ValentinMAILLOUX

c'est son oncle M Lucas qui est son tuteur:https://www.ladepechedebrest.fr/viewer/18953?offset=1&page=4#page=4&viewer=picture&o=&n=0&q=
Temoin : Valentin QUEMENEUR (1864-1901), meunierà La Forest
Temoin : Valentin QUEMENEUR (1864-1901), meunierà La Forest

recensement

http://mnesys-portail.archives-finistere.fr/?id=viewer&doc=accounts%2Fmnesys_cg29%2Fdatas%2Fir%2Fserie_m%2FFRAD029_00000006M%2Exml&page_ref=6714&lot_num=15&img_num=1&index_in_visu=

vit à Bohars chez sa tante guillemette Mailloux en 1906 au moulin de Kervao

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vit à Bohars chez sa tante guillemette Mailloux en 1906 au moulin de Kervao
c'est son oncle M Lucas qui est son tuteur:https://www.ladepechedebrest.fr/viewer/18953?offset=1&page=4#page=4&viewer=picture&o=&n=0&q=

matricule 1309 volume 3 : cheveux noirs, sourcils noirs, yeux gris, front haut, nez et bouche moyen,menton rond, visage ovale , degré instruction 2
page 535/867


Art. 54. Réformés temporaires dont le congé expire moins de trois mois avant l'accomplissement des deux années de service actif prévues par la loi de recrutement.

Les hommes de l'armée active dont le congé de réforme temporaire, temporaire, pour maladies ou infirmités contractées au service (2e catégorie de l'art. 43), expire moins de trois mois avant leur passage dans la réserve (compte tenu du temps passé en réforme temporaire) sont maintenus dans leurs foyers.

Il en est de même en ce qui concerne les réformés temporaires pour maladies ou infirmités antérieures à l'incorporation, contractées contractées du service ou non imputables au fait du service (lre catégorie de l'art. 43), lorsque leur congé de réforme temporaire temporaire moins de trois mois avant qu'ils aient accompli les deux années de service actif (non compris le temps passé en réforme temporaire) prévues par la loi de recrutement.

matricule 1309 volume 3 : cheveux noirs, sourcils noirs, yeux gris, front haut, nez et bouche moyen,menton rond, visage ovale , degré instruction 2
page 535/867


Art. 54. Réformés temporaires dont le congé expire moins de trois mois avant l'accomplissement des deux années de service actif prévues par la loi de recrutement.

Les hommes de l'armée active dont le congé de réforme temporaire, temporaire, pour maladies ou infirmités contractées au service (2e catégorie de l'art. 43), expire moins de trois mois avant leur passage dans la réserve (compte tenu du
temps passé en réforme temporaire) sont maintenus dans leurs foyers.

Il en est de même en ce qui concerne les réformés temporaires pour maladies ou infirmités antérieures à l'incorporation, contractées contractées du service ou non imputables au fait du service (lre catégorie de l'art. 43), lorsque leur congé de réforme temporaire temporaire moins detrois mois avant qu'ils aient accompli les deux années de service actif (non compris le temps passé en réforme temporaire) prévues par la loide recrutement.

2éme Classe-337 Ri matricule 1309

MAISSIN.
(23 août 1914.)
Dans la nuit du 9 au 10 août 1914, le régiment quitte Fontenay sous les ordres du lieutenantcolonel
Magnan. II débarque dans la région de Challerange. Le 5e
bataillon est affecté à la garde des
convois.
Le reste du régiment quitte Reuilly le 21 août et s'avance en Belgique par Noirfontaine et
Paliseul. Il contribue à la victoire de Maissin, y subit ses premières pertes mais capture des prisonniers
et combat toute la nuit à proximité du village. Le 23 août au matin, il prend part à la retraite
générale des armées françaises, se retire vers Bouillon où il prend position quelques heures.
Le soir il passe la Meuse et tient les débouchés de Sedan et de Torcy.
CHAUMONT-SAINT-QUENTIN.
(27 et 28 août 1914.)
Le 27 août, il se porte en avant vers le bois de la Marfée; il participe à la fin de la contre-attaque
glorieuse de Chaumont-Saint-Quentin et occupe le village toute la nuit. Le 28, il y subit un violent
bombardement et se replie vers midi sur Bulson.
Les jours suivants, il bat en retraite vers l'Aisne par Tourteron et Attigny.
Le 3 septembre, il fait un brillant retour offensif et reprend à la baïonnette le village de Bouy.
LA MARNE.
(6 au 10 septembre 1914.)
Le 6 septembre il s'établit au sud de la voie ferrée entre Normée et la Fère-Champenoise. Le
lieutenant-colonel Magnan est blessé et continue cependant à commander son régiment.
Le 8, attaqué à la baïonnette, il résiste dans une lutte acharnée corps a corps et subit des pertes
considérables.
Officiers et soldats se couvrent de gloire; le capitaine Barthélémy est tué.
Reformé vers OEuvy, il reprend l'offensive et s'empare du village de Lenharrée. Le souslieutenant
Rondel est fait chevalier de la Légion d'honneur.
Officier méritant, distingué, d'une tenue excellente et d'une manière de servir parfaite. S'est fait
remarquer dès le début de la campagne dans les affaires auxquelles il a pris part. Blessé grièvement
en attaquant à Lenharrée une batterie ennemie. Mort pour la France, le 12 septembre 1916, des suites
de ses blessures.
Le régiment poursuit l'ennemi, contribue â la prise du village de Suippes, au cours d'un violent
combat et repousse l'ennemi dans la direction de Souain.
Historique du 337ème RI (Anonyme, Charles-Lavauzelle, 1920) Numérisé par Daniel Aubret
Le 15 septembre, il est transporté dans la région de Reims, et, le 19 septembre, le 6e
bataillon
rejoint le régiment.
LA SOMME.
Le régiment gagne la Somme par étapes, et contribue aux opérations de la bataille entre Oise et
Somme, principalement vers la Boisselle.
Pendant tout l'hiver, terrible dans la boue des tranchées, il prend part aux attaques locales dans
les secteurs qu'il garde : en octobre, a Beaumont-Hamel, où il repousse une attaque allemande
importante; en novembre, au château de Thiepval; puis le 10 décembre au bois d'Authuile, où il
repousse encore une attaque, et le 17 décembre. Le sous-lieutenant Bouard se distingue et est décoré
pour le motif suivant :
A fait preuve d'une bravoure au dessus de tout éloge; quoique atteint d'une balle au pied, s'est
tenu dans un blockhaus allemand jusqu'à onze heures et quart, a tué un officier allemand, est sorti du
blockhaus, a été grièvement blessé au moment où il enjambait le parapet. Mort des suites de ses
blessures.
1915.
Le régiment reste dans le secteur de Bécourt pendant le printemps 1915; il y repousse une attaque le
28 février.
LA CHAMPAGNE.
II quitte le front de la Somme et débarque en Champagne le 22 août 1915. Le 3 septembre, il
repousse vigoureusement des coups de main allemands dirigés contre son secteur.
Le 25 septembre, il prend part à l'attaque générale de l'armée française au bois de Ville. Parmi
beaucoup d'autres soldats, Girardeau obtient la médaille militaire.
Soldat joignant à une manière de servir parfaite une conduite héroïque au feu. Type accompli
du soldat toujours prêt à aller de l'avant et à accomplir les missions périlleuses. Mort en brave au
champ d'honneur.
Pendant trois semaines le régiment progresse auprès de Ville-sur-Tourbe, au bois d'Hauzy, et
subit des pertes sensibles.
A partir du 3 novembre 1915, il occupe les secteurs des Mamelles et du Trapèze, y livre des
combats locaux, puis il occupe le Voussoir près de Tahure. Le 11'tévricr 1916, le lieutenant-colonel
Séjourné prend le commandement du régiment.
TAHURE.
(14 février 1916.)
Le 14 février, au cours d'une attaque, le sergent Ellouet obtient la citation suivante.
Commandant un groupe de grenadiers chargé d'interdire à l'ennemi l'accès d'un observatoire
important, a rempli sa mission jusqu'au bout. Mortellement frappé au cours de l'action.
Jusqu'au 17 février, le régiment lutte avec acharnement et reprend toutes ses positions; de
nombreuses actions d'éclat sont accomplies par tous.
VERDUN
(3 mai - 11 juin 1918.)
Le 20 mai, le régiment arrive dans le secteur de Verdun; du 31 mai au 11 juin il a mission de
défendre Thiaumont.
Historique du 337ème RI (Anonyme, Charles-Lavauzelle, 1920) Numérisé par Daniel Aubret
Jusqu'au 7 juin ses deux bataillons en première ligne subissent un tir écrasant d'obus de gros
calibre qui détruit les tranchées.
Le 8 juin, le tir redouble de violence et l'attaque ennemie se déclenche; une lutte acharnés
s'engage sur tout le front du régiment; les mitrailleuses restées intactes font subir à l'ennemi de très
fortes pertes; il prend pied dans les tranchées mais une contre-attaque immédiate le repousse à la
baïonnette. De nombreuses actions d'éclat attestent l'intrépidité de tous. Le sergent Beranger, tué
Parmi tant d'autres, obtient la citation suivante :
Véritable exemple de courage et d'abnégation; a montré pendant les journées du 7 au 8
juin 1916 du très belles qualités militaires. Chargé de défendre une position fortement attaquée
par l'ennemi s'est maintenu pendant quarante-huit heures sous un bombardement des plus
violents, et est tombé glorieusement à son poste alors que l'ennemie était définitivement repoussé.
Dans l'après-midi, l'ennemi exécute un bombardement effroyable et le 337e
subit des pertes
cruelles.
Au cour de la nuit, l'ennemi tente encore d'aborder les lignes à la grenade, mais il est partout
repoussé et dispersé.
Le 337e
qui a conservé Thiaumont, a, pendant ces onze jours de lutte héroïque, perdu la
moitié de son effectif.
A la suite de cette bataille, les survivants sont versés dans le 93e
où ils contribuent à former
un nouveau bataillon.
Le 337e
, partout où l'a appelé le service de la patrie, des champs de bataille de Belgique à celui de Verdun, a su toujours combattre sans défaillance et tenir très haut l'honneur de son
drapeau.