Dans un premier temps au moins, je m'efforce de retrouver tous les ancêtres directs de mes enfants, avec quelques extensions pour mes neveux, et me limite à chaque niveau aux frères et soeurs, leurs conjoints et enfants, sans redescendre plus bas.
Je ne néglige aucune piste, même sujette à interrogations, c'est pourquoi il peut subsister des incohérences apparentes que j'élimine au fur et à mesure de mes recherches, contrôles et croisements d'informations.
Je tiens compte des observations pertinentes qui me sont formulées et étayées par mes contacts.
J'ai retenu pour les ancêtres minorcains ou espagnols de mon épouse (ceux nés sur le territoire espagnol antérieurement à 1850) la tradition espagnole qui consiste à accoler au nom du père celui de la mère et qui permet ainsi de connâître dès la lecture du nom, l'ascendance directe.