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Originaire de Catalogne Nord (française) et de Catalogne Sud (espagnole), j'ai commencé mes recherches en juin 2008. J'avais déjà depuis de nombreuses années répertorié les informations familiales auprès de mes grands-mères.

J'ai choisi d'utiliser la même orthographe des noms de famille par commodité en espérant avoir commis le moins d'erreur possible...

 

 

 Family Book



 '' La Catalogne, berceau de ma famille''

Summary

 1 - Mes origines familiales

J’ai toujours aimé entendre les histoires de famille. Petite, je questionnais ma mère, mes grands-

parents, mes grands-tantes,… A partir de l’adolescence, j’ai noté et recueilli des informations, créé mes

premières fiches. Aussi, rien d’étonnant à ce que je me lance dans la généalogie, dès que j'ai eu plus de

temps.

Lors de vacances dans mes chères Pyrénées, j’ai commencé des recherches sérieuses, en juin 2008.

Premières découvertes officielles à la mairie de Port-Vendres où j’ai eu accès aux registres d’ État Civil et

où j’ai découvert avec émotion les signatures de mes arrière-grands-parents.

Et puis balade jusqu’à Saint Laurent de Cerdans, dans la montagne, berceau de notre famille, côté Berdaguer.

J'ai aussi fait un tour aux Archives Départementales et j’ai pris contact avec l’Association

Généalogique Catalane. J’ai acheté le DVD des relevés effectués, ce qui m’a ensuite permis de passer des

heures et des heures à fouiller le passé… Bref, je ne vais pas vous décrire dans le détail toutes les étapes

de mes recherches mais le début reste pour moi émouvant.

En septembre 2008, j’avais recueilli les noms, mariage, descendance de 158 ancêtres directs. En

janvier 2011, j’avais 7808 personnes sur mon arbre généalogique. En septembre 2021, j'en étais à 31010personnes recensées sur mon arbre. En mars 2023, se sont 35255 personnes qui figurent sur mon arbre.

Depuis, je me suis inscrite sur plusieurs sites Internet, dont Généanet et j’ai contacté de nombreux

«cousins » éloignés. J’ai ainsi découvert les cousins du Vallespir avec qui je partage les mêmes aïeux. Ils

m’ont apporté un complément d’informations non négligeable.

C’est un vrai travail de fourmi et il faut de la rigueur pour ne pas se perdre dans le dédale de ces

familles, mariages et remariages, cousinages… J’ai donc opté, rapidement pour l’achat d’un logiciel de

généalogie tout en continuant à transcrire sur des fiches papiers mes trouvailles. Moderne mais prudente !

Je n’ai que peu d’informations sur la famille de ma mère, vers l’Espagne.

Le Vallespir, proche de la frontière espagnole, est le berceau de notre famille, côté Berdaguer.

Seuls, le massif des Corbières et le Mont Canigou, annonçant la chaîne des Pyrénées, arrêtent le

regard. C’est dans cette douce vallée du Tech, où dans chaque village se cache un trésor, que nos ancêtres

ont vécu.

St Laurent-de-Cerdans, capitale des célèbres espadrilles des danseurs de Sardane : les Vigatanes que nos

aïeux ont fabriquées. Il y reste encore aujourd’hui la dernière filature de toile.

Arles-sur-Tech avec l’une des plus anciennes abbayes carolingiennes et un étonnant sarcophage monolithique du

Vème siècle qui produit une eau miraculeuse très pure sans explication scientifique.

Céret avec ses cerises primeurs, réputées. Picasso y a séjourné dans les années 50 ce qui a donné naissance

au Musée d’Art Moderne.

Parmi mes ancêtres, certains métiers ou conditions sont souvent cités. Beaucoup travaillaient la terre,

comme les « brassers » ou brassiers, ouvriers agricoles qui travaillaient de leurs bras à la journée. Ils

pouvaient posséder quelques ares, quelques bêtes mais devaient se louer. Les « pagès » sont aussi nombreux

parmi nos aïeux, c’étaient des propriétaires, cultivateurs, paysans, assimilés à un paysan souvent positionné

dans son village.

Il y avait quelques métiers comme « carboner », qui fabriquait le charbon de bois ; « ferrer » ou forgeron,

maréchal-ferrant, quelques fois même serrurier ; « fuster » ou menuisier ; « clavetaire » ou cloutier, qui

fabriquait et vendait des clous ; « moliner » ou meunier ; « pastor » ou berger, pâtre ; « pescador » ou

pêcheur ; « trajiner » ou muletier.

Ceux qui venaient de Saint Laurent de Cerdans ont fabriqué des espadrilles catalanes, et du tissu comme le «

corder » ou cordier qui fabriquait les cordes, souvent de chanvre. Et puis le « paraire » ou pareur qui

peignait le tissu pour le rendre velouté et moelleux, le « sabater » ou cordonnier qui fabriquait et vendait

des chaussures, le « teixidor » ou tisserand et le « sastre » ou tailleur d’habits.

Certains avaient des positions plus importantes tel que le « batlle » ou maire, le « consol » ou consul,

agent exécutif d’une municipalité (trois consuls exerçaient collectivement les fonctions de maire) et le «

prevere », prêtre ou personne ayant une fonction ecclésiastique. Il y a aussi un baron, un chirurgien et un

biologiste mondialement connu, loin, très loin.

J’ai pu remonter jusqu’en 1480 pour les branches de mes grands-parents paternels et 1850 pour mes

grands-parents maternels !... Pour l’instant..., mais on peut toujours espérer aller plus loin !!!

 2 - Un peu d'histoire de la Catalogne partagée entre la France et l'Espagne

Pendant des siècles et des siècles, le pays catalan sera tantôt possession de seigneurs vassaux des Rois de France, tantôt occupé par leurs ennemis, tantôt terre de résidence et fierté des Rois de Majorque, tantôt encore intégré au royaume d'Aragon...

4ème siècle : Les Barbares envahissent la Catalogne.

711 : Invasion musulmane.

732 : Bataille de Poitiers : Charles Martel arrête définitivement la progression musulmane.

785 : Reconquête de Gérone.

1060 : Réunion des comtés catalans sous l’hégémonie de Raymond Bérenger Ier, comte de Barcelone. Il établit le premier gouvernement constitutionnel d’Europe en proclamant les Usatges, code du droit et des coutumes.Première mention connue du mot " catalan ".

1258 : traité de Corbeil.Louis IX cède à Jacques 1er d'Aragon et à ses successeurs tous les droits qu'il avait sur les comtés de Barcelone, Urgel, Bésalu, Roussillon, Ampurias, Cerdagne, Conflent, Gérone et Ausonne. La frontière, qui coupe le département par une ligne passant au nord de Salses, Montner, Bélesta, Ille-sur-Têt, Mosset, devient également une frontière linguistique pour les langues parlées : au Nord l'occitan, au Sud le catalan.

1213-1235 : Jacques Ier le Conquérant prend Majorque, Ibiza et Formentera.

1302-1305 : Les mercenaires catalans ( les Almogavers) commandés par Roger de Flor aident Byzance contre les Turcs

1347-1348 : La peste tue un quart de la population

1359 : Les Corts Catalanes (assemblée politique convoquée et présidée par le roi, elle a été institutionnalisée et réglementée en 1283) créent la Generalitat, pouvoir délégué ayant un rôle politique et judiciaire

1412 : Compromis de Caspe : les représentants de Valence, de Catalogne et d’Aragon élisent Ferdinand d’Antequera, fils de Jean Ier de Castille

1413 : Usatges, constitucions i altres drets de Catalunya , premier code de droit commun catalan

1462-1472 : Soulèvement de l’aristocratie catalane contre Jean II d’Aragon et révolte des payeses de remensa (paysans affectés à des terres)

1479 : Ferdinand II succède à son père Jean II d’Aragon

1484-1485 : Second soulèvement des remensa en Catalogne

1492 : Fin de la Reconquête : les Rois Catholiques prennent Grenade.Découverte de l’Amérique.Barcelone est écartée du commerce avec le Nouveau Monde au profit de Séville et de Cadix.Expulsion des juifs.

1494 : Le conseil suprême d’Aragon place la Catalogne sous contrôle castillan

1516 : par le jeu des mariages, Charles, petit-fils de Ferdinand II d'Aragon et de Philippe de Habsbourg, hérite de l'Aragon et de la Castille, qui se trouvent réunifiées. La dynastie des Habsbourg règnera sur le Roussillon et la Cerdagne jusqu'à la conquête française.

1640-1652 : Soulèvement de la Catalogne contre Philippe IV : révolte des faucheurs (segadors) en réaction à l’exploitation des ressources catalanes pendant la guerre de Trente Ans.La chanson Els Segadors est aujourd’hui l’hymne catalan.

1659 : le traité des Pyrénées met fin à une période troublée de guerre où espagnols et français se disputèrent la région. La royauté française va imposer progressivement son emprise politique, administrative, culturelle et linguistique. La Catalogne est amputée du Roussillon et d’une partie de la Cerdagne au profit de la France

1702-1714 : Guerre de Succession : le vainqueur, Philippe d’Anjou, inaugure la dynastie des Bourbons et prive la Catalogne de toute autonomie française

1758 : Création de la Junta de Comercio (Conseil du Commerce) pour favoriser le développement commercial, industriel et agricole de la Catalogne

1778 : La Catalogne est autorisée à commercer avec les Amériques

Sous la révolution, Port-Vendres, lieu de naissance de mon père, s'appelait Port-de-la-Victoire.

1808-1814 : Guerre d’indépendance contre les troupes d’occupation napoléoniennes.Gérone est assiégée, Barcelone occupée et pillage du monastère de Montserrat.

1823-1826 : Les Français occupent la Catalogne

1833 : Début de la Renaixença : période du rattrapage culturel catalan (Oda a la Patria de Aribau)Apparition du prolétariat manufacturier.

1836 : Confiscation des biens monastiques

1840 : Première association ouvrière en Catalogne

1911 : Fondation de la Confédération Nationale du Travail : le Syndicat anarchiste sera hégémonique à l’intérieur du mouvement ouvrier catalan jusqu’à la Guerre civile.

1936-1939 : Guerre Civile : le gouvernement républicain se replie à Valence puis à Barcelone

1939 : La Retirada est l'exil de centai1934 : Lluis Companys succède à Macià à la présidence de la Generalitat. Révolution d’Octobre en Catalogne et aux Asturiesnes de milliers de Républicains espagnols chassés d'Espagne par le Général Franco. Ces réfugiés se sont installés massivement dans les Pyrénées Orientales.

1939-1975 : Gouvernement du Général Franco (déclaré régent du royaume espagnol en 1947)

 3 - la langue catalane

La langue catalane populaire est née dès le IXème siècle.

Le catalan est une langue employée par 8 000 000 de personnes au bord de la Méditerranée. Dans les îles et sur le continent sur une distance de près de 1000 kms.

En 1659, le Roussillon est annexé à la France. Au fil des années, on verra peu à peu beaucoup de noms de famille catalans se franciser, de façon plus ou moins heureuse. C'est vrai notamment pour ceux qui correspondent à des prénoms, surtout lorsque les formes française et catalane sont à peu près identiques. Il faudra pourtant attendre plus d'un siècle après le traité des Pyrénées pour constater les premiers résultats notables de la francisation des noms et prénoms.

Ce n'est qu'au milieu du XVIIIe siècle que le catalan disparut des registres de l'Etat Civil.Les classes supérieures adoptent alors le "beau-parler" de Paris, mais le peuple restera longtemps fidèle à la langue catalane.

Dans le groupe du catalan occidental, on compte trois grandes variétés: le catalan occidental du Nord et le catalan méridional. Dans le groupe du catalan oriental, on distingue le catalan du Nord (appelé roussillonnais en France) et le catalan central (provinces de Gérone et de Barcelone).

 4 - Richesses médiévales

Les Pyrénées Orientales ont donné naissance à de remarquables créations de l'art roman occidental. Abbayes bénédictines, églises et prieurés racontent la naissance du premier art roman. Parmi les villages de mes ancêtres :

  • Abbaye d'Arles-sur-Tech, une abbaye fortifiée au cœur du Vallespir.
  • Hospice d'Ille-sur-Têt, centre d'interprétation du patrimoine catalan.

 5 - Itinéraire baroque

La Catalogne accueille au XVIIème siècle, l'art baroque venu d'Italie. Chaque village abrite de nombreuses œuvres d'art de ce Siècle d'Or. Parmi les lieux où ont vécu mes ancêtres :

  • Eglise St-Julien à Vinça avec le retable de la transfiguration.
  • Eglise St-Etienne et Hospice (ancien hôpital) à Ille-sur-Têt
  • Eglise Ste-Marie à Espira-de-Conflent avec ses décors sculptés, inspirés des œuvres de Poussin et de Rubens.
  • Eglise St-Pierre, son retable monumental et trésor à Prades
  • Eglise St-Juste et Ste-Ruffine à Prats-de-Mollo qui abrite retables et légendes dorés.
  • Eglise Ste-Marie d'Arles-sur-Tech où l'on apprend le fabuleux voyage des reliques d'Abdon et Sennen, les saints protecteurs venus d'Orient.

 6 - Châteaux et fortifications

Châteaux médiévaux, enceintes urbaines, fortifications royales, témoignent d'une zone de frontière entre états depuis le Moyen Age.Vauban, ingénieur militaire de Louis XIV, a construit ou réhabilité de nombreuses places fortes sur la frontière catalane :

  • Fort Lagarde à Prats-de-Mollo, symbole du pouvoir royal, dominant une ville rebelle.
  • Remparts de Villefranche-de-Conflent, une cité millénaire et une enceinte fortifiée intacte.
  • Palais des rois de Majorque à Perpignan, ville de naissance de ma mère, un palais royal et une citadelle, symbole durable d'un royaume éphémère, architecture gothique et militaire.

 7 - patrimoine

Les paysages présentent une palette infinie de diversité, de la mer Méditerranée aux montagnes des Pyrénées. Le patrimoine témoigne de la mémoire de la vie quotidienne en Catalogne: légendes, traditions, fêtes, croyances religieuses et populaires, savoir-faire... Depuis la fin du XIXème siècle, les Pyrénées Orientales sont une terre d'inspiration pour les maîtres de l'art moderne et contemporain.

  • Le train jaune, premier train écologique de France (1906).
  • Les Orgues d'Ille-sur-Têt, curieuse formation géologique datant de 4 millions d'années.
  • Les Gorges de la Fou d'Arles-sur-Tech, les gorges les plus profondes du monde. Il s'agit des gorges les plus étroites du monde pour leur profondeur. En bas la largeur est en partie inférieure à un mètre et ceci pour des parois atteignant 200 mètres de haut.
  • L'activité minière du Canigou : fer réputé,, forges catalanes, mines, voies ferrées...
  • La fête de l'ours à Prats-de-Mollo.
  • Picasso, Matisse, Maillol,...
  • Caves Byrrh à Thuir par Gustave Eiffel

 8 - Noms des métiers catalans

Certains métiers portent des noms catalans. Ils sont souvent oubliés, car, hélas, les nouvelles générations n'utilisent plus ou peu cette langue, surtout lorsque la vie les a éloigné de leur région d'origine.Je vais donc vous traduire ceux de mes ancêtres:
  • batlle : maire
  • bracer ou brasser : brassier, ouvrier agricole, il travaillait de ses bras à 1a journée. Il pouvait posséder quelques ares, quelques bêtes mais devait se louer.
  • carboner : charbonnier (qui fabriquait le charbon de bois)
  • clavetaire : cloutier, fabriquait ou vendait des clous
  • consol : consul, agent exécutif d’une municipalité. Trois consuls exerçaient collectivement les fonctions de maire
  • corder : cordier (qui fabriquait les cordes, souvent de chanvre)
  • ferrer : forgeron, maréchal-ferrant, quelques fois même : serrurier
  • fuster : menuisier
  • moliner : meunier
  • pagès : propriétaire, cultivateur, paysan, assimilé à un paysan souvent positionné dans son village
  • paraire : pareur, peignait le tissu pour le rendre velouté et moelleux
  • pastor : berger, pâtre
  • pescador : pêcheur
  • prevere : prêtre , fonction ecclésiastique
  • sabater : cordonnier qui fabriquait ou vendait des chaussures
  • sastre ; tailleur d'habits
  • teixidor : tisserand
  • trajiner : muletier
  • treballador : ouvrier agricole

 9 - spécialités catalanes

Souvenirs d'enfance, traditions familiales, les spécialités culinaires dont j'essaye de transmettre le goût à mes enfants :

  • La soupe de thym et d'ail, bonne pour digérer.
  • Les bougnettes qui se préparent en famille dans une ambiance bon enfant !
  • l'ollade, genre de pot-au-feu avec des ingrédients bien de chez nous en plus.
  • le tourteau à l'anis, délicieux au petit déjeuner.
  • les rousquilles, anneaux poudrés de "neige" sucrée....
  • la cargolade.
  • le pa amb oli : tanche de pain frais frottée d'ail, tomate pressée sur le pain et un filet d'huile d'olive avec un peu de sel, un délice !
  • l'ailloli, bien aillé.
  • la crème catalane (surtout sans crème fraîche, juste du lait, des œufs, du sucre et parfumée au citron et à la cannelle).
  • Les boles de picolat : boulettes de viande hachée dans une sauce tomate épicées... une spécialité de ma tante Marylou......entre autres, j'ai les recettes, si quelques gourmands veulent les essayer !

 10 - Le Vallespir, berceau de ma famille du côté de mon grand-père paternel

Seuls, le massif des Corbières et le Mont Canigou, annonçant la chaîne des Pyrénées, arrêtent le regard. La douce vallée du Tech, où dans chaque village se cache un trésor :
  • Arles-sur-Tech avec l'une des plus anciennes abbayes carolingiennes et un étonnant sarcophage monolithique du Vème siècle.
  • Céret avec ses cerises primeurs, réputées. Picasso y a séjourné dans les années 50 ce qui a donné naissance au Musée d'Art Moderne.
  • St Laurent-de-Cerdans, capitale des célèbres espadrilles des danseurs de Sardane: les Vigatanes. La dernière filature de toile.

 11 - Le Bas-Conflent, branche de ma grand-mère paternelle

Parmi les villes et villages où ont vécu la majorité des ces ancêtres :
  • Espira-deConflent, le prieuré fondé en 1081, le sarcophage wisigothique du VIIIe siècle, le château ancienne possession des comtes de Cerdagne, puis de Barcelone.
  • Finestret et les sites antiques du fer, les sites métallurgiques se trouvent tous dans la vallée de la Llentilla.
  • Joch, ce village était une possession d'une famille de Cerdagne, la famille d'Urg qui était apparentée aux comtes de Cerdagne. Finalement Joch est devenu une vicomté au XVIe siècle.
  • Prades, l'église St Pierre fut édifiée de 1606 à 1696 sur les restes d'une église romane du IXe siècle. En 1773 le siège de la Viguerie du Conflent passa de Villefranche à Prades, alors ville plus importante.
  • Rigarda, le nom de Rigarda viendrait de la rivière locale, le Riu Gardate.
  • Rodès, l'église paroissiale, initialement du XIIe siècle, est consacrée à Notre Dame de l'Assomption, elle fut reconstruite vers 1637. le château, dont les restes sont fièrement dressées sur le monticule rocheux au dessus du village. Les gorges de la Guillera et ses aqueducs, des vestiges du XIIe siècle.
  • Taurinya a une origine romaine.
  • Villefranche de Conflent et ses remparts construits par Vauban.

 12 - La Côte Vermeille

Mes ancêtres des branches de ma grand-mère paternelle et de mon grand-père paternel :
  • Port-Vendres, Cosprons, Cerbère, Collioure, Banyuls-sur-Mer.

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