AnnaQuinquaud

Née 5 rue de l'Odéon. Témoins de sa naissance Ernest Périgaud 55 ans astronome à l'Observatoire de Paris chevalier de la Légion d'honneur 240 rue St jacques et Lucien Butte 35 ans docteur en médecine 34 rue du Cherchemidi.

A habité 6 rue des écoles (18 rue Paul Signac) à Arcueil à partir de 1894 jusqu'en 1911 et peut-être même après. Entre 1926 et 1930, Anna Quinquaud avait son atelier rue Vercingétorix et en 1931, elle avait son atelier 26 rue des Plantes à Paris

Sur son œuvre de sculptricevoir http://fr.wikipedia.org/wiki/Anna_Quinquaud.

Anna Quinquaud commence très jeune à manier la "terre glaise" à c6té de sa mère. A 12 ans, elle réalise un petit bas-relief en terre cuite intitulé "La Bergère et ses moutons" qui est encore à l'honneur dans la demeure familiale à Lafat. Elle suit des cours de sculpture de Mme Blanche Laurent-Berbudeau de 1912 à 1914. A 22 ans, elle présente 2 bustes au Salon des Artistes français. En 1914, elle reçoit le prix de sculpture de l'Union des femmes peintres, sculpteurs, graveurs et décorateurs (fondée en 1881 par Hélène Pilate Alletit Bertaux). Pendant la guerre 1914-1918, elle est infirmière sur le front. En 1918, elle est inscrite aux Beaux-Arts et suit les cours de Marqueste et de Ségoffin.Elle obtient le 23 juillet 1924 le Premier Second Grand Prix de Rome. En récompense, elle préféra la découverte du continent africain au séjour qui lui était offert à la Villa Médicis à Rome. En 1925, elle parcourt Mauritanie, Sénégal, Soudan, Mali, en pirogue sur le Niger, accompagnée seulement de ses "boys" soudanais qui lui portaient ses caisses de sculptures, de terre, d'instruments, vêtements et accessoires de vie. Elle revient en France en 1926 et expose à la Galerie d'Art contemporain 126 bd Raspail plâtres, bronzes, terrs cuites et dessins. Retourne en 1930 au Niger, au Fouta-Djalon, à Tombouctou, en Guinée. Elle rapporte de ce voyage sculptures et aquarelles totalement inédites qu'elle expose, avec un immense succès, à la Galerie Charpentier, rue du Faubourg St-Honoré à Paris. En 1932 elle obtient le Prix de Madagascar qui lui donne une bourse de voyage. Elle visite l'Ethiopie, fait la connaissance du Négus Hailé Sélassié, séjourne dans son palais et y réalise son buste (événement sans précédent pour une femme à cette époque !). A Madagascar, où elle reste dix huit mois, elle donne des cours à des élèves des Beaux-Arts et parcourt le pays afin d'y saisir ses modèles dans leur environnement. Voici quelques unes des œuvres principales réalisées au cours des années suivantes :
- Bas-reliefs pour l'Hôtel de Ville de Tananarive.
- Bas-reliefs de la Fauverie du Jardin des Plantes à Paris.
- Sculptures monumentales pour la Cathédrale de Dakar.
- Bas-relief au-dessus de la porte de gauche du Palais de Chaillot à Paris.
- Sculpture sur le parvis du Musée d'Art Moderne à Paris.
- Bas-reliefs du Pavillon de France d'Outre-Mer à Paris.
- Les anges gigantesques de la Cathédrale de Casablanca en 1950.
- Bas-relief pour des écoles reconstruites – ainsi que le Monument aux Morts -( deux mains jointes vers le ciel de 6 mètres de haut) à Caen.

Elle est l'auteur de la Piéta de l'église St Denys d'Arcueil, d'un bronze fondu par les établissements Susse (alors à Arcueil) représentant Pierre Auguste Templier qui fut maire d'Arcueil de 1923 à 1932. Elle est l'auteur du buste de l'explorateur Auguste Pavie situé dans le jardin anglais à Dinan.

Elle fut décorée de la Légion d'Honneur en 1932.

Née 5 rue de l'Odéon. Témoins de sa naissance Ernest Périgaud 55 ans astronome à l'Observatoire de Paris chevalier de la Légion d'honneur 240 rue St jacques et Lucien Butte 35 ans docteur en médecine 34 rue du Cherchemidi.

A habité 6 rue des écoles (18 rue Paul Signac) à Arcueil à partir de 1896 jusqu'en 1926. Entre 1926 et 1930, Anna Quinquaud avait son atelier rue Vercingétorix et en 1931, elle avait son atelier 26 rue des Plantes à Paris

Sur son œuvre de sculptricevoir http://fr.wikipedia.org/wiki/Anna_Quinquaud.

Anna Quinquaud commence très jeune à manier la "terre glaise" à c6té de sa mère. A 12 ans, elle réalise un petit bas-relief en terre cuite intitulé "La Bergère et ses moutons" qui est encore à l'honneur dans la demeure familiale à Lafat. Elle suit des cours de sculpture de Mme Blanche Laurent-Berbudeau de 1912 à 1914. A 22 ans, elle présente 2 bustes au Salon des Artistes français. En 1914, elle reçoit le prix de sculpture de l'Union des femmes peintres, sculpteurs, graveurs et décorateurs (fondée en 1881 par Hélène Pilate Alletit Bertaux). Pendant la guerre 1914-1918, elle est infirmière sur le front. En 1918, elle est inscrite aux Beaux-Arts et suit les cours de Marqueste et de Ségoffin.Elle obtient le 23 juillet 1924 le Premier Second Grand Prix de Rome. En récompense, elle préféra la découverte du continent africain au séjour qui lui était offert à la Villa Médicis à Rome. En 1925, elle parcourt Mauritanie, Sénégal, Soudan, Mali, en pirogue sur le Niger, accompagnée seulement de ses "boys" soudanais qui lui portaient ses caisses de sculptures, de terre, d'instruments, vêtements et accessoires de vie. Elle revient en France en 1926 et expose à la Galerie d'Art contemporain 126 bd Raspail plâtres, bronzes, terrs cuites et dessins. Retourne en 1930 au Niger, au Fouta-Djalon, à Tombouctou, en Guinée. Elle rapporte de ce voyage sculptures et aquarelles totalement inédites qu'elle expose, avec un immense succès, à la Galerie Charpentier, rue du Faubourg St-Honoré à Paris. En 1932 elle obtient le Prix de Madagascar qui lui donne une bourse de voyage. Elle visite l'Ethiopie, fait la connaissance du Négus Hailé Sélassié, séjourne dans son palais et y réalise son buste (événement sans précédent pour une femme à cette époque !). A Madagascar, où elle reste dix huit mois, elle donne des cours à des élèves des Beaux-Arts et parcourt le pays afin d'y saisir ses modèles dans leur environnement. Voici quelques unes des œuvres principales réalisées au cours des années suivantes :
- Bas-reliefs pour l'Hôtel de Ville de Tananarive.
- Bas-reliefs de la Fauverie du Jardin des Plantes à Paris.
- Sculptures monumentales pour la Cathédrale de Dakar.
- Bas-relief au-dessus de la porte de gauche du Palais de Chaillot à Paris.
- Sculpture sur le parvis du Musée d'Art Moderne à Paris.
- Bas-reliefs du Pavillon de France d'Outre-Mer à Paris.
- Les anges gigantesques de la Cathédrale de Casablanca en 1950.
- Bas-relief pour des écoles reconstruites – ainsi que le Monument aux Morts -( deux mains jointes vers le ciel de 6 mètres de haut) à Caen.

Elle est l'auteur de la Piéta de l'église St Denys d'Arcueil, d'un bronze fondu par les établissements Susse (alors à Arcueil) représentant Pierre Auguste Templier qui fut maire d'Arcueil de 1923 à 1932. Elle est l'auteur du buste de l'explorateur Auguste Pavie situé dans le jardin anglais à Dinan.

Elle fut décorée de la Légion d'Honneur en 1932.