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 We owe it to them ! (Nous le leur devons !)


"Chacun, quelle que soit sa vie, devrait faire tout ce qui est en son pouvoir pour se débarrasser de ses propres fardeaux et malédictions afin de ne pas avoir à les charger, à l’instant de quitter ce monde, sur le dos de son propre fils... Nos peines ne s’effacent pas avec nos existences, elles demeurent vivantes et nos enfants en héritent aussi naturellement que l’on hérite d’un terrain ou d’une maison lézardée." (Henri Gougaud, Les sept plumes de l’aigle, 1995)

 

 

Summary

 1 - Morts pour leur Patrie

"Ces Français que nous fûmes contraints de jeter dans la bataille, ils ont des droits sur nous. Ils veulent qu'aucune de nos pensées ne se détourne d'eux, qu'aucun de nos actes ne leur soit étranger. Nous leur devons tout, sans aucune réserve." (extrait d'une déclaration du Gouvernement lue le 20 novembre 1917 à la chambre des députés par M. Georges Clemenceau, Président du Conseil, ministre de la Guerre et au Sénat par M. Louis Nail, Garde des Sceaux, ministre de la Justice)

L'attribution de la mention "Mort pour la France" sur l'acte de décès, instituée par la loi du 2 juillet 1915 modifiée, est une récompense morale visant à honorer le sacrifice des combattants morts au champ d'honneur ou en service commandé et les victimes civiles de la guerre. Elle confère aux victimes une reconnaissance et un statut individuel dont elles ne disposaient pas jusque-là : droit à une sépulture individuelle et perpétuelle dans un cimetière militaire aux frais de l'État (loi du 29 décembre 1915), attribution d'une pension de veuve de guerre et création d'associations de veuves et d'orphelins.
Cette opération relative à l'état civil, applicable aux actes de décès dressés ou transcrits depuis le 2 août 1914, fait l'objet des articles L.511-1 et suivants du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
Lorsque la mention "Mort pour la France" a été portée sur l'acte de décès, l'inscription du nom du défunt sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou du dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument est obligatoire (article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre).
Sans considérer que pourrait constituer un relatif abus de langage l'expression "Mort pour la France au 19e siècle" (puisqu'il s'agit d'une idée née au début du 20e siècle) la liste suivante énumère l'ensemble des Morts pour leur Patrie relevés dans les arbres publiés.

 

 1.1 - Morts pour la Patrie

  • Valentin DALIX - né le 20 août 1860 à Sollières-Sardières (Savoie), fils de Joseph DALIX et de Emilie VIGNOUD,
    chasseur au 30e Bataillon de chasseurs à pied (30e BCP),
    décédé le 20 novembre 1885 à l'hôpital militaire de Batna (Algérie), des suites de maladie contractée en service (fièvre typhoïde).
  • Clément FINE - né le 26 avril 1816 à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes), fils de Laurent FINE et de Madeleine CORDIER,
    fusilier à la deuxième compagnie du premier bataillon du 31e Régiment d'Infanterie de ligne (31e RI),
    décédé le 16 octobre 1841 à à l'hôpital militaire de Constantine (Algérie), au cours de la conquête de l'Algérie.
  • Nicolas KLEIN - né le 29 août 1809 à Epernay (Marne), fils de Joseph Etienne KLEIN et de Marie Anne LEDUC,
    fusilier à la première compagnie du premier bataillon du 11e Régiment d'Infanterie de Ligne (11e RI),
    décédé le 1er octobre 1837 à l'hôpital militaire de Bône (Annaba) (Algérie), au cours de la conquête de l'Algérie (expédition de Constantine de 1837).
  • Adolphe KLEINE - né le 12 juin 1818 à Epernay (Marne), fils de Joseph Etienne KLEIN et de Marie Anne LEDUC,
    chasseur à la quatrième compagnie du 3e Bataillon d'Infanterie Légère d'Afrique (3e BILA),
    décédé le 25 juillet 1841 à Sétif (Algérie), au cours de la conquête de l'Algérie.
  • Jules LAGAUCHE - né le 10 avril 1832 à Champlat-et-Boujacourt (Marne), fils de Marie Rosalie LAGAUCHE,
    fusilier à la première compagnie du deuxième bataillon du 46e Régiment d'Infanterie de ligne (46e RI),
    décédé le 16 juin 1855 devant Sébastopol (Russie / Ukraine de 1954 à 2014), au cours de la guerre de Crimée (siège de Sébastopol).
  • Eugène Jean Joseph MONDET - né le 29 avril 1862 à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes), fils de Jean Baptiste et de Marie Françoise Eulalie MERLIN,
    caporal en service à la 8e compagnie du 2e bataillon du 1er Régiment Etranger (1er RE),
    décédé le 6 août 1899 à l'ambulance de Cao-Bang (Indochine).
  • Alfons Jozef VAN OOSTENDE - geboren 12 februari 1899 Melsen (Oost-Vlaanderen), zoon van Remi Prosper en Maria Elodia HEBBELINCK,echtgenoot van Hortensia Rosalia LAVENT,
    resistente gedood op 7 september 1944 in Nazareth (Oost-Vlaanderen)
    Rust in Nazareth (Oost-Vlaanderen).

 

 1.2 - Morts pour la France

 1.2.1 - A

  • Léon Joseph Auguste ANCELIN - né le 22 mai 1881 à Parthenay (Deux-Sèvres),fils de Jean Antoine et de Marie EGRON,époux d'Esther FOUCHE,
    soldat en service au 307e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 2 octobre 1914 à Nantes (Loire-Atlantique), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cellefrouin (Charente).
  • Jean ARNAUD - né le 29 août 1889 à Châtillon-en-Diois (Drôme),fils de Jean et de Marie MARCON,époux de Louise Catherine FAURE-BRAC,
    soldat en service au 140e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 10 mars 1916 à Vaux-devant-Damloup (Meuse).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Briançon (Hautes-Alpes) et sur le Monument aux Morts dans le cimetière du Pont de Cervières à Briançon.
    Repose dans la Nécropole nationale à Belleray (Meuse) (tombe n° 895 A).
  • Jules Gustave AUBLE - né le 10 mars 1894 à Romilly-sur-Andelle (Eure),fils de Gustave Jules et de Caroline Augustine JULIEN,
    soldat en service au 125e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 14 décembre 1914 à Zonnebeke (Belgique).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
    Son nom est gravé sur le Livre d'Or à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
  • Ernest Alfred AUGE - né le 20 octobre 1898 à Merlaut (Marne),fils de Paul Ernest et de Jeanne Maria PANNELLIER,
    canonnier du 88e Régiment d'Artillerie lourde,meurt pour la France le 10 mai 1919 à Vitry-le-François (Marne), des suites de maladie contractée en service.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Vitry-le-François (Marne).
    Repose dans la Nécropole nationale à Vitry-le-François (Marne) (tombe n° 408).

 1.2.2 - B

  • Charles Edouard BASTEL - né le 23 mars 1886 à Paris Ve arrondissement (Seine),fils Marie BASTEL,époux de Jeanne Louise Appoline HERBERT,
    soldat en service au 25e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 20 juin 1915 entre Écurie et Roclincourt (Pas-de-Calais).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Paris XXe arrondissement.
  • Armand Maurice BAUDETTE - né le 20 juin 1895 à Thiéblemont-Farémont (Marne),fils de Félix Hermand et de Eugénie Noémie RUELLE,
    chasseur en service au 54e Bataillon de Chasseurs,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 16 août 1918 à Goyencourt (Somme).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts et sur la Plaque commémorative 1914-1918 à Thiéblemont-Farémont (Marne).
  • Marcel Octave Félix BAUDETTE - né le 10 février 1894 à Thiéblemont-Farémont (Marne),fils de Félix Hermand et de Eugénie Noémie RUELLE,époux de Alice Andréline Félicie QUEULIN,
    sergent en service au 150e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 17 juin 1918 à Saint-Martin-d'Ablois (Marne), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts et sur la Plaque commémorative 1914-1918 à Thiéblemont-Farémont (Marne).
  • Jules Marius Louis BERAUD - né le 5 mars 1896 à Briançon (Hautes-Alpes),fils de Célestin Louis et de Marie Rose MALLINIER,
    caporal en service au 139e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 10 avril 1917 à Saint-Quentin (Aisne).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
    Repose dans la Nécropole nationale de Saint-Quentin (Aisne) (tombe n° 1667).
  • Léon Pierre BERMOND - né le 27 mars 1894 à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes),fils de Jean Antoine et de Marie Marguerite VIOLIN,
    soldat en service au 157e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 5 avril 1915 à Fleury (Aisne).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
  • Gaston BOUCHE - né le 3 janvier 1891 à Belval-sous-Châtillon (Marne),fils d'Adrien Pierre Charles et de Virginie MARSAILLE,époux de Lucie Berthe CHEVRY,
    soldat en service au 132e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 11 septembre 1914 à Ervy-le-Châtel (Aube), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Belval-sous-Châtillon (Marne).

 1.2.3 - C

  • Marcellin Auguste CHABAS - né le 1er septembre 1892 à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes),fils d'Alexandre Arnoul et de Virginie Marie Françoise MARTIN,
    brigadier du 266e Régiment d'Artillerie,meurt pour la France le 13 octobre 1918 à l'hôpital complémentaire n° 31 à Grenoble (Isère), des suites de maladie contractée en service.
    Son nom est gravé sur une plaque commémorative dans l'église à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes).
    Repose dans le Carré militaire du cimetière de Grenoble (Isère) (carré 16, rang 9, tombe 12).
  • Jean Laurent CHAUTARD - né le 13 septembre 1879 à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes),fils de Jean Laurent et de Marie Catherine COURCIER,
    soldat en service au 157e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 8 avril 1915 à l'ambulance 3/8 à Void (Meuse), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes).
    Repose dans le carré militaire du cimetière communal à Void-Vacon (Meuse) (tombe n° 19).
  • Narcisse Honoré CHENARD - né le 20 novembre 1896 à Cuchery (Marne),fils de François Léon et de Maria Alzire FERLIN,
    cavalier en service au 4e Régiment de Cuirassiers,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 13 juin 1918 à Longueil-Annel (Oise).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cuchery (Marne).
  • Gaston René CLEMENT - né le 20 juillet 1896 à Ludes (Marne),fils de Alfred et de Louise QUATRESOLS,
    soldat en service au 94e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 31 octobre 1916 à Bray-sur-Somme (Somme), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts et sur la Plaque commémorative 1914-1918 à Ludes (Marne).
  • Roger Eugène CORDIER - né le 30 août 1923 à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes),fils de Joseph Eugène et de Marie Virginie ARNAUD,
    sergent en service au 8e Régiment de Zouaves,meurt pour la France le 24 octobre 1945 à Sidi-bel-Abbès (Algérie).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes).
    Repose dans le cimetière communal à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes).

 1.2.4 - D

  • Adrien Eugène DENIS - né le 13 juillet 1890 à Briançon (Hautes-Alpes),fils de Pierre Nicolas et de Marie Louise SILVESTRE,époux de Martine Félicie Marie CARLHAN,
    soldat en service au 159e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 22 octobre 1914 à Saint-Laurent-Blangy (Pas-de-Calais).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Briançon (Hautes-Alpes).
    Repose dans la Nécropole nationale Notre-Dame-de-Lorette à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais), tombe n° 10461 (carré 52 bis, rang 2, tombe n° 10461).
  • Emilien DERVILLERS - né le 17 février 1893 à Cuchery (Marne),fils de Georges Sylvain et d'Héloïse RAMILLON,
    soldat en service au 161e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 4 mai 1915 à Sainte-Menehould (Marne), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cuchery (Marne).
  • Gaston DERVIN - né le 29 octobre 1895 à Cuchery (Marne),fils de Louis Eugène et d'Augustine BRUGNEAUX,
    soldat en service au 154e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 2 juillet 1915 à La Harazée à Vienne-le-Château (Marne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cuchery (Marne).
  • Jules DERVIN - né le 8 juillet 1890 à Cuchery (Marne),fils de Louis Eugène et d'Augustine BRUGNEAUX,
    soldat en service au 132e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 27 septembre 1915 à Souain (Marne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cuchery (Marne).
  • Ernest Marius DEYME - né le 3 juin 1919 à Briançon (Hautes-Alpes),fils de Charles Jean Baptiste et de Maria GUGLIELMETTO,époux de Simone Marguerite LUGLIA,
    adjudant en service au 43e Régiment d'Infanterie coloniale,meurt pour la France le 23 octobre 1953 à Dau-Tieng (Viet-Nam).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Briançon (Hautes-Alpes).

 1.2.5 - E

  • Raymond EBREART - né le 26 mai 1883 à Cuchery (Marne),fils de Raymond et de Victorine Stéphanie FRANQUET,époux de Louise Juliette DERVIN,
    soldat en service au 354e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 16 septembre 1914 à Osly-Courtil (Aisne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cuchery (Marne).

 1.2.6 - F

  • Germain Philippe FAURE - né le 6 janvier 1892 à Saint-Chaffrey (Hautes-Alpes),fils de Pierre Marie et de Marie Sidonie Philomène ASTIER,
    Chasseur en service au 12e Bataillon de Chasseurs,meurt pour la France, disparu au combat le 7 mars 1915 à Soultzeren (Haut-Rhin).
    Son nom [Germain Astier] est gravé sur le Monument aux Morts à Saint-Chaffrey (Hautes-Alpes).
  • André FAURE-BRAC - né le 28 février 1878 à Briançon (Hautes-Alpes),fils d'Eugène Jacques et de Marie Catherine MEYNIER,
    soldat en service au 271e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi, le 23 mars 1915 à Souain (Marne).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
  • Edouard Ferdinand FAURE-BRAC - né le 31 décembre 1892 à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes),fils de Michel Auguste et de Marguerite Mélanie FAURE,
    sapeur-mineur en service au 4e Régiment du Génie,meurt pour la France, tué à l'ennemi, victime de l'explosion d'un camouflet ennemi le 17 avril 1915 devant Dompierre (Somme).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes).
    Surpris au moment où il venait de faire évacuer ses camarades en raison d'une explosion probable, a été enseveli par cette explosion. Son corps, enfoui sous l'éboulement, n'a pu être découvert.
  • André Désiré FERRUS - né le 8 septembre 1888 à Puy-Saint-André (Hautes-Alpes),fils d'André et de Véronique BARNEOUD-CHAPELIER,
    sous-lieutenant en service au 23e Bataillon de Chasseurs,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 23 août 1915 au cours de la bataille du Linge au Barrenkopf à Hohrod (Haut-Rhin).
    (sa fiche matricule mentionne qu'il est "mort du 1er au 31 août 1915 au Barrenkopf (avis officiel 382 DF)"
    Son nom est gravé sur une plaque commémorative des morts de la Première guerre mondiale, dans l'église de Puy-Saint-André (Hautes-Alpes).
  • Félix Julien FERRUS - né le 17 décembre 1892 à Puy-Saint-André (Hautes-Alpes),fils d'André et de Véronique BARNEOUD-CHAPELIER,
    caporal en service au 157e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 7 avril 1915 au nord de Flirey (Meurthe-et-Moselle).
    Son nom est gravé sur une plaque commémorative des morts de la Première guerre mondiale, dans l'église de Puy-Saint-André (Hautes-Alpes).
  • Pierre Théophile FERRUS - né le 14 novembre 1888 à Briançon (Hautes-Alpes),fils de Jacques Maximin et de Marie Laure MONDET,
    caporal du 159e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 1er mai 1917 à Briançon (Hautes-Alpes), des suites de maladie contractée en service.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Briançon (Hautes-Alpes).
    Repose dans le cimetière de Briançon (Hautes-Alpes).
  • Rémi Emile FERRUS - né le 10 mai 1893 à Puy-Saint-André (Hautes-Alpes),fils de Félix et de Joséphine BARNEOUD-ARNOULET,
    soldat en service au 157e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 7 avril 1915 au nord de Flirey (Meurthe-et-Moselle).
    Son nom est gravé sur une plaque commémorative des morts de la Première guerre mondiale, dans l'église de Puy-Saint-André (Hautes-Alpes).
  • Emile FINE - né le 24 septembre 1916 à Briançon (Hautes-Alpes),fils de Charles Auguste et de Noémie Emilie Félicie CHANTRIAUX,
    soldat en service au 60e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 6 juin 1940 à Oissy (Somme).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Bibost (Rhône).
  • Joseph FINE - né le 22 octobre 1889 à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes),fils de Jean Baptiste et de Marie Rosalie FINE,époux de Pauline Mélanie TOURNIER,
    sapeur-mineur en service au 4e Régiment du Génie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 5 janvier 1915 à Roclincourt (Pas-de-Calais).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes).
  • Louis FINE - né le 20 juin 1920 à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes),fils de Jacques François FINE et de Marie NICOLAS-FAURE,
    sergent FFI des Forces françaises de l'intérieur,meurt pour la France le 26 août 1944 au quartier Darnes à Marsanne (Drôme) au cours de la bataille de Montélimar.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
  • Edmond FORBOTEAUX - né le 18 octobre 1904 à Ludes (Marne),fils de Henri Louis et de Julia Alice CLEMENT,époux de Carmen Gabrielle REGARD,
    résistant du mouvement Libération Nord,meurt pour la France, en déportation, peut-être le 3 mai 1945 en baie de Lübeck (Allemagne).
    Son nom est gravé sur le Mur des Noms au Mémorial de l'Internement et de la Déportation à Compiègne (Oise).
  • Louis Edouard FRANQUET - né le 17 juin 1872 à Jonquery (Marne),fils de Henri Gustave et de Louise Victorine LIEGE,époux de Marthe Clémence QUENOT,
    conducteur en service au 6e Escadron du Train des équipages,meurt pour la France le 27 novembre 1918 à l'Ambulance 13/4 à Epernay (Marne).
    Repose dans la Nécropole nationale La Ferme de Suippes (tombe n° 301).

 1.2.7 - G

  • Jean Augustin GALLICE - né le 3 janvier 1883 à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes),fils de Claude Antoine et de Noémie DISDIER,époux de Madeleine Batistine BARTHELEMY,
    soldat en service au 363e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 21 février 1916 au Col de la Chapelotte à Angomont (Meurthe-et-Moselle).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes).
  • Eugène Théodore Alexandre GERER - né le 18 janvier 1887 à Reims (Marne),fils de Emile et de Victoire Joséphine DONOUX,
    soldat en service au 332e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 30 octobre 1914 à Vailly (Aisne).
    Son nom est inscrit dans le Livre d'Or à Reims (Marne) et dans la liste des rémois victimes de la guerre 1914-1918.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
  • Frédéric Louis GIACOBI - né le 14 août 1891 à Marseille (Bouches-du-Rhône),fils de Michel Pierre et de Marthe BRECHET,époux de Clémence Célestine PONS,
    maître-ouvrier en service au 4e Régiment du Génie,meurt pour la France le 1er octobre 1915 à l'ambulance 1/10 à Cauchy-à-la-Tour (Pas-de-Calais), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est mentionné dans le Livre d'Or du ministère des pensions à Marseille.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
    Repose à Marseille (Bouches-du-Rhône).
  • Théodore Joseph GIACOBI - né le 26 février 1893 à Marseille (Bouches-du-Rhône),fils de Michel Pierre et de Marthe BRECHET,
    soldat en service au 157e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 27 août 1914 au Bois d'Anglemont à proximité de Ménil-sur-Belvitte (Vosges).
    Son nom est mentionné dans le Livre d'Or du ministère des pensions à Marseille.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
  • Gaston Eugène GILBERT - né le 16 août 1883 à Reuil (Marne),fils de Gustave Edouard et de Alexite Joséphine BRAUX,époux de Marie Louise PICARD,
    soldat en service au 94e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 24 octobre 1914 à Châlons-sur-Marne (Marne), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Reuil (Marne).
  • André François GIRAUD - né le 26 novembre 1877 à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes),fils de Jean Pierre et de Marie Rose Catherine BAYLE,
    soldat du 157e Régiment d'Infanterie, blessé le 5 avril  à Flirey (Meurthe-et-Moselle),meurt pour la France le 28 octobre 1919 à l'hôpital complémentaire n° 67 à Saint-Genis-Laval (Rhône), des suites de blessure de guerre.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.

 1.2.8 - H

  • Louis Paul HENAULT - né le 9 mai 1887 à Le Blanc (Indre),fils de Silvain et d'Armantine Eugénie Désirée TESTE,
    Lieutenant en service au 32e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 19 juillet 1917 sur le plateau de Craonne (Aisne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Le Blanc (Indre).
    Repose à Le Blanc (Indre) dans une sépulture familiale.
  • Lucien Emile HENAULT - né le 29 janvier 1883 à Le Blanc (Indre),fils de Silvain et d'Armantine Eugénie Désirée TESTE,
    Soldat en service au 68e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 29 septembre 1914 à Thuisy (Marne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Le Blanc (Indre).
    Repose à Le Blanc (Indre) dans une sépulture familiale.
  • Joseph Marcellin HERMITTE - né le 13 novembre 1885 à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes),fils de Vincent Marcellin et de Thérèse Philomène BRUNET,époux de Marie Denise CHANCEL,
    soldat du 140e Régiment d'Infanterie blessé le 19 mars 1916 à Douaumont-Vaux (Meuse),meurt pour la France le 12 juin 1916 à l'hôpital complémentaire n° 20 à Melun (Seine-et-Marne), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur une plaque commémorative dans l'église à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes).
    Repose dans le carré militaire du cimetière de Melun (Seine-et-Marne) (carré G, tombe n° 123).

 1.2.9 - I

 1.2.10 - J

  • Léon Ernest JACQUES - né le 24 décembre 1882 à Embrun (Hautes-Alpes),fils de Jules Jean Baptiste et de Marie Thelcide CATIER,
    Sous-lieutenant en service au 2e Régiment mixte de Zouaves et Tirailleurs,meurt pour la France le 3 mars 1917 à l'hôpital temporaire n° 12 à Vadelaincourt (Meuse), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Embrun (Hautes-Alpes).
    Repose dans le cimetière communal à Savines-le-Lac (Hautes-Alpes) (ancien cimetière, sépulture familiale n° H05).
  • André Lucien JACTA - né le 30 août 1915 à Avenay-Val-d'Or (Marne),fils d'Achille Frédéric et de Claire Anne BROCHET,
    maréchal des logis-chef en service au 6e Régiment d'Artillerie Coloniale,meurt pour la France le 9 avril 1943 au Sénégal lors d'un naufrage.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Avenay-Val-d'Or (Marne).

 1.2.11 - L

  • Henri François LAGAUCHE - né le 22 février 1884 à Hautvillers (Marne),fils de Antoine Florentin et de Augustine Marie LANDRAGIN,
    soldat en service au 348e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, disparu au combat le 25 août 1914 à Fumay (Ardennes).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Dizy (Marne).
  • Georges Antoine LEVEQUE - né le 13 juin 1878 à Sarcy (Marne),fils d'Auguste et de Marie Ernestine VILLAIN,époux de Léonie Amélie BERNAILLE,
    soldat en service au 354e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 3 septembre 1915 à Souain (Marne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Sarcy (Marne).

 1.2.12 - M

  • Jules Alfred MANCIER - né le 13 décembre 1883 à Cuchery (Marne),fils d'Ursin et de Louise Athénaïse Joséphine PICHELIN,époux de Rose Ernestine ARNAULD,
    soldat en service au 96e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 8 octobre 1916 à la cote 285 à Lachalade (Meuse).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cuchery (Marne).
  • Paul Julien MANCIER - né le 6 juin 1879 à Cuchery (Marne),fils d'Ursin et de Louise Athénaïse Joséphine PICHELIN,époux de Joséphine NOLIN,
    soldat en service au 332e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, disparu au combat le 24 mai 1916 devant Verdun (Meuse).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Cuchery (Marne).
  • René MARTIN - né le 12 mars 1895 à Puy-Saint-Pierre (Hautes-Alpes),fils de François Jacques Marius et de Marie Catherine CHANCEL,
    chasseur du 42e Bataillon de Chasseurs à pied,meurt pour la France le 10 novembre 1919 à l'hôpital complémentaire n° 67 à Saint-Genis-Laval (Rhône), des suites de maladie contractée en service.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Saint-Genis-Laval (Rhône).
  • Aimé Médéric MELQUIOND - né le 30 août 1888 aux Vigneaux (Hautes-Alpes),fils de Jacques Etienne et de Marie Antoinette ALPHAND,époux de Marie Madeleine ROULX,
    soldat en service au 66e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, disparu au combat le 27 avril 1915 au lieu-dit Pilkem à Ypres (Belgique).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts aux Vigneaux (Hautes-Alpes).
  • François Auguste MERLE - né le 27 décembre 1878 à Montgenèvre (Hautes-Alpes),fils d'Antoine et de Marie RIGNON,
    soldat en service au 271e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 18 juin 1915 à Souain (Marne).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
    Repose dans la Nécropole nationale à Suippes (Marne), tombe n° 490.
  • Emile Auguste MEYNIER - né le 6 août 1883 à Briançon (Hautes-Alpes),fils de Nicolas et de Marie Madeleine FINE,époux de Secondina Domitilla AMBROJIA,
    soldat en service au 113e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 15 juillet 1918 à Courthiézy (Marne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Briançon et sur le Monument aux Morts dans le cimetière du Pont de Cervières à Briançon.
  • Alfred Auguste MONDET - né le 25 juillet 1920 à Briançon (Hautes-Alpes), fils d'Auguste Paulin et de Thersile Elisabeth NURISSO,
    résistant des Forces Françaises de l'Intérieur abattu au cours d'une opération de représailles de l'ennemi le 19 août 1944 sur la rive de la Durance au hameau de Prelles à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Briançon (Hautes-Alpes) et sur le Monument aux Morts à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes). Une plaque commémorative contiguë à ce monument entretient le souvenir des victimes abattues le 19 août 1944 au hameau de Prelles.
    Repose au cimetière du Pont de Cervières à Briançon (Hautes-Alpes).

 1.2.13 - N

  • Alexis Louis Aimé NOLL - né le 4 mars 1889 à Culey (Meuse),fils de Gaspard Vital et de Marie Olympe BOUILLON,époux de Juliette Alphonsine CONRARD,
    soldat en service au 161e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 25 septembre 1915 à Saint-Hilaire-le-Grand (Marne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Culey (Meuse).
  • Louis NORTIER - né le 16 août 1912 à Briançon (Hautes-Alpes),fils de Charles Antoine Marius et de Marie Pauline OLLAGNIER,époux de Germaine TOURNADRE,
    adjudant-chef en service au Groupe de transport 2/64 Anjou,meurt pour la France le 12 avril 1953 à Mỹ Tho (Cochinchine).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
    Repose au cimetière du Pont de Cervières à Briançon (Hautes-Alpes).

 1.2.14 - O

 1.2.15 - P

  • Georges Théodore PANOT - né le 15 septembre 1891 à Reims (Marne),fils de Victor et de Marie Henriette Joséphine BODET,époux de Georgette Ernestine GERER,
    soldat en service au 132e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 4 octobre 1916 au Bois-Madame à Cléry-sur-Somme (Somme).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
    Repose dans le cimetière du Nord à Reims (Marne).
  • Albert Désiré PETITPAS - né le 19 mai 1885 à Nancy (Meurthe-et-Moselle),fils de Jean Paul et de Marguerite Marie CROMPAGNE,
    caporal en service au 69e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 29 octobre 1914 à Monchy (Pas-de-Calais).
    Son nom est gravé sur l'Anneau de la mémoire de Notre-Dame-de-Lorette à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais), sur le Monument aux Morts à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) et sur le Monument aux Morts à Foulcrey (Moselle).
  • Camille Henri PETITPAS - né le 20 octobre 1888 à les Marats (Meuse),fils de Nicolas Raymond et de Françoise Modestine CROMPAGNE,
    soldat en service au 19e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 2 novembre 1916 à Douaumont-Vaux (Meuse).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts de Marat-la-Grande aux Hauts-de-Chée (Meuse).
  • Candide PEYTHIEU - né le 10 février 1895 à Saint-Chaffrey (Hautes-Alpes),fils de Jean Baptiste Fridolin et d'Adèle Virginie REY,
    soldat en service au 157e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, disparu au combat le 29 mars 1916 au bois d'Avocourt (Meuse).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Saint-Chaffrey (Hautes-Alpes).
  • Louis PLOMB - né le 10 avril 1882 à Epernay (Marne),fils de Louis Joseph et de Eloïse Clémence ADNET,époux de Angèle Emélie KLEINE,
    ancien infirmier des 1re, 6e et 13e sections d'infirmiers militaires,meurt pour la France le 11 juillet 1925 à Avenay-Val-d'Or (Marne), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Avenay-Val-d'Or (Marne).
    Repose au cimetière d'Avenay-Val-d'or (Marne), inhumé dans la même sépulture familiale qu'Ernest KLEINE et Marcelle CROMPAGNE.
  • Georges Gabriel POISSONNIER - né le 5 septembre 1882 à La Celle-Dunoise (Creuse),fils de Jean Louis et de Marie Léonie LABETOULLE,époux de Camille Marie REFFET,
    soldat en service au 204e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 14 juin 1914 à Notre-Dame-de-Lorette à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais).
    Son nom est inscrit dans le Livre d'or du ministère des pensions.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.

 1.2.16 - Q

  • Andoche Arthur QUENOT - né le 15 juin 1894 à Courcelles-Sapicourt (Marne),fils de Alfred Alexandre et de Camille Léocadie ROLAND,
    soldat en service au 166e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, disparu au combat le 8 avril 1915 à la cote 238 à Fresnes-en-Woëvre (Meuse).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Courcelles-Sapicourt (Marne).

 1.2.17 - R

  • Jules Emile RENAUDIN - né le 27 mars 1892 à Avize (Marne),fils de Fernand Emile et de Jeanne Louise MORIZET,
    chasseur en service au 29e Bataillon de Chasseurs,meurt pour la France, disparu au combat le 22 août 1914 à Audun-le-Roman (Meurthe-et-Moselle).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Avize (Marne).
  • Joseph André REYMOND - né le 14 mai 1875 à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes),fils de Joseph André et de Virginie PONS,époux de Marie Philomène ROUX,
    soldat en service au 112e Régiment d'Infanterie Territoriale,meurt pour la France le 18 janvier 1915 à l'hôpital militaire du camp de Châlons à Châlons-sur-Marne (Marne), des suites de maladie contractée en service.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.
    Repose dans la Nécropole nationale à Mourmelon-le-Grand (Marne) (tombe n° 383).
  • Louis Joseph REYNAUD - né le 19 septembre 1919 à Savines-le-Lac (Hautes-Alpes),fils de Marie Jean Joseph Antoine et de Marie Françoise Adeline PONS,
    sergent en service au 5e Régiment de Tirailleurs Marocains,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 20 mai 1940 au lieu-dit le Petit Cambrésis à Rejet-de-Beaulieu (Nord).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Savines-le-Lac (Hautes-Alpes).
    Repose dans la sépulture familiale à Savines-le-Lac (Hautes-Alpes).
  • René RIDOUX - né le 1er mai 1893 à Athis (Marne),fils de Auguste Gustave et de Marie Philomène MARTIN,
    caporal en service au 94e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 3 mars 1915 à La Harazée à Vienne-le-Château (Marne).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Avenay-Val-d'Or (Marne).

 1.2.18 - S

  • Gérôme Adam Christian SCHMITT - né le 26 février 1929 à Nancy (Meurthe-et-Moselle),
    sergent-chef en service au 121e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 20 avril 1961 à Taguemount Oukerrouch sur le territoire de la commune de Beni Douala (Algérie).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Nanterre (Hauts-de-Seine).
    Repose dans le cimetière communal de Pierry (Marne).
  • Pierre Alphonse Alestide SILVESTRE - né le 15 septembre 1890 à Pelvoux (Hautes-Alpes),fils de Baptiste Jules et de Marie Elisabeth CANEPE,époux d'Alexandrine Catherine BELLET,
    zouave en service au 4e Régiment de Zouaves,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 6 janvier 1915 à Roclincourt (Pas-de-Calais).
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.

 1.2.19 - T

  • Jean Fernand Maurice THIERRY - né le 10 janvier 1896 à Vouillers (Marne),fils d'Arthur Paul et de Marie Alice HUMBERT,
    caporal en service au 155e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France le 25 avril 1917 à l'hopital temporaire n° 90 à Cosne-sur-Loire (Nièvre), des suites de blessures de guerre.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Vouillers (Marne).
  • Jean Baptiste TRAVAIL - né le 26 décembre 1884 à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes),fils de Jean Joseph Auguste et de Catherine Elisabeth PIERRE-BEZ,
    soldat du 159e Régiment d'Infanterie détaché aux Mines du Briançonnais,meurt pour la France le 14 octobre 1918 à Villar-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes), des suites d'une congestion pulmonaire.
    L'inscription de son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernier domicile ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument ne semble pas avoir été effectuée, en infraction à l'article L.515-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre.

 1.2.20 - V

  • Gabriel Auguste VIAL - né le 2 septembre 1895 à Bonneville (Haute-Savoie),fils de Joseph Auguste et de Marie Elisabeth PERRUCHETTI,
    cavalier en service au 17e Régiment de Dragons,meurt pour la France le 10 mars 1916 à l'Argentière-la-Bessée (Hautes-Alpes), des suites de maladie contractée en service.
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à l'Argentière-la-Bessée (Hautes-Alpes).
    Repose au cimetière communal de l'Argentière-la-Bessée (Hautes-Alpes) (sépulture familiale).

  • Jean Amour VIOLIN - né le 3 septembre 1928 à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes),fils de Joseph Augustin et de Sylvie Pauline PONS,
    victime civile de la Deuxième guerre mondiale, tué au cours d'une opération de représailles de l'ennemi le 19 août 1944 au hameau de Prelles à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes). Une plaque commémorative contiguë à ce monument entretient le souvenir des victimes abattues le 19 août 1944 au hameau de Prelles.
  • Albert VITTE - né le 21 février 1883 à Avenay-Val-d'Or (Marne),fils d'Eugène Alfred Gustave et de Eulalie LEPINE,époux de Léontine Anastasie LOUVEAU,
    sous-lieutenant en service au 106e Régiment d'Infanterie,meurt pour la France, tué à l'ennemi le 6 avril 1915 aux Eparges (Meuse).
    Son nom est gravé sur le Monument aux Morts à Epernay (Marne).
    Repose au cimetière communal de Milly-la-Forêt (Essonne) (sépulture familiale).

 

 1.3 - Entretien des tombes des combattants morts pour la France

L'entretien des sépultures des militaires morts pour la France vise, au delà de leur sauvegarde, la préservation de la mémoire de ces soldats dans le respect de l'option choisie par les familles quant au lieu d'inhumation. Selon le régime juridique qui leur est applicable, les tombes de ces combattants sont soit entretenues perpétuellement par l'État, soit sous la garde des familles ayant demandé la restitution de leurs corps.

 

 1.3.1 - Tombes des combattants morts pour la France entretenues perpétuellement par l'État

Seules sont entretenues à titre perpétuel, aux frais de l'État, les tombes des soldats bénéficiaires de la mention "Mort pour la France" et dont les corps n'ont pas été restitués aux familles, celles-ci ayant choisi de les laisser sous la sauvegarde de l'État sur le lieu de leur première inhumation, situé dans un cimetière national ou dans un carré spécial au sein d'un cimetière communal.
Cette disposition est applicable aux militaires de l'armée française participant aux opérations extérieures morts en activité de service. (article L.522-1 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre)

 

 1.3.2 - Tombes des combattants morts pour la France dont les corps ont été restitués aux familles

Lorsque les corps des soldats morts pour la France sont restitués aux familles, à la demande de celles-ci, pour être inhumés dans des sépultures familiales, il leur incombe d'en prendre soin. Du jour de la restitution, les sépultures de ces soldats échappent en effet à la compétence de l'État. Ces familles perdent alors le droit à l'entretien perpétuel de la sépulture aux frais de l'État, sans qu'il leur soit possible d'obtenir la réinhumation du corps dans un cimetière national ou un carré militaire. (articles L.521-3 et R.521-3 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre)
Le régime juridique applicable aux sépultures des soldats morts pour la France dont les familles ont obtenu la restitution du corps est celui des sépultures privées situées au sein des cimetières municipaux, tel qu'il est défini aux articles L.2223-1 et suivants du code général des collectivités territoriales (CGCT) précisant les obligations des communes envers les sépultures implantées sur leur territoire.
Cependant, lorsqu'une personne dont l'acte de décès porte la mention "Mort pour la France" régulièrement inscrite a été inhumée dans une concession perpétuelle, celle-ci ne peut faire l'objet d'une reprise avant l'expiration d'un délai de cinquante ans à compter de la date de l'inhumation. (article R.2223-22 du CGCT).

 

 1.3.3 - Tombes des combattants morts pour la France dont les corps ont été restitués aux familles et dont les concessionnaires de sépultures sont absents ou défaillants

extrait d'une réponse du ministère chargé des anciens combattants publiée au JO Sénat du 03/10/2013, page 2880 (références et taux mis à jour en 2020)
(...) Lorsqu'il n'existe plus de titulaires de la concession que le maire aurait eu la faculté de mettre en demeure de réaliser les travaux d'entretien et de sécurité nécessaires, c'est la commune qui doit les réaliser d'office, sous peine d'engager sa responsabilité vis-à-vis, notamment, des titulaires d'autres concessions susceptibles d'être affectées par la dégradation constatée. Par ailleurs, les dispositions des articles L.2223-17 à L.2223-18 et R.2223-12 à R.2223-23 du CGCT permettent la mise en œuvre de la procédure de reprise pour état d'abandon. Les communes peuvent alors soit reprendre l'entretien à leur compte, soit disposer des concessions en cause en transférant les restes mortels dans l'ossuaire municipal. Toutefois, elles sont dans ce cas incitées à ne pas négliger la mémoire des soldats morts pour la France. Nombre d'entre elles s'acquittent de ce devoir en apposant sur l'ossuaire une plaque au nom du soldat défunt, faisant état de sa mention "Mort pour la France".
(...) En tout état de cause, il ne paraît pas opportun d'imposer aux communes des obligations supplémentaires à l'égard des sépultures des soldats morts pour la France dont les corps ont été restitués aux familles. En effet, une telle mesure consisterait à annuler la portée de la décision prise par ces familles qui ont librement accepté les conséquences du régime juridique de la sépulture choisie pour abriter le corps qui leur a été restitué. Par ailleurs, elle reviendrait à privilégier ces tombes par rapport à celles qui sont restées sous la responsabilité de l'État, dans la mesure où l'entretien d'une sépulture privée est plus onéreux que celui d'une sépulture militaire située dans un cimetière national ou un carré militaire. De ce fait elle imposerait aux communes une charge financière supplémentaire, d'autant moins opportune que celles d'entre elles qui entretiennent pour le compte de l'État les sépultures militaires perpétuelles situées dans leurs cimetières ne bénéficient actuellement que d'une indemnité forfaitaire, dont le taux est fixé à 1,50 euro par tombe et par an conformément à l'arrêté du 11 septembre 2014.
Les communes qui éprouveraient de réelles difficultés à assurer l'entretien et la préservation des tombes concernées ont également la possibilité de solliciter à cette fin la participation d'associations commémoratives, telle Le Souvenir Français qui s'est donné pour mission de contribuer à l'entretien des sépultures des personnes titulaires de la mention "Mort pour la France", sans considération du statut juridique de ces tombes. Le Souvenir français remplit cette mission, d'une part pour le compte de l'État et moyennant l'indemnité forfaitaire précitée, dans de nombreux cimetières communaux abritant les corps des soldats morts pour la France non restitués aux familles, d'autre part en relais des familles et sur ses ressources propres, s'agissant notamment des tombes en déshérence où reposent les soldats morts pour la France dont les corps ont été restitués.

Proposition de loi tendant à sauvegarder les tombes des combattants morts pour la France déposée au Sénat le 2 novembre 2022 par M. Jean Louis MASSON, sénateur de la Moselle
Le Souvenir Français estime, à juste titre, que le fait de faire disparaître les restes d'un Mort pour la France dans l'anonymat d'une fosse commune est "une faute mémorielle". Pour Le Souvenir Français, "la tombe d'un Mort pour la France est une composante dans le chemin de la mémoire d'une commune et une clé de compréhension sur le rôle de la nation".
Dans l'exposé des motifs l'auteur rappelle que depuis 1920, le corps des combattants morts pour la France peut être restitué aux familles à leur demande mais que, dans ce cas, il est en général inhumé dans des cimetières communaux et non dans des cimetières militaires. Or, les concessions funéraires n'étant plus à perpétuité et, lorsqu'elles sont échues, les mairies pouvant les reprendre, certaines municipalités se bornent alors à transférer les ossements dans une fosse commune ou à les faire incinérer sans aucun égard pour le souvenir des combattants concernés.
Cette proposition de loi tend à ce que :
- si la tombe d'un "Mort pour la France" située dans un cimetière communal présente un caractère esthétique ou une importance particulière en raison du destin de celui qui y est inhumé, la commune soit tenue d'en prendre la propriété et en assurer l'entretien ;
- si tel n'est pas le cas et si la commune veut récupérer la tombe, elle soit tenue au préalable de créer une tombe collective réservée à l'inhumation des restes des morts pour la France et où seront inscrits leurs noms ainsi que la guerre ou l'affrontement au cours duquel ils ont été tués.

 

 2 - Destins extraordinaires

  • Emilie Carles (1900-1979)
    Institutrice, écrivaine, elle mena avec son époux une existence conforme à leurs idéaux, en militant pour la protection des espaces naturels. Dans les années 1970 elle participa activement à la protection de sa vallée, notamment en fondant une association de protection de la vallée de la Clarée, qui aboutît en 1976 à l'abandon d'un projet de voie rapide. Priorité fut alors donnée à la protection des champs, des fermes, à la pureté de l’air et à la beauté de la nature, jusqu'au classement de toute la vallée de la Clarée dans le réseau Natura 2000. Dans son récit autobiographique "Une soupe aux herbes sauvages" (1977) elle évoque avec sensibilité autant sa vie que celle des montagnards. Devenu un best-seller, il a été porté à l'écran dans le téléfilm Une soupe aux herbes sauvages dans lequel elle est interprétée par Annie Girardot. Elle est aussi l'auteur du livre posthume "Mes rubans de la Saint-Claude", publié en 1982.
  • Adrien Toussaint DAURELLE (1900-1961)
    Notaire, maire de Briançon de 1945 à 1959, Juste parmi les nations. Très actif pendant la Deuxième guerre mondiale, Me Daurelle établît une attestation certifiant que Gilbert Lévy-Bram (1891-1973) alias Gilbert Martin, notaire marseillais réfugié avec sa famille à Briançon, était employé dans son étude. Après l'arrestation de Gilbert Lévy-Bram suite à une dénonciation, Adrien Daurelle intervint énergiquement et obtint la libération de son "clerc" victime d'une "allégation mensongère" ! Il a été élevé au titre de Juste parmi les nations à titre posthume le 7 mars 1999 par l'Institut Yad Vashem. Son nom est gravé sur le Mur des Justes, allée des Justes parmi les nations à Paris IVe arrondissement et dans le Jardin des Justes, sur le Mont du Souvenir à Jérusalem.
  • Edmond FORBOTEAUX (1904-1945)
    Militant socialiste et syndical, fut membre de la Commission exécutive de l'Union des syndicats ouvriers de la Marne. Fait prisonnier en juin 1940, s'évade et rentre à Reims fin août 1940. Membre du premier comité départemental de libération nationale au titre du mouvement de résistance Libération-Nord, participe avec Robert Duterque (1907-1945) à la rédaction du premier numéro de L'Union clandestine (printemps 1944). Arrêté le 13 juin 1944 à Reims (Marne), il est interrogé brutalement par la Gestapo. Interné du 14 juin au 7 juillet 1944 à la prison de Châlons-sur-Marne (Marne). Interné du 8 au 15 juillet 1944 au Frontstallag 122 à Compiègne (Oise), il est incorporé au transport I.247 parti de Compiègne le 15 juillet 1944. Interné à Neuengamme le 18 juillet 1944 (matricule 37093), affecté au Kommando Bremen-Farge, peut-être le 1er août 1944. Mort en déportation, peut-être disparu au cours du bombardement de navires allemands le 3 mai 1945 en baie de Lübeck (Allemagne) (tragédie de Lübeck).
  • Célestin Baptistin FREINET (1896-1966)
    D'abord à Bar-sur-Loup, puis surtout à Vence, il développe avec l'aide de son épouse Élise Freinet et en collaboration avec un réseau d'instituteurs, une série de techniques pédagogiques basée sur l'expression libre des enfants : texte libre, dessin libre, correspondance interscolaire, imprimerie et journal scolaire, enquêtes, réunion de coopérative, etc. Militant engagé politiquement et syndicalement, en une époque marquée par de forts conflits idéologiques, il conçoit l’éducation comme un moyen de progrès et d’émancipation politique et civique.
  • Barthélémy GALLICE (1790-1862)
    Ingénieur militaire, polytechnicien de la promotion 1809. Capitaine à l’âge de 23 ans à la suite d’une action d’éclat à la bataille de la Bober (1813), sauvant ainsi l’armée en retraite, il sert ensuite dans l’armée du Rhin (1815). En 1830, nommé chef de bataillon et directeur du parc du Génie à Alger, il assiste aux expéditions de Goléah et de Médéah. Envoyé en mission spéciale à Alexandrie (Égypte) en 1840, il y reste 14 ans. Promu colonel, il est nommé bey, puis général et directeur des fortifications par Méhémet Ali, vice-roi d’Égypte. De retour dans sa région natale (Hautes-Alpes) en 1855, il achète au Lauzet un bâtiment pour les écoles de filles et de garçons, subvient à l’entretien des écoles et des édifices publics, et aux besoins des pauvres. À sa mort, il lègue 20.000 francs à son village natal, Monestier-les-Bains.
  • Edith Piaf (1915-1963)
    Chanteuse de variétés, surnommée à ses débuts "La Môme Piaf", elle est à l'origine de plusieurs succès devenus des classiques du répertoire, comme 'La Vie en rose', 'Non, je ne regrette rien', 'Hymne à l'amour', 'Mon légionnaire', 'La Foule', 'Milord', 'Mon Dieu' ou encore 'L'Accordéoniste'. Chanteuse à l'interprétation et à la voix saisissantes, elle a inspiré de nombreux compositeurs et a été le mentor de jeunes artistes tels qu'Yves Montand, Charles Aznavour, Les Compagnons de la chanson, Georges Moustaki, Charles Dumont... Elle acquiert une renommée internationale, mais sa fin de carrière est rendue difficile par de graves problèmes de santé ; elle meurt à l’âge de 47 ans.
  • Élise Freinet (1898-1983)
    Institutrice titulaire à partir de 1920, elle avait des idées révolutionnaires depuis son entrée à l'École normale de Gap (elle adhéra au Parti communiste en 1926 en même temps que son époux Célestin Freinet). Elle étudiait la peinture par correspondance, en parallèle de son activité professionnelle. Après sa rencontre avec Célestin Freinet en 1925, en enrichissant et soutenant ses actions et pensées, Élise apporta au mouvement de l'École Moderne une dimension originale dans le domaine artistique. Après la mort de Célestin Freinet, elle dirigea l'Institut coopératif de l'école moderne (ICEM) et la publication de la revue pédagogique bimensuelle de la Fédération internationale des mouvements de l'École Moderne (éditée par l'ICEM). Mais ses rapports avec celui-ci se dégradèrent rapidement. Elle contesta certaines pratiques de ce mouvement, auquel elle avait pourtant beaucoup donné. C'est ensuite sa fille, Madeleine Freinet, qui dirigea avec son mari, l'écrivain Jacques Bens, l'École Freinet à Vence.
  • Madre Maria Agostina MARINO (1896-1987)
    Orpheline à 10 ans, soeur Marie Agnès (Rosina Carmelina Paolina Caterina MARINO) fut accueillie avec sa soeur Victorine à l'Institut des pauvres filles de Marie à Suse (Italie), le 10 janvier 1907. Là, Rosina crut et persévéra dans des études d'infirmière puis obtint l'habilitation à l'enseignement de la religion. Manifestant le désir de devenir religieuse, elle fut admise comme postulante en 1911 et prononça ses voeux perpétuels en 1917. Une grande partie de son oeuvre pastorale se déroula à l'Institut des soeurs franciscaines missionnaires de Suse, qu'elle fit reconstruire et dont elle fut supérieure générale à deux périodes, de 1949 à 1955 et de 1955 à 1961. Elle se distingua par son amour pour la jeunesse.
  • Soeur Victor-Joseph PONS (1877-1956)
    Fervente, modeste, douce, aimant les autres plus qu'elle-même, Mlle Pons possédait tout naturellement les vertus théologales requises. Sa vie entière, parfaitement rectiligne, allait le confirmer. Le 10 septembre 1901, date de sa profession, Mlle Pons devient soeur Victor-Joseph devant Dieu et devant les hommes pour l'éternité. A l'issue d'un stage d'une année à Lausanne, auprès d'un professeur réputé, soeur Victor-Joseph prend son service à l'hôpital civil d'Oran le 19 juin 1902. Désignée au pavillon de l'ophtalmologie, dès sa fondation, elle allait se consacrer aux malades des yeux pendant 54 ans, à quelques jours près, puisqu'elle est décédée le 11 juin 1956.

 

 3 - Mariages

commune1881-18901891-19001901-19101911-19201921-19301931-19401941-1950XXème siècle
Briançon------1901-19101911-19201921-19301931-1940---XXème siècle
Giaglione1881-18901891-19001901-19101911-19201921-1930---------
Puy-Saint-Pierre------1901-19101911-19201921-19301931-1940------
Saint-Martin-de-Queyrières1881-18901891-19001901-19101911-19201921-19301931-19401941-1950XXème siècle
Villar-Saint-Pancrace------1901-19101911-19201921-19301931-1940------


 4 - Protection de la vie privée

Le règlement général sur la protection des données et la loi relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés entendent instaurer un niveau cohérent et élevé de protection des droits et libertés des personnes physiques à l'égard du traitement de leurs données à caractère personnel à l'aide de procédés automatisés ou manuels, si ces données à caractère personnel sont contenues dans un fichier.
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(3)
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(1) Le droit au respect de la vie privée est posé à l'article 8 de la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales, à l'article 22 de la Constitution belge ainsi qu'à l'article 9 du code civil français.
(2) Conformément aux conditions générales d'utilisation, les données généalogiques restent intégralement la propriété des membres qui les publient sur Geneanet.
(3) En France, les registres de l'état civil de naissances et de mariages ne sont communicables qu'à l'expiration d'un délai de soixante-quinze ans à compter de leur clôture, ou d'un délai de vingt-cinq ans à compter de la date du décès de l'intéressé si ce dernier délai est plus bref. (art. L.213-2 modifié du code du patrimoine)
Il demeure toutefois que "Les actes de naissance, les actes de reconnaissance et les actes de mariage ainsi que les registres de l'état civil qui les contiennent, datant de moins de soixante-quinze ans, ne peuvent être directement consultés que par les agents de l'Etat habilités à cet effet et les personnes munies d'une autorisation écrite de l'administration des archives, conformément à l'article L.213-3 du code du patrimoine. Au-delà de ce délai, l'accès de toute personne à ces actes et registres est régi par les dispositions du chapitre III du titre Ier du livre II du même code." (art. 26, al. 1 du décret n° 2017-890 du 6 mai 2017 modifié)
(4) Paramétrage 'contemporains privés' définis comme 'de plus de 100 ans'. Cette mesure ne vise que le renforcement de la prévention de l'usurpation d'identité de personnes vivantes par l'occultation de leurs filiations.
Nota : l'arbre genealogies est indexé sur le moteur de recherche d’Ancestry depuis 2022 (notamment par l'utilisation de moteurs de recherche comme Google ou Bing).
En faisant une recherche sur le moteur de recherche d’Ancestry avec par exemple un prénom et un nom, un membre d’Ancestry obtient une liste des arbres hébergés par Geneanet mais il lui faut aller sur Geneanet pour consulter l’intégralité des arbres (il s'agit du même processus que lors d'une recherche sur le moteur de recherche global de Geneanet). Par ailleurs, à la différence de Geneanet où sont indexées toutes les personnes visibles publiquement dans les arbres, sur Ancestry sont cependant exclues :
- toutes les personnes semi-masquées ou privées (par défaut, les personnes nées il y a moins de 100 ans) ;
- toutes les personnes publiques nées il y a moins de 100 ans, sans dates de décès.


 5 - Documents


 6 - Genealogical sources


 7 - Links


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