Il fit ses début dans les Ponts-et-Chaussées.
Lors de ses expositions dans les salons, ses peintures se retrouvaient dans les dernières salles.
Les rigueurs de l'ordre alphabétique, s'appuyant sur son nom (Velluet) en étaient la cause.
C'est sous les conseils d'Antonin Proust qu'il se résout à ajouter, à son nom, une partie du nom de son épouse.
Il créa donc son pseudonyme d’artiste peintre: "Combe-Velluet".
Il est peintre paysagiste principalement régional. (Niort, Parthenay, Saintes, Poitiers…)
En 1868, le Conseil Général des Deux-Sèvres renouvelle sa subvention de 500F au jeune Velluet, peintre.
La ville de Niort lui accorde aussi son aide:
"Ces subventions doivent permettre à M. Velluet de poursuivre ses études à l’École Impériale des Beaux-Arts."
Il fut élève de Jean-Léon Gérôme, il a exposé au Salon de Paris en 1878 et en 1882.
Il revint à Niort en 1873.
Il fut directeur de l’école de dessin de Niort.
Il eut pour élève le célèbre sculpteur Niortais, Pierre-Marie Poisson, qui devint son ami.
C’est un peintre paysagiste d’aquarelles et peintures à l’huile.
"L’Étang de la Fontaine aux Loups" est considéré à cette époque comme le chef-d’œuvre du peintre.
Ses tableaux qui sont réalisés la fin du XIXe siècle s’inspirent de son environnement proche.
On trouve notamment un tableau mettant en scène les pêcheurs de Saint-Liguaire.
Très inspiré par les paysages aquatiques, il peint les environs de la source du Vivier, etc…
En 1878, il réside au 40, rue des Rempart à Niort.
De 1892 à 1895, il fut professeur à l'École Normale des institutrices, rue Baune-la-Rolande.
Il vit à la fin de sa vie, avec son épouse, dans le bourg de Saint-Liguaire, rue du Centre.
{{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }} {{ media.date_translated }}