- Né le 13 mars 1891 - Saint-Germain des Près , Tarn
- Décédé le 26 septembre 1914 - Gerbéviller, département de Meurthe-et-Moselle, Lorraine,à l'âge de 23 ans
- Cultivateur
A participé à la Grande Guerre, mort le 26/09/1914
Que s'est-il passé ce jour là ?Parents
|
|
Fratrie
Antoinette Louise Anne FILAQUIER 1881-1956 Mariée le 21 avril 1902, Soual ( 81 ), avecLouis CROS
Baptiste Joseph FILAQUIER 1891-1914
André FILAQUIER 1899-1983 Marié en 1925, Viviers Les Montagnes (81), avecAurélie Emilie LUCAS 1899
Grands parents paternels, oncles et tantes
Louis Antoine FILAQUIER 1819-
(1843)
Rosalie FÉDOU 1825-1874/
Jean FILAQUIER 1845-1921
Marie FILAQUIER 1851-
Jean Louis FILAQUIER 1854-
![]() 2enfants |
![]() |
![]() 3enfants |
Grands parents maternels, oncles et tantes
Baptiste SOULIE 1824-
Jeanne Brigitte BOUISSET 1822-
Flavie SOULIE 1860-
![]() 3enfants |
Notes
Notes individuelles
Disparu le 22 août 1914 à Lunéville, Meurthe et Moselle.
Le Lundi 24 août 1914, les allemands progressèrent et rejetèrent les avant-postes de la IIe Armée française hors de Damelevières et de Gerbéviller. Par la suite, après de durs combats, les mêmes troupes allemandes accentuent leur avance et refoulèrent encore les Français.
Le même jour, 60 Chasseurs du 2e Bataillon de Chasseurs à Pied, dirigés par l'adjudant Chèvre, s'installèrent à Gerbéviller et y édifièrent des barricades de fortune. La mission des soldats français était de ralentir le plus possible l'ennemi pour permettre au général de Castelnau d'organiser la résistance en arrière du front.
À Gerbéviller, les premiers tirs furent échangés vers 9 h. Ne pouvant distinguer avec précision les Français, croyant peut-être avoir affaire à des partisans49, les troupes allemandes se livrèrent au pillage et à la destruction des habitations de la rive droite de la Mortagne. Après une accalmie, le combat reprit au début de l'après-midi. Une pluie d'obus s'abattit sur la ville jusqu'au repli des troupes françaises vers 17 h.
La ville fut alors livrée au pillage et la population soumise à la violence de la soldatesque du 69e régiment d'infanterie : 64 habitants massacrés (dont 15 affreusement mutilés, fusillés ou brûlés vifs), viols, prise d'otages... selon les témoignages, 475 maisons furent incendiées.
Un seul quartier échappa à la destruction, celui de l'hospice dirigé alors par Sœur Julie qui convainquit les Allemands que seuls des blessés dont quelques Allemands étaient hébergés dans l'hospice50.
Décès
https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239e843277d7/5242bdae21a93Photos & documents
{{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }}
{{ media.date_translated }}
Aperçu de l'arbre
|