" L'avenir est unprésent que nous fait le passé. " AndréMALRAUX

![]() | A participé à la Grande Guerre, (1914-1918)
5 médias disponibles 5 médias disponibles A participé à la Grande GuerreL'actualité de la guerre au jour le jourDomicile lors de la mobilisation : Verzé (71) |
Parents
![]() |
|
![]() |
|
Union(s) et enfant(s)
- Marié le 24 septembre 1910 (samedi), Cluny, 71137, Saône-et-Loire, Bourgogne, France, avec Marie, Claudine Dit Mémé Chacha Charvet 1891-1978 (Parents :Antoine Charvet, A participé à la Grande Guerre, 1868 & Catherine Perrin 1872)dont
- Jeanne Labrosse 1911-1963
- Pierre Labrosse 1913-1931
- Simone Labrosse
Fratrie
Claude, Marie Labrosse, A participé à la Grande Guerre, 1886-1955 Marié le 24 septembre 1910 (samedi), Cluny, 71137, Saône-et-Loire, Bourgogne, France, avecMarie, Claudine Dit Mémé Chacha Charvet 1891-1978
Marguerite LABROSSE 1888- Mariée le 3 septembre 1920 (vendredi), Igé, 71236, Saône-et-Loire, Bourgogne, France, avecAndré Dulaurent
Pierre Labrosse, Mort pour La France Guerre 14/18 1889-1915
Grands parents paternels, oncles et tantes
Pierre Labrosse 1823-
(1851)
Jeanne Clément 1829-1891
Jeanne Marie Labrosse 1851
Jean-Louis Labrosse 1861-
Claude, Marie Labrosse 1861-1872
Marie LABROSSE 1863-
Antoinette Labrosse 1865-
![]() |
![]() 3enfants |
![]() |
![]() |
![]() |
Grands parents maternels, oncles et tantes
Jean LONGIN ca 1826-1889/
(1849)
Françoise Daujean 1827-1858
Jeanne LONGIN 1850-1878
Claude LONGIN 1855-1889
Jean LONGIN ca 1826-1889/
(1858)
Claudine GONNEAU, Fille naturelle 1836-1911/
Claude LONGIN 1864
Marie LONGIN 1867-
Jeanne LONGIN 1869-
Jeanne LONGIN 1873-1956
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() 3enfants |
![]() |
(affichermasquer) |
Événements
7 avril 1886 : | 7 avril 1886 :Naissance - La Vineuse, 71582, Saône-et-Loire, Bourgogne, France |
entre 8 octobre 1907 et 29 septembre 1909 : | entre 8 octobre 1907 et 29 septembre 1909 :Service militaire - Canton de Macon Nord Numéro de matricule : 938Incorporé Canonnier de 2ème classe au 1er régiment d'ArtillerieCertificat de bonne conduite48ème régiment d'artillerie (6 échelon |
10 janvier 1910 : | 10 janvier 1910 :Résidence - Igé le Martoret 71236, Saône-et-Loire, Bourgogne, France |
24 septembre 1910 : | 24 septembre 1910 :Mariage (avec Marie, Claudine Dit Mémé Chacha Charvet) - Cluny, 71137, Saône-et-Loire, Bourgogne, France |
30 décembre 1911 : | 30 décembre 1911 :Résidence - Verzé, 71574, Saône-et-Loire, Bourgogne, France |
entre 2 août 1914 et 14 mars 1919 : | entre 2 août 1914 et 14 mars 1919 :Mobilisation militaire - Campagne contre l'Allemagne 262ème régiment d' artillerieCampagne contre l'AllemagneCampagne simple du 2/8/14 au 9/8/14Zone des armées campagne double du 18/8/14 au 13/03/1919 |
23 juin 1920 : | 23 juin 1920 :Décoration - Médaille Commémorative Française de la Grande Guerre Médaille Commémorative Française de la Grande Guerre, 1914-1918, fut souvent appelée « médaille des poilus », surnom donné aux combattants de la Grande Guerre.BÉNÉFICIAIRES La Médaille commémorative de la Grande guerre récompense, les personnels ayant servi dans les conditions ci-après entre le 2 août 1914 et le 11 novembre 1918 : – tous les militaires et marins français présents sous les drapeaux ou à bord des bâtiments armés par l’État, ainsi que les marins du commerce, quelle qu’ait été la durée de leur mobilisation. – tous les militaires et marins étrangers ayant servi au titre français ou étranger dans une unité française, à l’exclusion de ceux qui n’y étaient que détachés. – avec l’agrafe « Engagés Volontaires » destinée :- à tous ceux qui, vieux ou jeunes, dégagés de tout service militaire, ou non susceptibles d’appel dans les deux ans, se seront engagés au cours de la grande guerre ;- aux officiers de complément qui, bien que libérés dès le temps de paix, par leur âge, de toute obligation militaire, étaient restés volontairement dans les cadres de la réserve ou de la territoriale et ont servi à ce titre pendant la guerre ;- aux étrangers qui se sont engagés dans les rangs de l’armée française. – les agents des portions actives et des subdivisions complémentaires territoriales des chemins de fer de campagne ( l’agrafe « Engagé Volontaire » étant attribuée à ceux de ces agents qui avaient dépassé l’âge du service militaire obligatoire et ont contracté un engagement de trois ans au titre des réseaux ). – les infirmières, infirmiers, médecins, pharmaciens, administrateurs de nationalité française ou étrangère ayant servi dans les formations sanitaires françaises aux armées ou à l’intérieur à titre bénévole. – les gardes civils, les agents de police et les sapeurs-pompiers des villes bombardées, ayant été officiellement inscrits entre ces mêmes dates et ayant rempli leurs fonctions au cours des bombardements. – les agents de police de la ville de Paris, du département de la Seine, le personnel du corps des inspecteurs de la police parisienne, le personnel des préposés actifs de l’octroi de Paris et des gardes des promenades et plantations de la ville de Paris, toutes catégories qui ont été militarisés par décrets des 7, 9, 19 août et 21 septembre 1914. – les militaires français qui, étant à l’étranger, n’ayant pu servir dans les rangs de l’armée française, se sont enrôlés durant la guerre dans les armées alliées ou associées de la France. – les travailleurs coloniaux ayant été employés aux travaux de la défense nationale en France, à condition d’avoir servi pendant une période de six mois au moins, entre les dates précitées. – les personnes de nationalité française ou étrangère ayant servi dans la zone des armées dans les œuvres ci-dessous désignées, accréditées auprès du haut commandement français ou relevant de ce commandement :- œuvres diverses, foyers du soldat, cantines de gare, etc. ;- Chevaliers de Colomb ;- American Red Cross ;- sections sanitaires automobiles des Croix-Rouge française et étrangères aux armées françaises. – les dames, de nationalité française ou étrangère, employées comme automobilistes, téléphonistes et secrétaires dans des formations organiques des armées relevant du commandement en chef. |
20 juillet 1922 : | 20 juillet 1922 :Décoration - Médaille de la Victoire Médaille de la VictoireMédaille interalliée 1914-1918 ConditionsDécerné par Drapeau de la France France et tous les pays alliésType MédailleDécerné pour Participation à la Grande GuerreÉligibilité Militaires alliésDétailsStatut Plus décernéeCampagne Première Guerre mondialeStatistiquesCréation 20 juillet 1922Ordre de préséancePrécédent Inférieur Équivalent Supérieur SuivantIllustration.Ruban de la médaille interalliée 1914-1918.modifier Consultez la documentation du modèle Cette médaille interalliée commémorative de la Première Guerre mondiale, dite « Médaille de la Victoire » a été créée par la loi du 20 juillet 1922. Sont concernés par cette décoration tous les militaires ayant servi trois mois – consécutifs ou non – entre le 2 août 1914 et le 11 novembre 1918 dans la zone des armées, les infirmières et infirmiers civils, les étrangers (civils ou militaires) ayant servi directement sous les ordres du commandement français, les maréchaux et généraux ayant eu un commandement pendant trois mois au moins, les prisonniers de guerre ainsi que les Alsaciens-Lorrains engagés volontaires qui ont appartenu pendant une durée quelconque à une unité combattante et à ceux qui peuvent justifier avoir déserté les rangs allemands. L'article 10 de la loi de 1920 précise que : Le droit de la médaille est également acquis aux militaires qui ont été tués à l’ennemi ou qui sont morts des suites de blessure de guerre (…) et à ceux qui sont morts de maladies ou blessures contractées en service. |
29 janvier 1926 : | 29 janvier 1926 :Résidence - Igé, Mas de Domange, 71236, Saône-et-Loire, Bourgogne, France |
1927 : | 1927 :Fondation de la coopérative vinicole d'Igé. - Igé, 71236, Saône-et-Loire, Bourgogne, France |
--- : | --- :Igé (avec Marie, Claudine Dit Mémé Chacha Charvet) Igé est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.Le village est situé dans le Mâconnais, à la lisière du Haut-Mâconnais au nord, entre Verzé, Azé et Cluny. On peut y trouver des vestiges historiques comme la chapelle de Domange qui date du Xe siècle ou une série de lavoirs situés dans tout le village. Village viticole du vignoble du Mâconnais. Histoire :C'est à Igé que, le 26 juillet 1789, débuta la jacquerie plus connue sous le nom de « Grande Peur du Mâconnais » où s'illustrèrent les brigands. Igé eut pour seigneurs au XVIIIe siècle de puissants nobles appartenant à la maison de La Bletonnière, famille qui avait pour armes : « D'or, à une ancre de sable. ». Poussés à bout par l'un de ces seigneurs, François Charles Albert de La Bletonnière, qui, suivant l'exemple d'Abel de La Bletonnière, son père, leur refusait l'usage de l'unique fontaine convenable du village, les habitants d'Igé, menés par le brandevinier Claude Pain, l'ex-syndic Jean Blanchard et l'ancien garde Antoine Protat, et aidés par les villageois d'Azé, saccagèrent le château de leur seigneur. Sur le territoire de l'actuelle commune fut aussi attaqué le même jour, au hameau de Domange, un domaine appartenant aux moines bénédictins de Cluny. À compter du 11 novembre 1900, Igé fut desservi par le train, suite à l'inauguration ce jour-là de la ligne de chemin de fer à voie étroite Mâcon-Fleurville via Lugny (ligne qui fonctionna, pour le trafic quotidien des voyageurs, jusqu'en 19314). Début 1927 : fondation de la coopérative vinicole d'Igé, avec Marius Vatron pour président. |
18 mai 1955 : | 18 mai 1955 :Décès - Igé, 71236, Saône-et-Loire, Bourgogne, France à son domicile |
Photos & documents
{{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }}
{{ media.date_translated }}
Aperçu de l'arbre
|