Message d'information du propriétaire de l'arbre

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Toi qui cherches, apprends la patience car seul se que l'on ades difficultés à trouver apporte de réellessatisfactions. Le travail des autres est parfois utile mais jamaissource de convictions car tout ce qui a été ne seraplus. Tirer le réel de l'apparent est ardu car la roue quitourne a parfois des jambes de bois. Antoine de Lavoisier disait :« Rien ne se perd, rien ne secrée, tout se transforme ». Puisque rienne se perd, cherchons. puisque rien ne se crée acceptons cequi fut. Puisque tout se transforme, faisons la lumière surce qui a été caché car aujourd'hui est laconséquence de ce qui fut hier.


  • Né le 12 septembre 1816 - Archettes, 88380, France
  • Décédé
  • Charpentier, cultivateur àá Uxegney

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Fratrie

 Notes

Notes individuelles

Histoire Durant l'Ancien Régime, la paroisse d'Archettes était composée du village de ce nom, des hameaux de Mossoux et La Baffe, des quatre censes de la Versure, des deux de l'Ermitage, des huit de Mont-le-Rupt, de celle du Bois-Formé et de la partie de Jarménil qui longe la forêt de Tannières, sur la gauche de la Vologne. Puis, il en a été retranché La Baffe et Jarménil, ainsi que les censes des Arpents, et ajouté les deux censes de Soba.

Au spirituel Avant 1776, la paroisse d'Archettes faisait partie du doyenné de Remiremont, archidiaconé des Vosges, diocèse de Toul. Mais depuis, la paroisse relève du ressort du doyenné de Remiremont, archidiaconé d'Epinal, diocÃèse de Saint-Dié, évêché érigé par la bulle du pape Pie VI du 21 juillet 1776.

Avant la Révolution, il y avait sur le territoire de la commune d'Archettes, un ermitage de la Conception Notre-Dame, dans lequel se faisait le noviciat des ermites de la congrégation de Saint-Jean-Baptiste, dont les statuts réformés ont étéé approuvés par l'évêque de Toul le 1er féévrier 1759. Cet ermitage, dont la date de fondation est inconnue, fut détruit en 1789 et remplacé par les deux fermes dites de l'Ermitage.

L'église communale est dédiée àá saint Lééger. àëvêque d'Autun àá partir de 663, il est né vers 616, dans une vieille famille franque de la région de Poitiers, apparentée aux nobles burgondes. Léger est mêlé de très près aux luttes entre la Burgondie (Centre et Est de la France) et la Neustrie (Nord de la France) : il défend les usages et l'autonomie de la Bourgogne contre la tendance centralisatrice de la Neustrie. ExaspéréÂ? par son comportement, Ebroé»n, maire du palais de Neustrie, assiège l'évêque dans sa ville d'Autun. Celui-ci se livre pour épargner la cité, mais il est alors soumis aux pires tortures : les yeux brûlés, ses bourreaux le forcent àá marcher dans un bassin dont le fond est seméÂ? de pierres tranchantes, puis ils lui tailladent les joues et lui coupent la langue et les lèvres. Il est déclaré "prêtre indigne" par un synode convoqué par Ebroé»n. Léger survit deux ans àá ses atroces mutilations, interné de force chez des religieuses àá Fécamp, avant qu'on le décapite, le 3 octobre 679, après un simulacre de procès. Après sa mort, un autre synode réhabilite Léger et lui donne le titre de martyr. Un des premiers textes littéraires en langue romane lui est dédié en 970 ("complainte de Saint-Léger").

Plan d'Archettes -
http://maps.google.fr/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=Archettes&sll=49.03227,5.22537&sspn=3.011068,7.03125&ie=UTF8&ll=48.135392,6.534462&spn=0.191548,0.439453&z=11

 Sources

  • Personne: Wikipédia - Google Maps
  • Naissance, union: Agnès Coltat Febvre

  Photos & documents

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