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Bienvenus vous tous, sur lapage généalogique de la famille Bossenmeyeret autres parents .La famille Bossenmeyer est originaire de Lembachet Kaltenhouse (67 ) depuis 1740 environ  .Avecmon époux nous essayonsde répertorier tous les descendants  de cettefamille depuis cette époque et aussi  tousles gens ayant un point commun avec cette commune de Kaltenhouse .N'hésitez pas de nous contacter pour tous renseignementset autres infos....nous serons ravis devous répondre .Nous possédons plusieursmilliers d'actes .Nous sommes egalement membres du cercle degénéalogie de Schirrhein/schirrhoffen(67)


JOSEPH AUGUSTIN THEMIER
JOSEPH AUGUSTIN THEMIER
  • Né le 22 juillet 1888 (dimanche) - Saint-Georges-d'Oléron,17190,Charente-Maritime,Poitou-Charentes,France
  • Décédé le 26 septembre 1915 (dimanche) - MINAUCOURT-LE-MESNIL-LES-HURLUS,51800,MARNE,CHAMPAGNE-ARDENNE,FRANCE,à l'âge de 27 ans
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A participé à la Grande Guerre, mort le 26/09/1915

Que s'est-il passé ce jour là ?
Domicile lors de la mobilisation : Saint-Georges-d'Oléron (17)

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Fratrie

 Notes

Notes individuelles

CHANTAL ANNE MARIE BAUSMAYER est une petite nièce de l’épouse de JOSEPH AUGUSTIN THEMIER►.PIERRE AUGUSTIN THEMIER EST "MORT POUR LA FRANCE " DANS LA BATAILLE CI DESSOUS A LA FERME DE BEAUSEJOUR DANS LA LA MARNEAvant la guerre, Beau­séjour était à une simple ferme construite en 1825 le long du chemin reliant Minau­court au Mesnil-​​les-​​Hurlus, par François Étienne BRACHET, ori­gi­naire de ce village. Elle était bien nommée car elle se situait en un lieu accueillant et pai­sible, abrité du vent du nord par la croupe val­lonnée qui descend de la « butte du Mesnil » et qui domine le ruisseau de Marson, aux eaux vives et claires. Le domaine s’étendait sur 600 hec­tares, implantés sur les com­munes de Minau­court et de Mesnil-​​les-​​Hurlus. C’était une ferme moderne com­portant ber­gerie, écuries, doté du matériel agricole récent. On y cultivait les céréales et les terres en jachère nour­ris­saient les nom­breux moutons. A cela s’ajoutaient un potager et deux grands vergers, l’un der­rière la ferme, et l’autre au-​​delà du ruisseau. Et puis on y recevait beaucoup, des citadins curieux et aussi des amoureux de la chasse.En 1860, l’empereur Napoléon III décernait une médaille d’or pour récom­penser le caractère exem­plaire de cette nou­velle implan­tation. La vie s’écoulait pai­si­blement à Beau­séjour et plu­sieurs familles avaient rejoint le site qui comptait à l’entrée en guerre cinq bâti­ments lui conférant la déno­mi­nation de hameau.Et c’est la guerre 12 août 1914, mobi­li­sation générale, 3 août, décla­ration de la guerre … 2 sep­tembre 1914, il faut évacuer, car les échos de la bataille qui se rap­prochent annoncent que les Uhlans arrivent. C’est l’invasion et c’est l’exode. La ferme est désertée.Mais la retraite de la Marne est arrêtée le 14 sep­tembre 1914, et les Alle­mands campent sur la ligne Souain, Perthes, Le Messin, Hurlus, Beau-​​Séjour, Mas­siges. Les combats reprennent, aux pre­mières lueurs du jour, le 7ème régiment d’infanterie, en liaison à droite avec le Corps Colonial engagé sur Mas­siges, essayait à nouveau d’aborder le Marson. Mais la résis­tance ennemie s’était orga­nisée. La crête du « Mont de Marson » à peine franchie, les sec­tions de tête du 7ème RI étaient accueillies par une forte fusillade.Com­pagnie par com­pagnie, les troupes fran­çaises, alors qu’elles appro­chaient du ruisseau, fon­daient sous le feu des mitrailleuses et des tirailleurs ennemis abrités dans les tran­chées amé­nagées sur la croupe nord de Beau­séjour. Les pertes deve­naient sévères, l’attaque était arrêtée. Elle reprenait, de nuit, à 22 heures. Les éléments de quatre régi­ments y par­ti­ci­paient. A nouveau pris sous le feu ennemi, les soldats français ne pou­vaient franchir le Marson. Ils com­men­çaient, à leur tour, à creuser le sol sur la rive sud du ruisseau. Ils étaient cer­tai­nement loin de penser que les combats dans ce secteur de Beau­séjour allaient durer quatre longues années.La ferme sera reprise par les colo­niaux, lors de vio­lentes attaques le 26 sep­tembre 1914. Des cen­taines de « mar­souins » seront tués dans les affron­te­ments. Le champ de bataille se réta­blira à quelques mètres au-​​dessus de Beau­séjour, face au nord.Une nou­velle attaque débute le 20 décembre 1914, exé­cutée par des bataillons des 7ème, 22ème et 33ème R.I.C. La ligne de front pro­gressera au fil des mois par actions de « gri­gnotage », mais les Alle­mands avaient organisé et for­tifié un lacis de tran­chées sur la hauteur, à 1500 mètres au nord de cette ferme.Cette position, for­mi­da­blement pro­tégée, à laquelle se heur­teront les mar­souins et fan­tassins le premier tri­mestre 1915 sera bap­tisée « Fortin de Beau­séjour ». Ce bastion sera pris et repris 7 fois entre mi-​​février et mi-​​mars 1915. Il y règne une inces­sante guerre des mines sou­ter­raines, ainsi que plu­sieurs assauts à la baïon­nette, clairon en tête, par­ti­cu­liè­rement meur­triers.Les Alle­mands recu­leront de cette position lors de l’offensive fran­çaise du 25 sep­tembre 1915.Durant les pre­mières attaques de septembre-​​décembre 1914, les maisons et bâti­ments du hameau seront mitraillés et bom­bardés quo­ti­dien­nement. Seuls quelques pans de mur résis­teront. Les vio­lents bom­bar­de­ments du premier tri­mestre 1915 achè­veront la des­truction du pai­sible « Hameau de Beau­séjour ». Il faudra attendre la grande offensive fran­çaise de Cham­pagne du 25 sep­tembre 1915 pour que le secteur et la position du « Fortin de Beau­séjour » soient enfin dégagés.

 Sources

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

JEAN BAPTISTE THEMIER 1822-1901 ANNE JOUSSEMET 1818-  
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LOUIS JUSTIN THEOPHILE THEMIER 1858- MARIE ADELAIDE DAVID 1862-
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portrait
JOSEPH AUGUSTIN THEMIER 1888-1915