Célébrités sitesgénéalogiques des fleurs sur Nancy cousins la fonderied'Allichamps EdmondGodinot me contacter
- Né le 26 septembre 1789 - Triaucourt-en-Argonne, 55250, Meuse, Lorraine, FRANCE
- Décédé le 29 août 1882 - Châlons-sur-Marne (Rebaptisé Chalons-en-Champagne en 1995), 51000, Marne, Champagne-Ardenne, FRANCE,à l'âge de 92 ans
- Docteur en médecine, médecin à Chalons (depuis 1812), naturaliste
Parents
- Jean DORIN 1765-1842 (Notaire à Nubécourt (1813), maire de Triaucourt)
- Jeanne Marguerite HERBAUX 1766-1849
Union(s) et enfant(s)
- Marié le 3 février 1813, Beauzée-sur-Aire (Fusionné Dans Beausite en 1973), 55250, Meuse, Lorraine, FRANCE, avec Marie Anne Alexandrine RUINET, née le 12 avril 1792 - Sermaize-les-Bains, 51250, Marne, Champagne-Ardenne, FRANCE, baptisée le 12 avril 1792 - Sermaize-les-Bains, 51250, Marne, Champagne-Ardenne, FRANCE, décédée le 11 mars 1879 - Châlons-sur-Marne (Rebaptisé Chalons-en-Champagne en 1995), 51000, Marne, Champagne-Ardenne, FRANCE à l'âge de 86 ans (Parents : Joseph Rémi RUINET 1770-1794 & Catherine LORCET 1766-1834)dont
- Alexandre Auguste DORIN 1814-1823
- Alfred DORIN, (Victor Alfred) 1815-1901 Marié le 12 août 1850, Châlons-sur-Marne (Rebaptisé Chalons-en-Champagne en 1995), 51000, Marne, Champagne-Ardenne, FRANCE, avecJeanne Marie Clémence DELAUNOY
Fratrie
- Jean Charles DORIN 1788-1788
- Jean Louis Stanislas Xavier DORIN 1789-1882
- Jean Clair DORIN 1791-1863
- Liberté DORIN 1793-1849
- Pierre Eleonore DORIN 1797-1797
- Jeanne Thérèse DORIN 1798-
Présences lors d'événements
- 1816 (témoin, docteur en médecine, neveu de la décédée, 27 ans): décès de Marie Victoire RUINET 1773-1816
- 1821 (témoin, docteur en médecine, beau petit-fils, 31 ans): décès de Marie Madeleine CASIN ca 1740-1821
Notes
Notes individuelles
Il s'installe à Chalons en 1812. Ami du conventionnel Edme Bonaventure COURTOIS, député de l'Aube. Le Dr DORIN reçoit sa fille Charmette à Chalons en 1818. C'est sans doute de cette époque que provient un livre de prieres ayant appartenu a Marie-Antoinette, sur lequel la malheureuse Reine, au matin meine de son execution, aurait trace quelques mots d' adieu a ses enfants.
« Exemplaire de la plus insigne el de la plus auguste provenance, ayant appartenu a la reine
Marie- Antoinette, qui le garda par-devers elle, comme livre de prieres, jusque dans ses prisons
du Temple et de la Conciergerie, c était jusqu'a la matinee sinistre du 16 octobre. Au dos de la
page 219, la Reine a ecrit, d'une main liativr et pourtant ferme, ces lignes émouvantes dans
leur simplieite mcnir, et qui sont les dernieres que sa main ait tracees : « Ce 16 octobre, a
« 4 h 1/2 du matin. Mon Dieu ! ayez pitie de moi ! Mes yeux n'ont plus de larmes pour
« pleurer pour vous, mes pauvres enfants ; adieu! adieu! — Marie- Antoinette. » II y
avaitd'abord i5 octobre: le G du chiffre d'unite a etc mis en surcharge par la Reine elle-m£me.
La reliure a subi de graves mutilations, inspirees par l'esprit revolutionnaire ; on a gratte
d'une main rude les lleurs de lis du dos et de la dentelle, ainsi que la croix des plats (Reserve
62). »
PAPIERS COURTOIS
En effet COURTOIS avait été chargé d'inventorier les papiers de Robespierre au 9 thermidor an II. Il en fit rapport devant la Convention, mais garda par devers lui divers livres et papiers précieux provenant de la Famille royale, qu'il ramena dans son chateau à Rambluzin (Meuse).
Ses papiers furent partagés à sa mort (+Bruxelles, 1816) entre ses deux enfants, Henry (+1853) et Zélie Charmette (02/10/1794 - Chalons, 23/01/1867) qui hérita du tout à la mort de son frère. Elle légua certains éléments au Docteur Guérin de Chalons, ainsi qu'un portrait la représentant peint par Liénard, lequel fut légué ensuite par Alfred, fils du Dr, à la ville de Chalons. Charmette avait aussi légué au docteur DORIN des boucles de cheveux de la Reine et du Dauphin. Alfred avait exposé à Chalons en 1792 pour le centenaire de Valmy certains objets ayant appartenu à Marie-Antoinette.
C'est à Rambluzin qu'en janvier 1816 les autorités de Louis XVII vinrent saisir les souvenirs du Temple et de la Conciergerie, entre autres cette angoissante lettre a Mme Elisabeth quecrivit Marie-Antoinette au sortir du Tribunal revolutionnaire, lettre parafee par Fouquier-Tinville, ainsiquepar les membres de la commission ;
DIVERS
La famille DORIn était installée30 rue Saint-Nicaise, devenue rue Pasteur.
Photos & documents
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