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IL était une fois...4 personnes qui s'appelaient"
Tout le Monde,Quelqu'un,Chacun,etPersonne". IL y avait un important travail à fairesur mon arbre ,et j'ai demandé à "Tout le Monde" de le faire. "Tout le Monde" étaitpersuadé que "Quelqu'un" le ferait. "Chacun" pourrait l'avoir fait, mais c'est"Personne" qui le fit."Quelqu'un" se fâcha,parce que c'était le travail de "Tout le Monde". "Tout le Monde" pensa que "Chacun" pourrait le faire, mais"Personne" réalisa que"Tout le Monde" ne pouvait pasle faire. En fin de compte,"Tout leMonde" fit des reproches à "Chacun" parce que "Personne" n'avait fait ce que"Quelqu'un" aurait pu faire.Moralité... il faut dire: " MOI JE FAIS."

 

 


Jean LEYCURAS
Jean LEYCURAS
  • Né le 9 février 1887 - La Jonchère-Saint-Maurice,87079,Haute-Vienne,Limousin,FRANCE
  • Décédé le 24 août 1914 - Dommary-Baroncourt,55158,Meuse,Lorraine,FRANCE,à l'âge de 27 ans
4 médias disponibles 4 médias disponibles

A participé à la Grande Guerre, mort le 24/08/1914

Que s'est-il passé ce jour là ?
Domicile lors de la mobilisation : Limoges (87)

 Parents

 
portrait

 Fratrie

 Notes

Notes individuelles


Nom Prefixe: Monsieur

Décès

Mort pour la France
http://tableaudhonneur.free.fr/211eRI.pdf
Journée du 24 août
5 h La ligne est attaquée par une chaîne de tirailleurs ennemis qui ont pris position et se sont retranchés pendant la nuit sur les croupes en avant de Bouligny (côtes 283et 252) face Baraucourt.
Cette attaque est repoussée par le 283e (une section de la 22e compagnie prenant de flanc la ligne ennemie).
8h L'artillerie allemande commence à ouvrir un feu très violent qui durera toute la journée et se prolongera même jusqu'à 20h. Cette artillerie, qui après avoir pris à partie notre artillerie s'est retournée contre l'infanterie par obus à mitrailleet obus percutants qui n'ont pas cessé de couvrir de projectiles toutes les tranchées et la ligne de nos avant-postes.
Midi, Devant un tir d'artillerie très violent la 19e compagnie est obligée d'abandonner le village de Baraucourt, à ce moment le chef de bataillon (5e bataillon) rejoint la 19e compagnie et lui prescrit de reprendre Baraucourt avec l'aide de la 20ecompagnie.
13h Baraucourt est repris malgré le feu très violent de la ligne de tirailleurs allemands qui s'étaient glissés sur la voie ferrée entre Dommary et Baraucourt. A partir de ce moment le village d'Eton commence à brûler et l'incendie se continue petit à petit alimenté par des obus incendiaires.
14h Lutte très violente et 2 sections de la 20e compagnie sont obligées de renforcer la 19e compagnie à sa droite et la liaison est aussi établie fortement avec la 22e compagnie.
17h30 Le 288e qui occupe la voie ferrée au-dessous de Domrémy la Canne fléchit et se replie découvrant ainsi la gauche du dispositif et provoquant ainsi le mouvement en arrière des éléments du 5e bataillon qui se retirent sous un feu très violent d'infanterie, d'artillerie et de mitrailleuses.
Les pertes sont à ce moment assez considérables.
19h Le 5e bataillon est enfin parvenu à regagner les lignes de défense occupées par le 6e bataillon, c'est à dire la lisière d'Eton et les tranchées à l'Est d'Eton.
Un combat très violent s'engage entre les deux chaînes, l'artillerie inonde le terrain de ses projectiles; malgré cela la défense se maintient énérgique grace au sang froid, au courage et au dévouement des officiers, sous-officiers et soldats.
20h A ce moment, la droite et la gauche de notre ligne sont complètement enveloppées; l'ennemi occupe Hamel. Le 283e est obligé d'abandonner ses positions et de se replier en arrière; les hommes ralliés par petits groupes se replient sur Senon dirigés par les officiers et vont se reformer à Maucourt.
Dans ce combat, tout le monde, officiers, sous-officiers et soldats ont montré la plus grande énérgie et fait preuve d'un sublime patriotisme.
Les militaires qui se sont particulièrement distingués font l'objet d'un rapport fourni par le commandement qui demande pour eux une récompense justement méritée.
Les pertes subies par le régiment sont de:
22 officiers;
850 hommes tués, blessés, disparus.
Les renseignements recueillis sur l'ennemi portent à croire que le régiment s'est trouvé en présence au minimum d'une brigade, peut-être d'une division avec une masse très sérieuse d'artillerie.
L'emplacement de l'infanterie allemande s'étendait de Bouvigny à Bailligny avec des antennes à la côte 282; L'artillerie allemande occupait la côte 282.

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