
![]() |
1 média disponible 1 média disponible A participé à la Grande Guerre, mort le 25/10/1918Que s'est-il passé ce jour là ?Unité(s) : 8e régiment d'artillerie de campagne (8e RAC), 48e régiment d'artillerie de campagne (48e RAC), 38e régiment d'artillerie de campagne (38e RAC) , 42e régiment d'artillerie de campagne (42e RAC) Domicile lors de la mobilisation : Vandoeuvre-lès-Nancy (54) |
Parents
Jean VENNER 1862-1921
Marie EMBS 1861-1930
Fratrie
Charles VENNER 1889-1895
Louis VENNER 1891-1936
Marcel VENNER 1893-1947
Pierre VENNER 1896-1918
Jeanne Louise Catherine VENNER 1900-1984
Camille VENNER 1902-1903
Eugène VENNER 1905-1962
(affichermasquer) |
Événements
21 juin 1896 : | 21 juin 1896 :Naissance - Nancy, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France Lieu de naissance 19 impasse Raison.« C’est une bien méchante et bien triste petite rue, ouverte il y a une douzaine d’années (1892), et dénommée par les uns, impasse Raison du nom de la propriétaire des terrains, Madame Richier-Raison, marchande de fers, (dénommée) par les autres, rue du Dimanche. Il est regrettable à tous égards, que l’on ait laissé ouvrir une rue dans de pareilles conditions, sans plan, sans orientation, sans largeur voulue et sans débouchés prévus. »(Cette description valait pour d’autres rues car il fut un temps, à Nancy, où des propriétaires de terrains, s’appuyant sur de bonnes relations, s’improvisaient ingénieurs des Pont-et-Chaussées.)Le 16 novembre 1904, le Conseil municipal de Nancy décida du prolongement de cette impasse jusqu’à la rue de Laxou, face à la rue dite du Sergent-Bobillot, que cette nouvelle rue serait dénommée rue du Général-Curély, de Jaulny, glorieux cavalier du 1er empire. En mars 1906, si elle fut incorporée sous le nom de rue du Dimanche, la nouvelle rue fut dénommée…rue Jules-Ferry.(Impasse encore mentionnée en septembre 1910 Est Républicain)Sources texte : L’immeuble et la construction dans l’Est - GallicaCette impasse devait son autre dénomination, de rue du Dimanche, aux promenades dominicales, des familles du quartier, vers Médreville.Au commencement du projet, il ne s’agissait que d’ouvrir la voie, de créer des commodités d’accès… Puis il fut question d’abattre des immeubles*, d’importants travaux de voirie. On se mit à spéculer sur les terrains, sur la construction de nouveaux immeubles qui accueilleraient des familles bourgeoises.Les familles d’ouvriers délogés furent contraintes de quitter leur quartier. Témoin :Emile THALMANN, ca 1857 |
25 octobre 1918 : | 25 octobre 1918 :Décès - Ochriba, Serbie, Ohrid, Sud-Ouest, Macédoine Mort pour la France Ambulance mobile colonie n° 13 0 Ochrida (fiche Mémoire des hommes)Retranscrit le 8 avril 1919 à Vandoeuvre-lès-NancyActuelle ville d'Ohrid en Macédoine Témoin :Auguste POURCEL |
17 décembre 1922 : | 17 décembre 1922 :Inhumation - Nancy, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France Cimetière du SudInhumation provisoire en un lieu inconnuproche de Ochriba, Serbie, de 1918 à 1922 |
Notes
Notes individuelles
2ème canonnier conducteur au 242ème RAC
Inhumation provisoire en Serbie de 1918 à 1922.Est Républicain 13 décembre 1922 : "Le retour de nos morts" La municipalité se rendra le vendredi 15 décembre, à 11 heures du matin, au Dépositoire municipal de la gare des marchandises, pour saluer la dépouille mortelle des militaires tombés pour la France et ramenés à Nancy par le 26ème train spécial (12 corps) dontVenner Pierre, soldat 242è R.I. – Mme Veuve Venner 1, rue de Nabécor Nancy.Est Républicain 16 décembre 1922 Avis de décès dimanche 17 décembre ... Convoi funèbre du dépositoire de la gare de Nancy et de là au cimetière du Sud.
L'inhumation s'est déroulée dans un carré dit restitué aux familles, avec cette particularité de ne pas être un carré militaire (croix blanches) mais pour autant l'administration n'a jamais ignorée qu'il s'agissait de soldats morts pour la France. Chacun a "bénéficié" d'une sépulture. Les pierres tombales, par manque d'entretien, ont été éliminées. Les descendants pour la plupart ignoraient leurs existences.Avant d'avoir découvert cet article de presse de 1922, moi-même je l'ignorais, pensant Pierre reposant à l'Ossuaire de Bitola en Macédoine.Ce carré ou repose une centaine de soldats est dit "oublié"... semblant de jardin du souvenir, où s'érigent, posées à même le sol, quelques pierres tombales "récupérées" à la demande des familles.
Cérémonie d'inscription au Monument aux Morts de Vandoeuvre-lès-Nancy, le 11 novembre 2009 avec la présence et la participation active du Souvenir Français.
Vandoeuvre-lès-Nancy - Livres d'or 14/18 (1914 - 1918)
Photos & documents
{{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }}
{{ media.date_translated }}
Aperçu de l'arbre
|