on ne connaît pas l'année de naissance, habitait 35 rue de la Cossoneriel quand il s'est marié le 14 avril 1818 en l'église Saint-Eustache, avec Anne-Marie GUILBAUD, qui habitait dans la même maison.
      rue de la cossonerie : Une des plus vieilles rues du 1 er arrt, donnant rue St-Denis (les cossons étaient des revendeurs
      Il était le fils de Vincent Mathieu (jusqu'ici, tout va bien, encore qu'on ne sache pas lequel), et de... Marie LEFEVRE. C'est là que tout se complique et nous amène à deux suppositions :
      1/ ce Jean Sébastien ne fait pas partie de notre famille, et il y aurait trois Vincent Mathieu CHABERT à peu près en même temps , c'est possible mais peu vraisemblable...
      2/ il est un fils de Vincent Mathieu 1 qui épousa Marie-Louise LE FÉBURE et serait alors un frère de Vincent Mathieu II, (à l'époque, on mélangeait facilement à l'état-civil les Lefèvre, Lefebvre, Lefébure, Le Fébure, etc). Dans ce cas, l'oncle se serait marié vraiment fort tard,
      .Le ménage Jean-Sébastien/Anne-Marie eut au moins un fils, Jean Marie CHABERT, mort à un an en 1821 (encore un prénom de famille), et une fille, Julienne Constance CHABERT, qui habitait au 5 de la rue de la Vieille Monnaie et pouvait avoir 18 à 20 ans quand elle épousa le 9 novembre 1839, à Saint-Merry, Noël Alphonse MARCHAND (on n'en sait pas plus).

      rue de la vieille monnaie : A rapprocher du n° 7 de la même rue, où habitait Clotilde Joséphine QUÉANT, petite-fille de Vincent Mathieu 11, qui épousa le 17 janvier 1825 Charles François Joseph TURPIN, qui habitait lui au n° 9. Sans que ce soit unepreuve absolue, cette coïncidence de lieux d'habitation est un indice qui en vaut un autre...

      A Lyon même, on trouve également d'autres CHABERT, paroisse Saint-Nizier sans certitude que ces Chabert fasse partie de la même branche :
      8 janvier 1771 : mariage de Jean Baptiste CHABERT, négociant à Lyon, fils ce-, feu Mathieu CHABERT, bourgeois de Lyon et de dame Claudine DESCHAMPS son épouse, avec demoiselle Marie Josèphe SITRAX, fille mineure de Clauae SITRAX, marchand tireur d'or, et de dame Barthélémie ROUPER, en présence d'un ancien échevin, d'un avocat au Parlement, d'un Secrétaire du Roi et d'ur écuyer Secrétaire du Roi. Là, le curé "en a rajouté" sur son registre : il semble qu'il y ait beaucoup d'argent et du beau monde, ce qui n'est pas la caractéristique de notre famille à cette époque. Toutefois... Il y a un Mathieu et un Jean Baptiste tous prénoms prisés dans notre branche.
      27 mai 1772 : naissance de Jean-Claude CHABERT, né de François CHABERT, teinturier en draps, et d'Antoinette BESTON (le parrain sera chapelier).
      29 septembre 1772 : naissance de Pierrette CHABERT, fille de Claude CHABERT, vendant du vin, et de Pierrette BLANC (le parrain et l'époux de la marraine sont marchands de vin).
      24 juillet 1775 : naissance de Françoise CHABERT, fille de Claude CHABERT, marchand de vin, et de Pierrette BLIN, son épouse (noter : Blanc et Blin, sûrement la même).

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

   
sosa Vincent Mathieu I CHABERT ca 1700-1769/ sosa Marie Louise LE FEBURE †/1754
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sosa Vincent Mathieu II CHABERT 1735-1804