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Parents
- Pierre III KERGORLAY (DE), Seigneur de Kergorlay, Chevalier croisé, Sénéchal des comtes de Bretagne en Cornouailles et en Poher (1258)
Marié avec - Thomasse LANVAUX (DE)
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
- Marié avec Alix AVAUGOUR (D') (Parents : Alain II AVAUGOUR (D') †1267 & Clémence, dame de Dinan-Nord et de Becherel BEAUFORT (DE))(voir note)dont
- Pierre KERGORLAY (DE) †1336 Marié avec Jeanne ROHAN (DE) 1280- dont
- Jean II KERGORLAY (DE) †1335 Marié avec Jeanne RIEUX (DE) dont :
- Jean III KERGORLAY (DE) †1364
- Marie KERGORLAY (DE) Mariée avec Thibaud LA RIVIERE (DE), Seigneur de la Rivière dont :
- Constance KERGORLAY (DE)
- Pierre KERGORLAY (DE)
- Tanguy KERGORLAY (DE), Juveigneur de Kergolay Marié en 1293 avec Jeanne PLOEUC (DE), Dame de Ploeuc dont :
- Jean II KERGORLAY (DE) †1335 Marié avec Jeanne RIEUX (DE) dont :
- Jean (sd) KERGORLAY (DE)
- Henri KERGORLAY (DE) Marié avec Epouse Inconnue dont
- Roland KERGORLAY (DE) Marié avec Epouse Inconnue dont :
- Pierre KERGORLAY (DE) †1336 Marié avec Jeanne ROHAN (DE) 1280- dont
Fratrie
- Jean KERGORLAY (DE) Marié avec Alix AVAUGOUR (D')
- Annette KERGORLAY (DE) Mariée avec Conan 1er QUÉLEN (DE), Sire de Quelen
Notes
Notes individuelles
De très nombreuses généalogies donnent pour parents à Jean I de Kergorlay Pierre III de Kergorlay et Thomasse de Lanvaux; ce débat ne sera sans doute jamais réglé vu la rareté des pièces originales à notre disposition. Pour mémoire, l'on rappellera que Régis Valette considère pertinente la date de 1380 pour le début de la filiation authentique, mais cette date ne signifie pas grand-chose car elle concerne la branche du Cludon, la seule représentée de nos jours.
Deux thèses s'affrontent clairement sur ce point de généalogie. D'un côté, les partisans du rattachement des Kergorlay aux Montfort s'appuient sur la réformation des fouages de Cornouailles de 1426, document postérieur de plus d'un siècle à l'alliance évoquée, en supposant qu'il s'agisse bien d'une pièce originale et non d'une copie du XVI ème ou du début du XVII ème siècle; de l'autre, tous ceux qui considèrent cette hypothèse comme infondée et ne prennent en considération que les trop rares documents d'époque, partageant ainsi l'analyse de M. Albert Mousset auteur d'un travail très important sur la maison de Kergorlay en 1921.
Nul ne parviendra vraisemblablement à démontrer de façon définitive le bien-fondé de sa thèse, d'autant qu'il existait dès le quatorzième siècle au moins deux seigneureries de Kergorlay appartenant à la même famille, l'une en Motreff et l'autre dans le quartier des cordeliers en la ville de Dinan. Ce qu'il faut avant tout retenir concernant le quatorzième siècle au moins jusqu'à la fin de la guerre de succesion de Bretagne, c'est que la branche aînée de la maison de Kergorlay est très proche des ducs de Bretagne pour des raisons familiales autant que politiques.
Notes concernant l'union
Jean, puiné de Pierre, mort sans enfants avant 1340, sa succession passa à son petit neveu, petit-fils de son frère aîné, au préjudice d'Henri, son frère cadet
Sources
- Personne: http://www.noblessebretonne.fr.st/
Photos & documents
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