Message d'information du propriétaire de l'arbre

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Bonjour à tous                                              

Françoise                                                                                 Michel                                                                     

Ascendance maternelle Bretagne -Finistere Sud                 Ascendance maternelle Ile de Franceet Picardie

Ascendance paternelle Périgord- Dordogne                        Ascendance paternelle Ile de France etLuxembourg

N'hésitez pas à mecontacter pour réparer d'éventuelleserreurs. Ma Généalogie n'yfait pas abstraction ; sans compter les subtilités de lapaléographie


François Pierre Yves Gourlaouen
François Pierre Yves Gourlaouen
  • Né le 26 septembre 1879 (vendredi) - Beuzec-Conq - 29900 - Finistère - Bretagne - France
  • Décédé le 4 septembre 1916 (lundi) - Vermandovilliers - 80320 - Somme - Picardie - France,à l'âge de 36 ans
  • Inhumé en 1916 - Vermandovilliers - 80320 - Somme - Picardie - France
  • Cultivateur - Mort pour la France
1 média disponible 1 média disponible

 Parents

  • Yves Marie Gourlaouen, né le 6 juillet 1857 (lundi) - Saint-Yvi - 29140 - Finistère - Bretagne - France,
    Cultivateur

    Marié le 4 juillet 1877 (mercredi), Saint-Yvi - 29140 - Finistère - Bretagne - France, avec
  • Marie Yvonne Le Duigou, née le 26 octobre 1853 (mercredi) - Beuzec Conq - 29970 - Finistere - Bretagne - France, décédée, inhumée ,
    Cultivatrice

 Union(s)

 Notes

Notes individuelles

  Première Guerre mondiale Vermandovillers

Le village est repris en juillet 1915.Vermandovillers fut durement touchée par la Première Guerre mondiale : Une première attaque se produisit le 24 septembre 1914, qui fut en partie stoppée par le 75e R.I. au Bois Étoilé à l'entrée d'Herleville. Le front fut stabilisé durant deux ans jusqu'au 4 septembre 1916.

Bataille de Vermandovillers (1916)La bataille de Vermandovillers se déroula en septembre 1916 dans le cadre de la bataille de la Somme. Elle opposa l'armée française à l'armée allemande.

L'attaque du 4 septembre 1916 de Vermandovillers au départ du Bois Étoilé, fut confiée à la 132e division (35e C.A - 10e Armée) vers un point d'appui, abondamment pourvu d'abris bétonnés pour mitrailleuses, organisé par les Allemands, depuis près de deux ans5. Le 6 septembre 1916, de nombreuses divisions (13e - 43e - 51e) le 120e R.I. participèrent à la bataille dite de Vermandovillers. Elle prit fin le 9 septembre 1916 faute de combattants.Le 158e R.I., le 366e R.I. et le 1er bataillon de chasseurs ont eu une conduite exemplaire et subirent de lourdes pertes.

Le 86e R.I. s'embarque en chemin de fer le 24 août. Le 7 septembre, le régiment est alerté, enlevé dans l'après-midi, en camions automobiles. Après un voyage rapide, il est débarqué à proximité de la zone de la bataille à la sortie sud d'Harbonnières, vers 22 heures. C'est la nuit dans une région inconnue. Et cependant, il faut marcher de suite. Deux bataillons vont alors passer la nuit à Vauvillers et à Frameville. Un bataillon se rend directement en réserve à proximité des premières lignes, au bois Étoilé, à 1 km de Vermandovillers où viennent de se dérouler des combats acharnés depuis le 5 septembre. Le régiment doit relever le 8 au soir des éléments épuisés qui viennent de soutenir une lutte sanglante de plusieurs jours.

C'est ainsi que le 86e entre en ligne au nord-ouest de Vermandovillers avec 2 bataillons en 1re ligne et 1 en réserve. Le terrain récemment conquis, est complètement bouleversé. Le Bois Étoilé ne présente plus qu'une série de troncs sectionnés. Les boyaux et les tranchées sont à moitié remplis d'une boue liquide, la terrible boue de la Somme. Et, presque sans interruption, un violent duel d'artillerie remplit l'air de sons monstrueux, de trajectoires mortelles. Le village ne présente plus que quelques amas de décombres disséminés sur le terrain incessamment défoncé par les obus. Vermandovillers a été attaquée le 5 septembre ; mais énergiquement défendue, elle est restée presque entièrement aux mains de l'ennemi. L'attaque de ce village peut être reprise par les vaillantes troupes de la 49e brigade. À partir du 9 septembre, le 86e se met au travail avec ardeur pour préparer les parallèles d'où il s'élancera au jour et à l'heure fixés. Le travail s'effectue dans des conditions très difficiles, sous des feux d'artillerie et d'infanterie violents. Les pertes augmentent de jour en jour ; le travail continue. Durant les trois jours qui précèdent l'attaque, notre artillerie donne avec toute sa puissance. Les derniers vestiges de Vermandovillers disparaissent dans une poussière blanchâtre, projetés bien haut par nos énormes obus de 240, 340 et 370. Ceux qui ont assisté à cette préparation d'artillerie se souviennent du travail fait sur la tranchée du Chien fortement organisée par l'ennemi. Nos avions tiennent l'air sans arrêt. Les appareils ennemis restent loin à l'intérieur de leur secteur et dès qu'ils semblent s'approcher, ils sont immédiatement pris à partie par les nôtres qui leur interdisent nos lignes.

Du 4 au 9 septembre 1916, la 86e brigade perdit 1 071 hommes, la 264e brigade, 1 513 et la 108e, 1 580.

Les Allemands ne réagissent qu'assez faiblement par leur artillerie durant les journées des 15 et 16 septembre. Enfin le jour et l'heure de l'attaque, tenus secrets jusqu'alors, le jour et l'heure H, sont fixés.

C'est le 17 septembre que le 86e va s'élancer à l'assaut de Vermandovillers. L'attaque principale du régiment sera menée par le 1er bataillon, sous les ordres du commandant Peyre, encadrés, à droite et à gauche par des fractions du 2e bataillon. Le 3e bataillon doit assurer à la grenade, le nettoyage d'importants abris établis dans l'ancien groupe de maisons de la partie nord du village. Mais dès le 17 au matin, l'artillerie ennemie augmente considérablement son activité. De nombreuses mitrailleuses allemandes que notre artillerie n'a pu atteindre, restent intactes et actives, particulièrement dans la région du bois du Cerisier et nous causent des pertes déjà sérieuses. L'ennemi connaît nos projets : il nous attend

Ces chiffres expliquent le fait que reposent 1 261 Français et 22 665 Allemands dans les cimetières situés dans un rayon de 5 km autour de Vermandovillers. Les Britanniques ne sont pas comptabilisés car, bien que tués sur ce sol, ils reposent en majeure partie à Villers-Bretonneux (Somme) dans le cimetière militaire contenant des tombes australiennes et britanniques, à environ 20 km.

Les combats détruisirent totalement le village de Vermandovillers

La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le 27 octobre 1920

Décès

Disparu sur le Camps de Bataille

Notes concernant l'union

Union avec Marguerite Françoise Bourbigot

Notes époux : Le marié est domicilié à Kerliane et ses parents au Vuzut, tous en Beuzec Conq

Notes épouse : La mariée est domiciliée à Lanadan en Beuzec Conq et des parents à Kerempelleter en St Yvi

Acte n° 2 - 10h du matin - Les mariés et les témoins Tollec, Duigou et Déréat signent l'acte

 Sources

  • Personne, famille: CGF Recif - Généanet - 2020
  • Union: Identifiant CGF de l'acte : M-1907-2900900-60537-03584 - (Relevé 'Etat civil NMD >=1793')
  • Décès: Archives Départementales du Finistère Classe 1899 page 390

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

    Jean Louis Le Duigou 1791-1827 Marie Jeanne Richard 1784-1827 Jean Piriou 1801-1836 Marie Corentine Le Brigand 1800-
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  Pierre Louis Le Duigou 1819- Marie Jeanne Piriou 1826-1888
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Yves Marie Gourlaouen 1857 Marie Yvonne Le Duigou 1853-
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François Pierre Yves Gourlaouen 1879-1916