Arrachés à ce monde et enattendant ici-bas enfouis, |
Deo gratias (Ep 3,14-15).
Arrachés à ce monde et enattendant ici-bas enfouis, |
Deo gratias (Ep 3,14-15).
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2 médias disponibles 2 médias disponibles A participé à la Grande Guerre, mort le 03/08/1916Que s'est-il passé ce jour là ?Unité(s) : 99e régiment d'infanterie (99e RI) Domicile lors de la mobilisation : Vouvant (85) |
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N° 10 - Naissance de PANNETIER Ferdinand Eugène, acte du 29 mars, garçon légitime née le 28 mars.
Mention marginale :- par acte en date du 3 octobre mil neuf cent onze, à la mairie de Foussais, PANNETIER Ferdinand, dont la naissance est constatée ci-contre a contracté mariage avec OUVRARD Marie Madeleine Hélène, dont mention faite par nous, greffier du Tribunal le 14 octobre 1911
N° 9 - transcription de l'acte de décès de Ferdinand Eugène PANNETIER, époux de Marie Madeleine OUVRARD"Mort pour la France"L'an mil neuf cent seize, le trois du mois d'août à dix-sept heures, étant à la Laufée près Damloup (Meuse), acte de décès de Ferdinand Eugène PANNETIER, soldat au quatre-vingt-dix-neuvième Régiment d'Infanterie, numéro matricule zéro treize mille trois cent quarante-neuf, troisième bataillon, neuvième Compagnie, né le vingt-huit mars mil huit cent quatre-vingt-un à Vouvant (Vendée), domicilié en dernier lieu à Foussais (Vendée), décédé à la Laufée près Damloup (Meuse) le trois août mil neuf cent seize à dix-sept heures, tué à l'ennemi, Mort pour la France, fils de François et de ROY Marie, conformément à l'article 77 du Code Civil, nous nous sommes transporté auprès de la personne décédée et assuré de la réalité du décès.Dressé par nous, Léon GRANCOURT, sous-lieutenant au quatre-vingt-dix-neuvième Régiment d'Infanterie, officier de l'état-civil, sur la déclaration de Clément ROBERT, âgé de vingt ans, soldat au quatre-vingt-dix-neuvième Régiment d'Infanterie et de Germain VOUGIER, âgé de vingt-quatre ans, soldat au quatre-vingt-dix-neuvième Régiment d'Infanterie, témoins qui ont signé avec, après lecture.Signé : Robert Clément, Vougier Germain, l'officier de l'état-civil, Grancourt -vu par nous, MOUNIER Paul Felix sous-intendant militaire. Signé : MounierVu pour légalisation de lal signature de M. Mounier Paul Félix, Paris le deux avril mil neuf cent dix-sept.Le ministre de la Guerre par délégation : le chef du Bureau des Archives Administratives. Signé : illisible.Mention additive :l'acte ci-contre est incomplet sur le point suivant : le soldat PANNETIER était époux de OUVRARD Marie Madeleine.Paris le vingt-six mai mil neuf cent dix-sept. Le chef du Bureau des Archives Administratives. Signé : illisible.L'acte de décès ci-dessus a été transcrit le six juin mil neuf cent dix-sept, quatre heures du soir, par nous, Octave DURAND, Maire de Foussais.Durand -
N°6 - octobre - mariage de PANNETIER Ferdinand Eugène et OUVRARD Marie Madeleine HélèneL'an mil neuf cent onze, le trois du mois d'octobre, sur les dix heures du matin, par devant nous, Benjamin BORDELAIS, adjoint au Maire, délégué par ce dernier pour remplir les fonctions d'officier de l'état-civil de la commune de Foussais, canton de Saint-Hilaire-des-Loges, département de la Vendée, ont comparu dans la Maison Commune pour contracter mariage :- PANNETIER Ferdinand Eugène, âgé de trente ans révolus, étant né le vingt-huit mars mil huit cent quatre-vingt-un à Vouvant, canton de la Châtaigneraie, département de la Vendée, ainsi qu'il est constaté par son acte de naissance dûment en forme, profession de domestique, domicilié à Foussais, célibataire, fils majeur de PANNETIER François, profession de cultivateur, demeurant à Foussais, et de ROY Marie, profession de cultivatrice, demeurant à Foussais, d'une part ; et,- Delle OUVRARD Marie Madeleine Hélène, âgée de dix-neuf ans révolus, étant née le neuf novembre mil huit cent quatre-vingt-onze à Foussais, canton de Saint-Hilaire-des-Loges, département de la Vendée, ainsi qu'il est constaté par son acte de naissance dûment en forme, profession de cultivatrice, domiciliée à Foussais, célibataire, fille mineure de OUVRARD Auguste, profession de cultivateur, demeurant à Foussais, et de PROTEAU Marie Madeleine, profession de cultivatrice, demeurant à Foussais, d'autre part.Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration de leur mariage.Vu les actes de naissance des futurs époux, ouï le consentement au mariage des pères et mères des époux, ici présents.Desquels acte en due forme il a été donné lecture ainsi que du chapitre VI du tire V du Code Civil, intitulé du Mariage. Faisant droit à la réquisition des comparants, nous les avons interpellés, ainsi que les personnes présentes dont le consentement est requis, de nous déclarer si un contrat de mariage règle les droits civils des époux ; et après avoir reçu leur déclaration de laquelle il résulte qu'il n'en existe pas,Nous avons demandé aux dits futurs époux s'ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d'eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous avons prononcé au nom de la Loi que PANNETIER Ferdinand Eugène et OUVRARD Marie Madeleine Hélène sont unis par le mariage.Dont acte passé et lu en présence de- PANNETIER Octave, âgé de vingt-sept ans, profession de cultivateur, qui a dit être frère de l'époux, demeurant à Foussais ;- PANNETIER Eugène, âgé de cinquante-sept ans, profession de cultivateur, qui a dit être oncle de l'époux, demeurant à Mervent ;- PROTEAU Augustin, âgé de soixante-dix ans, profession de cultivateur, qui a dit être grand-père de l'épouse, demeurant à Foussais ;- OUVRARD Pierre, âgé de trente-huit ans, profession de cultivateur, qui a dit être oncle de l'épouse, demeurant à Saint-Hilaire-des-Loges ;Lesquels ont signé avec nous ainsi que les époux, et les pères et mères des époux.Hélène Ouvrard - Pannetier Ferdinand - Pannetier Octave - Proteau - Ouvrard Pierre - Ouvrard Auguste - E.Pannetier - Pannetier F. - Bordelais - Marie Roy - Madeleine Proteau
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La construction de son identité passe par le sentimentd'appartenance à une lignée, à un territoire.
Voler de branche en branche dans son arbre c'est comme butinerdans le jardin famillial pour en faire son miel afin de mieuxappréhender son héritage psychologique et son influence dans nosvies personnelles.
Anne Ancelin Schützenberger
" Quel contentement me serait-ce d'ouïr quelqu'un quime recitât les moeurs, le visage, la contenance, les plus communesparoles et les fortunes de mes ancêtres. Combien j'y seraisattentif ! Vraiment, cela partirait d'une mauvaise nature d'avoir àmépris les portraits de nos prédécesseurs. "(Montaigne)