• Né le 30 décembre 1767 - La Marquetterie - Ligné, 44850, Loire-Atlantique, Pays de la Loire, FRANCE
  • Baptisé le 31 décembre 1767 - Eglise Saint Pierre - Ligné, 44850, Loire-Atlantique, Pays de la Loire, FRANCE
  • Décédé après 1831
  • Closier (1799), Cultivateur (1800), Laboureur (1803, 1831), Propriétaire (1832)

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Présences lors d'événements

 Notes

Notes individuelles

Baptême sous conditionsSource : Wikipédia (www.wikipedia.org)"La règle de base est qu'un chrétien ne peut être baptisé deux fois. Dans tous les cas un prêtre baptise un enfant sous condition lorsqu'il s'agit d'un enfant trouvé ou abandonné car on ne sait pas s'il l'a déjà été. Donc, il est baptisé « sous la condition de ne pas déjà l'avoir été d'autre part ».Jadis, dans bien des régions (de France, et encore plus certainement de la moitié Nord) un enfant ondoyé à la maison à cause du péril demort était baptisé sous condition; l'ondoiement n'est pas un baptême «réel », mais il fait qu'en cas dedécès avant « régularisation par baptême » l'enfant peut être enterré en « terre chrétienne », et accéder auSalut éternel, les petits enfants
comme toute l'humanité étant héritiers du Péché Originel, et donc, toutcomme les adultes, soumis à la purification du baptême pour pouvoir accéder au Paradis. La question du Salut des petits enfants non baptisés a toujours posé problème. Depuis saint Augustin, l'Église estime que les enfants morts sans baptême ne peuvent accéder au paradis, n'ayant pasété lavés du péché originel, ni aller en enfer, n'ayant encore rien fait de mal. D'où l'invention des Limbes par les théologiens latins du Moyen Âge pour résoudre la question de la destinée des enfants morts sansbaptême. À partir du XIIIe siècle, on commence à parler des limbes, unendroit indéterminé mais caché de la face de Dieu, où se retrouvent les enfants non-baptisés. Ces limbes, qui n'ont jamais été unevérité de foi donc un dogme et qui ne sont apparus dans le catéchisme qu'en 1904, pour disparaître dans celui de 1992, ont été remis en question en 2007 par le pape Benoît XVI qui a supprimé ce concept de la théologie catholique. Encela, Benoît XVI reprend le numéro 1261 du Catéchisme de l’Église Catholique de 1992 :« Quant aux enfants morts sans baptême, l’Églisene peut que les confier à la miséricorde de Dieu, comme elle le fait dans le rite des funérailles pour
eux. En effet, la grande miséricorde de Dieu qui veut que tous les hommes soient sauvés et la tendresse de Jésus envers les enfants, qui lui afait dire ‘Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas’ (Mc 10, 14), nous permettent d’espérer qu’il y ait un chemin de salut pour les enfants morts sans baptême ».Cela n'empêche que pendant des siècles,de la fin du Moyen Âge à la première partie du XXe siècle, l'Église affirme que, puisque l'humanité entière est héritière du Péché Originel, il est extrêmement important de baptiser les enfants, pécheurs eux aussi dès leur naissance, le plus rapidement possible. Le destin post-mortem effrayant promis aux petits enfants non-baptisés cause une véritable terreur aux parents. Ainsi, des stratégies de substitution se mettent en place, comme le baptême par un membre de l'assistance. Toute personnebaptisée (en général, la sage-femme ou la matrone) peut en baptiser une autre à condition de disposer d'un peu d'eau. Ce baptême en situationd'urgence doit être régularisé après coup par un ministre ordinaire (prêtre, diacre), qui accomplit dès lors un baptême sous condition. Dans certaines régions (France du nord et de l'Est, Italie du nord, Bavière,Galice en Espagne), on voit apparaître dès la fin du Moyen Âge des sanctuaires à répit où l'on amène les petits enfants morts dans l'espoir qu'un instant de renaissance permettra leur baptême. Bien souvent, on prend tous les mouvements organiques pour des signes de vie. Ces sanctuaires sont très fréquentés et permettent l'établissement d'une religiosité populaire que l'Église ne voit pas d'un bon œil et qu'elle finit par interdire (Benoît XV au milieu du XVIIIe siècle). Cependant, le recoursau sanctuaire à répit continuera clandestinement jusqu'au milieu du XXe siècle.Il existe d'autres cas : dans certaines familles aisées, les enfants étaient ondoyés peu de temps après leur naissance à la maison par un prêtre ou un religieux, mais il n'y avait pas de mention dans
un registre de catholicité (pour cause !)et quelques années plus tard le baptême « officiel » avait lieu avec d'illustres parrain et marraine à l'Église. Et comme le premier acte n'avait pas de preuve écrite, le second avait lieu sous condition. Ces ondoiements, légalisés plus tard, parfois des années après, furent courants aussi dans les pays de mission. Ainsi en Nouvelle-France au XVIIIe ou au XIXe siècle au Canada, alors que des familles métisses ou de coureurs des bois, seules au milieu
de la forêt, devaient attendre des années le passage d'un prêtre pour régulariser la situation. Enfin, on peut trouver, parfois, des baptêmes sous condition dans le cas d'une abjuration. Si l'on n'est pas certain que l'impétrant anciennement protestant demandant à intégrer l'Église catholique a été baptisé, on pratique au moment de l'abjuration le rite du baptême sous condition. Ces cas sont rares, mais existent. L'Église catholique reconnaît cependant la validité du baptême selon les rites
protestants (calvinistes, luthériens) et n'exige jamais un « re-baptême» ou second baptême dans ces cas."

Naissance

"Le jeudy trente unième jour du mois de décembre 1767, a été baptisé sous condition par moy vicaire soussigné Nicolas fils né hier au soir du légitime mariage de Pierre Hamon laboureur, et Anne Paviot son épouse demeurant à la Marquetterie en cetteparoisse. Ont été parrain Jean Hamon frère, et marraine Julienne Léquipé de la Rognouse, cousine de l'enfant, les deux non mariés, qui ont déclaré ne savoir signer de ce interpellés."

Baptême

"Le jeudy trente unième jour du mois de décembre 1767, a été baptisé sous condition par moy vicaire soussigné Nicolas fils né hier au soir du légitime mariage de Pierre Hamon laboureur, et Anne Paviot son épouse demeurant à la Marquetterie en cetteparoisse. Ont été parrain Jean Hamon frère, et marraine Julienne Léquipé de la Rognouse, cousine de l'enfant, les deux non mariés, qui ont déclaré ne savoir signer de ce interpellés."

Notes concernant l'union

Union avec Perrine LETORT

"Aujourd'hui 10 pluviose, décadi, l'an 7 de la République française une et indivisible, Par devant moi François Pierre Blin, président de l'administration du canton de Candé, département de Maine et Loire, assisté du citoyen ...... Secrétaire en chef, sont comparus au temple du ....... de cette commune de Candé #, Nicolas Hamon, Closier à la Belizière en la commune de St Mars la Jaille, canton de Vritz, département de la Loire inférieure, âgé de 31 ans, fils de déffunt Pierre Hamon décédé enla commune de Ligné et d'Anne Paviot son épouse, décédée en la commune de Riallé chef lieu de canton, susdit département de la Loire inférieure ; Et Perrinne Letort, âgée de 25 ans, fille de Jean Letort, métayer à châteaufort en la commune de Freigné, en ce canton, et de Jullienne Angibault son épouse domiciliée dite commune de Freigné, lesquels futurs témoins étaient accompagnés de Jean Davaine, boucher à la Lande âgé de 35 ans, Mathurin Séjourné, voiturier de landau, âgé de 32 ans, Jacques Lorault sabottier au Landau âgé de 32 ans et Jacques Regain sabottier audit Candé, âgé de 40 ans, tous amis des parties. Moi François Pierre Blin, après avoir fait lecture en présence des parties et desdits témoins 1° de l'acte naissance de Nicolas Hamon, en datte du trent unième jour du mois de décembre 1767 qui constate qu'il est né la veille, du légitime mariage entre Pierre Hamon et Anne Paviot susnommés. 2° de l'acte de naissance de Perrinne Letort en datte du 21 avril 1774, portant que Perrinne Letort est née la veille du mariage légitime de Jean Letort et Julienne Angibault son épouse. 3° de l'acte de publication de promesse de mariage entre les futurs conjoints dressé par François Gaudin agent municipal de la commune de freigné, en ce canton, et publié le 3 du présent mois et affiché pendant 3 jours consécutifs, suivant les certificats 1° dudit agent municipal de Freigné en datte du 8 pluviose 2° du citoyen Pelé agent municipal de la commune de St Mars la Jaille, susdit canton de Vritz, en datte du 7 dudit mois ; après aussi que Nicolas Hamon et PerrinneLetort ont eu déclaré à haute voix se prendre mutuellement pour époux, j'ai prononcé, au nom de la loi, que Nicolas Hamon et Perrinne Letort sont unis en mariage, et j'ai rédigé le présent acte que les parties et les témoins n'ont signé avec moi, fors les soussignés.

  1. pour contrater mariage d'une part."

 Sources

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

   
 
 
 
Pierre HAMON †/1799 Anne PAVIOT †/1799
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Nicolas HAMON 1767-1831/