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H Louis PARDAILLAN DE GONDRIN Le Duc d'Antin

(LouisPARDAILLAN DE GONDRIN)
 Le Duc d'Antin
Duc D'ANTIN (2e, 28 octobre 1722), Pair de France , Franc Maçon Grande Loge de France (24 juin 1738-1743)

  • Né le 9 novembre 1707 (mercredi) - VERSAILLES 78
  • Décédé le 9 décembre 1743 (lundi),à l'âge de 36 ans
  • Initié par le duc de Richmond au château d'Aubigny. Le 24 juin 1738, il fut proclamé Grand Maître général et perpétuel des Maçons dans le Royaume

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Fratrie

 Demi-frères et demi-sœurs

Du côté de Marie Victoire Sophie DE NOAILLES, née le 6 mai 1688 (jeudi), décédée le 30 septembre 1766 (mardi) - PARIS 75 à l'âge de 78 ans

 Grands parents paternels, oncles et tantes

 Grands parents maternels, oncles et tantes

 Notes

Notes individuelles


La Grande Loge de France a été créée entre les mois de mai et de juillet 1728, par le Duc de Warton (**) passé Grand Maître de la Grande Loge de Londres..

En 1738, l'Ordre se dote de son premier Grand Maître français : le Duc d'Antin.

En 1771, la Grande Loge de France a 41 loges dans Paris, 169 en province, 11 dans les colonies, 5 à l'étranger et 31 loges militaires.

http://www.fm-fr.org/index.php/fr/obediences/les-obediences-regulieres/la-grande-loge-de-france


(**)

Philip Wharton (1698-1731)

Philip Wharton, était le fils de Thomas "Honest Tom" Wharton, membre du parti Whig. Il reçut une excellente éducation et fut formé pour devenir un grand orateur. À la mort de son père, il lui succéda dans la Pairie de Grande-Bretagne comme marquis de Wharton et de Malmesbury. Il fut aussi marquis de Catherlough dans la Pairie d'Irlande. Il s'enfuit avec Martha Holmes, fille du Major-Général Richard Holmes et commença à voyager. Les immenses domaines de son père furent confiés à la gestion de sa mère et des amis de son père.

Il voyagea en France et en Suisse et rencontra le « Old Pretender » Jacques François Stuart qui lui donna le titre[1] de duc de Northumberland en 1716. Il partit alors en Irlande où, à l'âge de 18 ans, il entra à la chambre des lords irlandais en tant que marquis de Catherlough. Il fut fait duc de Wharton en 1718 par George Ier de Grande-Bretagne.

En 1719, sa femme eut un fils nommé Thomas, qui mourut dans une épidémie de variole dans sa première année.

Wharton commença à accumuler les dettes très vite, au point qu'il vendit ses propriétés d'Irlande pour investir dans la South Sea Company. Quand celle-ci s'effondra dans le Krach de 1720, il perdit la somme considérable de 120000 livres

Ayant quitté la Grande-Bretagne avec plus de 70000 livres de dettes, il accepta en 1725 les fonction d'ambassadeur du Prétendant auprès du Saint Empire romain germanique, à Vienne. Mais les autrichiens n'appréciant pas sa vie dissipée, il rejoignit son protecteur à Rome où il reçut de ses mains l'Ordre de la Jarretière[réf. nécessaire]. Il partit ensuite pour Madrid, où son épouse mourut en 1726. Trois mois plus tard, il épousait Maria Theresa O'Neill O'Beirne dans une cérémonie qui fit scandale.

Il revendit son titre à George Ier et s'engagea contre l'Angleterre

En 1730, totalement ruiné, banni hors de Madrid suite à une rixe, il renonça à la cause jacobite et trouva refuge en compagnie de sa seconde épouse au Monastère de Poblet, Catalogne, où il décéda des conséquences de son alcoolisme le 31 mai 1731.

Sa veuve retourna alors à Londres avec l'aide du prétendant et parvint à y faire valoir ses droits en 1736, s'assurant ainsi une vie confortable.

Membre de la loge maçonnique King's Arms de Londres, le duc de Wharton devint le sixième grand maître de la Grande Loge de Londres du 22 juin 1722 au 24 juin 1723.

En 1724, après s'être brouillé avec elle, il aurait constitué les Gormogons, afin de parodier la Grande Loge d'Angleterre avec laquelle il s'était brouillé juste après en avoir été le grand maître[2].

Il fut à l'origine de la création de la première loge d'Espagne: French Arms, n°50, située calle de San Bernardo, à Madrid. Cette loge envoya une demande de reconnaissance à la Grande Loge de Londres qui y fut reçue le 17 Avril 1728.

La même année 1728, les francs-maçons français décident de le reconnaître comme « grand maître des francs-maçons en France », à l'occasion de son séjour à Paris et à Lyon de 1728 à 1729[3]. Les jacobites James Hector MacLean (1703-1750) puis Charles Radcliffe, Comte de Derwentwater (1693-1746), lui succéderont. Sa nomination à la tête des francs-maçons de France, antérieure à la transformation de la « Grande Loge de Londres » en « Grande Loge d'Angleterre » en 1738, est considéré par une partie des historiens comme le point de départ d'une franc-maçonnerie française indépendante de celle de Grande-Bretagne.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Philip_Wharton#Exil_et_d.C3.A9clin

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

Louis Antoine PARDAILLAN DE GONDRIN, Duc D'ANTIN 1665-1736 Julie Françoise DE CRUSSOL D'UZÈS 1669-1742 Anne Jules Le Maréchal DE NOAILLES, Duc DE NOAILLES 1650-1708 Marie Françoise DE BOURNONVILLE 1656-1748
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Louis (Jum) PARDAILLAN DE GONDRIN 1689-1712 Marie Victoire Sophie DE NOAILLES 1688-1766
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Louis Le Duc d'Antin PARDAILLAN DE GONDRIN, Duc D'ANTIN 1707-1743