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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


  • Née le 31 août 1607 - La Chapelle Godefroy, Aube 10, Aube
  • Décédée
  • Religieuse au Paraclet

 Parents

  • Charles NUGAULT, né en 1571, décédé le 27 mai 1630 - Nogent sur Seine, Aube 10, Aube à l'âge de 59 ans
    Marié avec
  • Jeanne PARISOT, décédée après 1638

 Fratrie

 Notes

Notes individuelles

I185549
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Lemot 14/3

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Elle est une "cousine remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins avec anecdote familiale
A 13 ans, elle devient religieuse à vie au Paraclet avec le soutien financier de ses parents

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Parrain : M.r Jacque PARAIN, advocat
Marraine : Damoiselle Louyse DE BERNARD & Katherine GUYON
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  • Le 19.5.1620, Charles NUGAULT, seigneur de Saint-Aubin, époux de Demoiselle Jeanne PARISOT intervient pour Loyse, leur fille, dont la volonté est d'être religieuse en l'Abbaye du Paraclet [AD 10 - E* 2859]
  • Le 19.5.1620, les religieuses du Paraclet passent une transaction avec Charles NUGAULT, écuyer, seigneur de Saint-Aubin et Demoiselle Jeanne PARISOT, sa femme. Demoiselle Louyse NUGAULT, leur fille, désire être religieuse en l'Abbaye du Paraclet. Ses parents lui accordent une pension de 50 livres par an pendant leur vie et 60 livres par an après leurmort, comme pension viagère. Le même jour, une autre transaction entre les mêmes parties au sujet des droits de justice dans les terres du Paraclet [AD 10 - 24 H 93]
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Ainsi, trois mois avant ses 13 ans, elle est devenu religieuse . Quelle est la transaction sur les droits de Justice qu'ont conclu parallèlement religieuses et parents ?
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Paraclet (Parakletos ; en latin "Paraclitus") est un mot d'origine grecque qui signifie « celui qui console », ou « celui qui intercède», l'« avocat ».
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L'abbaye du Paraclet, appelée habituellement Le Paraclet ou encore Paraclet de Nogent, était une abbaye féminine bénédictine prestigieuse fondée par Abélard et Héloïse au xiie siècle en Champagne à l'écart de Quincey, village aujourd'hui rattaché à la commune de Ferreux-Quincey, dans le diocèse de Troyes, aujourd'hui département de l'Aube.
Chef du premier ordre spécifiquement féminin, le Paraclet a illustré un modèle basé sur l'érudition, la musique vocale savante et le petitnombre de professes comme de filiales, qui préfigure Saint-Cyr. Un temps promu au sein de l'Église en concurrence de l'abbaye mixte de Fontevraud et en opposition aux ordres mendiants, tel celui des Clarisses, il a représenté une tentative de reconnaissance de l'égalité intellectuelle des femmes au delà de l'échec du béguinage. Détruit par la Guerre de Cent Ans, les guerres de Religions et la Révolution, il montre aujourd'hui très peu de choses de ce qui en avait été restauré à partir du xviie.
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L'établissement qu'Héloïse projette de construire autour d'un oratoire dédié à saint Denis est surnommé Paraclitum, au sens de consolation, dès 11305 en souvenir de ce qu'Abélard, sept ans plus tôt, après sa condamnation au Concile de Sens, « rescapé mais au bord du désespoir, y reprit un peu de souffle dans la consolation de la grâce divine »6. Ce nom est une référence directe, restée secrète pour les contemporains, aux discussions éthiques et théologiques qui ont nourri la relation intime des anciens amants entrés dans les ordres après la naissance de leur fils Astralabe et leur mariage.
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Logicien le plus célèbre de son temps, Abélard, investissant tardivement, à partir de 1113, la théologie avec les instruments d'Aristote, fâche les autorités religieuses par l'application de sa théorie des universaux à ce concept de Paraclet. Dans son analyse du genre et de l'espèce appliqué à Dieu, il fait du Paraclet non pas un autre nom du Saint-Esprit mais une qualité commune aux trois personnes divines. Ce faisant, en exégète qui n'hésite pas à contredire la tradition, Abélardsuit le texte à la lettre.
Condamnée, entre autres points, par Bernard de Clairvaux, au Concile deSens, cette notion abélardienne de Paraclet, est assez sulfureuse pourque le terme, employé dès 1130 pour désigner l'abbaye, soit écartéen 1131 par la Curie, qui préfère dans un premier temps celui d'oratoire de la Sainte Trinité. Dans l'usage, l'abbaye continue de s'appeler Le Paraclet, et la dénomination devient tout à fait officielle au plustard en 1147.
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Avant 1616 l'abbesse Marie de La Rochefoucauld vend à François d'Amboise et André Du Chesne l'exemplaire manuscrit du Paraclet d'Abélard et Héloïse. Le fils cadet de Du Chesne se charge de la première traduction, qui paraît en 1615 et est mise à l'index dès la seconde édition, principalement à cause de la préface apologétique. Sous prétexte d'une condamnation pour hérésie qui n'a pas été prononcée, les amants scandaleux restent plus que jamais censurés.
À partir des années suivantes, l'abbesse met progressivement en œuvreles nouvelles règles édictées par le Concile de Trente, clôture, silence, effacement des conditions sociales, soumission à l'évêque, confesseur externe au monastère, directeurs de conscience, interdiction prophylactique d'être à deux, chasteté de la pensée, etc.
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Le 15 mars 1621, elle regroupe les deux cercueils d'Héloïse et Abélard dans un caveau qu'elle a fait aménager dans le plafond de la crypte sous l'autel.
En 1623, elle choisit pour coadjutrice Anne Marie de la Rochefoucauld deLangeac.
Le 27 juin 1626, l'abbesse fait constater l'infraction commise par l'évêque de Troyes René de Breslay, qui, pour le besoin des travaux d'installation d'une grille dans le chœur de l'abbatiale, a transgressé sansautorisation la clôture. Il lui est reproché en outre d'être entré dans les cellules et d'y avoir eu des entretiens avec les nones tard dans la nuit. L'affaire est portée devant le lieutenant général du présidial de Sens, Bernard Angenoust, seigneur d'Avant et de Rosières, lequel rappelle la souveraineté que tient l'abbesse du seul Saint-Siège etl'étendue de celle ci. L'évêque obtient un droit de visite pastorale.
Le 8 mai 1632, à la demande des moniales, ce même évêque publie la règle, mise en place quinze ans plus tôt, que leur prescrit la Réformecatholique. Il ne manque pas d'accaparer l'acte en l'accompagnant d'unelettre dans laquelle il les exhorte à respecter cette règle « en dépit de la faiblesse de leur sexe ».
Durant tout le mois de mars 1637, l'abbaye, qui avait bénéficié d'unesauvegarde lors d'un premier passage en 1627, est réquisitionnée pourles troupes du Maréchal de Coligny en campagne dans la guerre de Trente Ans. Elle compte à cette époque vingt huit religieuses. [dont probablement Louis Nugault...]
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Le 10 août 1650, une tempête détruit le clocher, la voute de l'abbatiale, le cloître, la boulangerie, l'infirmerie, le noviciat et l'appartement de la supérieure. L'abbesse Gabrielle-Marie de La Rochefoucauld conduit la reconstruction, qui inclut les granges et le colombier qui se voient aujourd'hui. Sa sœur, Catherine de La Rochefoucauld, vingt-sixième abbesse, fait construire en 1686 le château pour y loger les sœurs à l'écart des novices et du personnel des convers. L'ancienne abbaye autour de l'abbatiale acquiert déjà son caractère purement fonctionnel, essentiellement horticole et agricole, avec d'un côté le cloître etde l'autre la basse-cour.
La vie à l'abbaye ressemble plus à une vie de château austère ponctuée par le cérémonial bénédictin, soit six heures de prières quotidiennes. Le confort est confié aux soins des frères et sœurs converses. Celles-ci sont une petite douzaine pour le double de « moniales de chœur ». L'abbaye accueille des prêtres, des bénédictins et des novices en visite. Elle compte en son sein des frères et sœurs oblats, jeunes dévots ou retraités ayant donné leurs biens et bénéficiant d'unerègle allégée.
[page Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_du_Paraclet]
======================================================================================================================================================================================Ascendant référent Blaise PIERRON

Créé le 20/11/2014

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

      sosa Blaise L'Aîné PIERRON, SOSA †1583 sosa Laurence CHOMARD, SOSA †1584
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Nicolas NUGAULT, Seigneur de Saint Aubin Barbe Zzz PERRIN Philibert PARISOT, Seigneur du port de Nozeaulx †1615 Marie PIERRON †1610
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Charles NUGAULT 1571-1630 Jeanne PARISOT †1638/
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Louise NUGAULT 1607-