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IL était une fois...4 personnes qui s'appelaient"
Tout le Monde,Quelqu'un,Chacun,etPersonne". IL y avait un important travail à fairesur mon arbre ,et j'ai demandé à "Tout le Monde" de le faire. "Tout le Monde" étaitpersuadé que "Quelqu'un" le ferait. "Chacun" pourrait l'avoir fait, mais c'est"Personne" qui le fit."Quelqu'un" se fâcha,parce que c'était le travail de "Tout le Monde". "Tout le Monde" pensa que "Chacun" pourrait le faire, mais"Personne" réalisa que"Tout le Monde" ne pouvait pasle faire. En fin de compte,"Tout leMonde" fit des reproches à "Chacun" parce que "Personne" n'avait fait ce que"Quelqu'un" aurait pu faire.Moralité... il faut dire: " MOI JE FAIS."

 

 


Victor, Jean, Baptiste POUDEVIGNE
Victor, Jean, Baptiste POUDEVIGNE
  • Né le 27 octobre 1880 - Sablières,07202,Ardèche,Rhône-Alpes,FRANCE
  • Décédé le 25 juin 1916 - Douaumont,55164,Meuse,Lorraine,FRANCE,à l'âge de 35 ans
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A participé à la Grande Guerre, mort le 25/06/1916

Que s'est-il passé ce jour là ?
Domicile lors de la mobilisation : Sablières (07)

 Parents

 Notes

Notes individuelles

Naissance

Heure: 06:00
AD 07- Registre des naissances de Sablières-1880- Page 17/19 Acte N°31.

Décès

Mort pour la France à Douaumont Douaumont lieudit Thiaumont (55)
25 juin
0h30 - Le 4e bataillon, moins la CM4 arrive au ravin du Bois des 3 Cornes. Il est immédiatement approvisionné en cartouches, fusées et grenades.
2h30 - Le 4e bataillon attaque avec 4 compagnies sans mitrailleuses. Il s'élève par les pentes sud du ravin vers le retranchement Z de Thiaumont, enlevant successivement, vers 3h30 trois lignes de tranchées allemandes. A cet instant une colonne ennemie importante paraissant venir de l'ouvrage de Thiaumont et renforcée par tous les petits groupes allemands disséminés dans les trous d'obus, débouche sur la droite et les derrières de la 1ère vague (14e et 15e compagnies) lui infligeant de lourdes pertes.
Le commandant Uffler, commandant le groupe qui marchait avec la 1ère vague a été blessé; le capitaine adjudant-major Roure est blessé également.
3h00 - Le 5e bataillon arrive au ravin du Bois des 3 Cornes avec les 2 compagnies de mitrailleuses (CM4 et CM5).
3h15 - Au moment où se déclenchait un tir de barrage très violent par obus de gros calibre, qui remplit le fond du vallon d'une fumée intense, le 5e bataillon prenait ses dispositions d'attaque. Il se trouvait dans le ravin à l'est du boyau des Caurettes.
Sur l'avis donné par le commandant Uffler blessé et revenant des 1ères lignes qui demande instamment des renforts, le capitaine Héritier, commandant le 5e bataillon, demande au lieutenant-colonel Mellier, du 359e RI dirigeant l'attaque, s'il doit exécuter l'ordre primitivement reçu ou renforcer le 4e bataillon.
Ordre est donné par le colonel Mellier de renforcer le 4e bataillon.
Le capitaine Héritier prend à ce moment le commandement du groupe des 2 bataillons.
La 17e compagnie est envoyée immédiatement sur la droite, débordant l'aile droite; la 20e compagnie sur la gauche, 2 compagnies en soutien au centre; les 2 compagnies de mitrailleuses flanquant la droite et la gauche de la colonne d'attaque avec 2sections en soutien au centre.
L'attaque est poussée jusqu'à la crête qui est occupée et tenue jusqu'à 22h malgré un tir violent et continu d'obus de gros calibre exécuté par l'ennemi, ce tir et celui des mitrailleuses a infligé aux compagnies d'attaque des pertes très importantes.
Le capitaine Héritier prévient alors le lieutenant-colonel Mellier que la ligne est affaiblie et parait ne pas pouvoir résister à une contre attaque de l'ennemi, si elle se produit.
22h00 - Le colonel Mellier donne l'ordre de se replier et d'organiser un centre de résistance sur la tranchée Mary et le boyau des Caurettes (en arrière de la crête); ces deux points sont occupés par les éléments des deux bataillons flanqués de mitrailleuses et tenus pendant toute la journée du 26 et la nuit du 26 au 27, malgré un bombardement continu par obus de très gros calibre.
La crête (côte 321) continue a être occupée par quelques éléments de surveillance.
Au cours de l'attaque, les 2 bataillons ont fait environ 130 prisonniers.
http://fortiffsere.fr/verdun/index_fichiers/Page11442.htm

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

   
? ? Marie, Magdeleine RAYMOND 1845-
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portrait
Victor, Jean, Baptiste POUDEVIGNE 1880-1916