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ADRIEN ARMAND GOISET
ADRIEN ARMAND GOISET
  • Né le 30 juillet 1892 - IS SUR TILLE (21)
  • Décédé le 16 octobre 1915 - BOIS DE GIVENCHY EN GOHELLE (62),à l'âge de 23 ans
  • Pupille de l'Assistance Publique - 109e REGIMENT D'INFANTERIE 1er Compagnie, 4 citations à l'Ordre des Armée en 1915 Fourragère JAUNE.
1 média disponible 1 média disponible

A participé à la Grande Guerre, mort le 16/10/1915

Que s'est-il passé ce jour là ?
Domicile lors de la mobilisation : Is-sur-Tille (21)

 Parents

  • sosa JEAN-BAPTISTE, "EUGENE" GOISET, né le 20 avril 1855 - DIÉNAY (21), décédé entre 1918 et 1929 - IS SUR TILLE (21),
    PROPRIETAIRE CULTIVATEUR PUIS MAQUIGNON, CULTIVATEUR A DIENAY (21) EN 1886 A IS SUR TILLE EN 1894. employe des chemins de fer en 1896 à IS SUR TILLE (21), demeure en 1908 à IS SUR TILLE "cultivateur"

    Marié le 28 mars 1883, CRÉCEY SUR TILLE (21), avec
  • sosa LOUISE GAUVAIN, née le 24 mars 1861 - CRÉCEY SUR TILLE (21), décédée le 6 mai 1894 - Les rentes du seuil - IS SUR TILLE (21) à l'âge de 33 ans

 Fratrie

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 Événements


 Notes

Notes individuelles

courrier du 7 novembre 1914, les frères et beaux frères ont tous disparus il ne reste qu'adrien...courrier du 20 janvier 1915courrier jiullet 1915Courrier 19 aout 1915 c'est le dernier courrier reçu lui qiu ecrivait tant...cousine delporte ?

Le 16 octobre 1915 Tué à l'énnemi, mort au combat. DisparuJugement du 14 mars 1921 tribunal de dijonconnu comme pupille de l'assistance publique de dijon°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°En 1914 : août: Vosges, couverture, combats de Plaine, Champenay, Schirmeck, Wisches (batailles des Chênes)septembre: retraite vallée de la Plaine, Thiaville-sur-Meurthe, combats de Fagnoux, col de la Chipotte, transport sur la Marne, bataille de la Marne, vallée du puits, Ferme des Esserts, Sompuis, Bussy-le-Château, Somme-Suippe, Champagne, Perthe-les-Hurlus, Souain.octobre - décembre: Artois, 2e bataille d'Artois, secteur de la Bassée 3e bataille d'Artois, combats du Rutoire, Vermelles, Aix-Noulette, Souchez, Notre-Dame-de-Lorette, vallée de la Souchez, Crête de Givenchy-en-Gohelle.En 1915, janvier - octobre: Artois, Souchez, Aix-Noulette, Givenchy.

Le 24 Aout la 1er Cie est envoyée faire la relève du groupement dit de la Chapelle en L3 L4.Voir état des pertes des 21 et 31 aout dossier B annexe 33 ou 34

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°Le 1er Bataillon (comprenant la 1re compagnie) commandé par le 1er Capitaine Roussotte, attaque et s'empare du chateau de vermelles et est cité à l'ordre de l'Armée : "S'est particulièrement distingué à l'attaque du château de Vermelles, qu'il a courageusement enlevé avec un entrain de bravoure admirable." Artois, Vermelles, novembre 1914

Les 1re et 4e conpagnies recoivent une citation à l'ordre de l'Armée, avec le motif : "le 15 Avril 1915, ont exécuté avec une ardeur et une bravoure hors paie une attaque dirigée contre les tranchées allemandes trsè fortement organisées, s'en sont brillamment emparées en y faisant de nombreux prisonniers et en ont maintenu la possession malgrés trois vigoureuses contre attaques et un bombardement dune extrême violence". Artois, Notre dame de Lorette, rand Eperon et posisiont dite de l'"Y", avril 1915.°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°Samedi 16 octobreL'Italie et la France déclare la guerre à la Bulgarie

Violent bombardement en Artois (Loos, le « Bois-en-Hache », le bois de Givenchy).A la faveur du bombardement qu'il poursuit en Champagne, l'ennemi a pu reprendre pied à l'est d'Auberive, dans une de ses anciennes tranchées.Dans l'Argonne, l'explosion d'une de nos mines a bouleversé les abords des lignes ennemies.En Lorraine, nous avons repris des éléments de tranchées, où l'ennemi s'était maintenu au nord de Reillon. Nous avons fait cinquante prisonniers.Dans les Vosges, les Allemands ont prononcé une forte attaque sur un front de cinq kilomètres. L'assaut préparé par des rafales d'obus et de grosses bombes avec projection de pétrole enflammé, a été repoussé sur la presque totalité du front; l'ennemi n'a réussi à réoccuper que des tranchées situées au sommet de l'Hartmannswillerkopf.Notre canonnade a bouleversé les tranchées allemandes et démoli deux blockhaus au Violu.Les Russes ont livré de violents combats, souvent heureux devant Dwinsk et à l'ouest du Sereth, en Galicie.Les Bulgares ont attaqué sur toute la ligne les Serbes qui résistent énergiquement. La Serbie a notifié aux chancelleries sa déclaration de guerre au cabinet de Sofia.La Roumanie a décidé de prolonger sa neutralité.Un sous-marin anglais a détruit un torpilleur allemand au large des côtes danoises

Les chefs de la 13e division d'infanterie•09/09/1913 - 26/08/1914: Général Bourdériat [1]•09/09/1914: Général Baquet•13/10/1914: Général de Cadoudal•05/06/1915: Général Martin de Bouillon3. La Première Guerre mondiale3. 1. Composition au cours de la guerre•Quartier-général à Chaumont - Général Bourdériat•Ordre de Bataille à la Mobilisation:•25eBrigade d'infanterie - Général Ernest Auguste Barbade◦17e Régiment d'Infanterie - (Épinal) - Colonel Brue◦régiment à la 13e DI d'août 1914 à décembre 1916.◦17e Bataillon de Chasseurs à Pied - (Baccarat) - Commandant Carrère◦bataillon à la 13e DI d'août 1914 à juillet 1915.◦20e Bataillon de Chasseurs à Pied - (Baccarat) - Commandant Michaut◦bataillon à la 13e DI d'août 1914 à décembre 1916.◦21e Bataillon de Chasseurs à Pied - (Raon l'Etape) - Commandant Rauch◦bataillon à la 13e DI d'août 1914 à décembre 1916.•26e Brigade d'infanterie - Colonel Hamon.◦21e Régiment d'Infanterie - (Langres) - Colonel Frisch [2]◦régiment à la 13e DI d'août 1914 à décembre 1916.◦109e Régiment d'Infanterie - (Chaumont) - Colonel Aubry [3]◦régiment à la 13e DI d'août 1914 à décembre 1916.•6e Escadron du 4e Régiment de Chasseurs à Cheval.•62e Régiment d'artillerie de campagne (RAC) - (Épinal) - Colonel Griache.•Compagnie 21/1 du 11e Régiment du Génie.3. 2. 1914Mobilisée dans la 21e région.28 juillet - 14 août 1914

Transport par V.F. dans la région de Baccarat.A partir du 2 août, en couverture en rive droite de la Meurthe, Flin - Montigny - Badonviller - Celles-sur-Plaine - Senones - col de Saales.A partir du 10 août, passage d'un dispositif de couverture à un dispositif de bataille.14 - 19 août 1914

Offensive du 21eCorps d'armée sur la frontière. La 13e DI progresse entre la vallée de la Plaine et celle de la Bruche ; prise par la 25e Brigade des cols du Donon, de Prayé, du Hantz, la 26e Brigade s'empare du col de Saales puis offensive dans la haute vallée de la Bruche, Schirmeck : Combat de Plaine.17 août, occupation de Schirmeck ; combat de Wisches et de Russ.19 - 26 août 1914

Repli sur la Meurthe, vers Raon-l'Étape, par le Donon et la vallée de la Plaine : Les 23 et 24 août, combats de Celles et de Badonviller.A partir du 24 août, repli vers l'est de Rambervillers : Le 25 août, combats vers Raon-l'Étape.26 août - 2 septembre 1914

Engagée dans la bataille de La Mortagne. Reprise de l'offensive : combats vers le col de la Chipotte.2 - 8 septembre 1914 Retrait du front, transport par voie ferrée de la région d'Épinal, à celle de Wassy : puis mouvement vers le sud de Sompuis. 8 - 14 septembre 1914

Engagée dans la Première bataille de la Marne.8 - 10, bataille de Vitry : combats vers le camp de Mailly et vers Sompuis.A partir du 10, poursuite en direction de Souain, par Vésigneul-sur-Marne et Bussy-le-Château.14 septembre - 1er octobre 1914

Combats à l'est de Souain, puis stabilisation et occupation d'un secteur de cette région.1er - 6 octobre 1914

Retrait du front et transport par V.F. de la région de Châlons-sur-Marne, à celle d'Armentières, puis mouvement vers LilleLe 5 octobre, combat de Fives-Lille.6 - 14 octobre 1914

Mouvement, par la Bassée, en direction de Loos. Engagée dans la 1re bataille d'Artois. Combats vers Loos et Liévin et au nord du plateau de Notre-Dame-de-Lorette.14 octobre 1914 - 27 janvier 1915

Occupation d'un secteur vers Noulette et Vermelles, étendu à droite, le 3 novembre, jusque vers Notre-Dame-de-Lorette : Combats à Vermelles, au Rutoire et vers Angres. Le 12 décembre, front réduit, à gauche jusque vers la fosse Calonne.16 - 21 décembre, attaques françaises vers Notre-Dame-de-Lorette.31 décembre, front réduit, à gauche, jusqu'à l'ouest d'Angres.3. 3. 191527 janvier - 5 mars 1915

Retrait du front et repos au sud de Houdain.5 mars - 9 mai 1915

Mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Ablain-Saint-Nazaire et l'ouest d'AngresDu 5 au 8 mars, puis, du 15 au 20 mars, combats sur le plateau de Lorette.21 avril - 7 mai, placée en 2e ligne ; travaux.9 mai - 25 septembre 1915

Engagée dans la 2e bataille d'Artois, vers Ablain-Saint-Nazaire et Notre-Dame-de-Lorette ; Le 12 mai, prise de la chapelle de Notre-Dame-de-Lorette.A partir du 20 mai, placée en 2e ligne, prête à intervenir dans la bataille.A partir du 28 mai, occupation d'un secteur à l'est de Notre-Dame-de-Lorette et d'Ablain-Saint-Nazaire :16 - 30 juin, attaques françaises sur le plateau de Lorette, et avance jusqu'aux abords ouest de Souchez.25 septembre - 15 octobre 1915

Engagée dans la 3e bataille d'Artois : prise de Souchez et du fortin du bois de Givenchy. Puis occupation du terrain conquis vers Souchez et la lisière ouest du bois de Givenchy.15 octobre - 4 novembre 1915

Retrait du front : repos à l'ouest de Saint-Pol.4 novembre - 25 décembre 1915

Occupation d'un secteur entre le nord de Souchez et l'ouest d'Angres. Au repos du 25 au 30 novembre, puis occupation d'un secteur vers Souchez et le bois de Givenchy.25 décembre 1915 - 1er février 1916

Retrait du front et transport par camion dans la région d'Humières : repos.3. 4. 19161er février - 3 mars 1916

Mouvement vers le nord d'Abbeville ; à partir du 3 février, séjour au camp Saint-Riquier. Le 22 février, transport par V.F., dans la région de Villers-Brûlin, puis, à partir du 25 février, dans celle de Bar-le-Duc. Repos vers Vaubécourt.Le 26 février 1916 le 2° Classe Paul Perrin-Duc des Bouchoux (Jura) est tué par l'enmmi à Wacques ( Marne ). 3 - 20 mars 1916

Transport par camions à Verdun.A partir du 4, engagée dans la bataille de Verdun, entre le sud du village de Douaumont et l'étang de Vaux.8, 10 et 18 mars, attaques allemandes.9 mars contre-attaque française.20 mars - 23 avril 1916

Retrait du front et regroupement vers Bar-le-Duc : repos.A partir du 5 avril, transport par V.F. dans la région de Châlons-sur-Marne : repos vers Mourmelon-le-Grand.23 avril - 21 juillet 1916

Mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la butte de Souain et le sud de Tahure.21 juillet - 15 août 1916

Retrait du front et mouvement vers le nord-ouest de Châlons-sur-Marne : repos.À partir du 10 août, transport par V.F. dans la région de Marseille-en-Beauvaisis : repos.15 - 28 août 1916

Transport par camions vers le front. Engagée dans la bataille de la Somme, vers Estrées-Deniécourt et Soyécourt21 août attaque française.28 août - 3 septembre 1916

Retrait du front : transport par camion au sud de Moreuil.3 septembre - 16 octobre 1916

Transport par camion vers le front.À partir du 7 septembre, engagée dans la bataille de la Somme, vers Estrées-Deniécourt et Soyécourt.17 septembre, attaque française.18 septembre, prise de Deniécourt.22 septembre, front étendu, à droite, jusqu'au sud de Soyécourt. Les 10 et 14 octobre, attaques françaises sur Ablaincourt.16 octobre - 15 novembre 1916

Retrait du front au nord de Beauvais : repos et instruction.15 novembre - 17 décembre 1916

Transport par camions vers le nord, et occupation d'un secteur vers Ablaincourt et Génermont.17 - 22 décembre 1916

Retrait du front, mouvement vers Grandvilliers : repos.22 décembre 1916 - 20 janvier 1917

Transport par V.F. dans la région de Vesoul : repos et instruction au camp de Villersexel.3. 5. 191720 janvier - 29 mai 1917

Transport par V.F. dans la région de Belfort, Petit-Croix : travaux. À partir du 12 février, mouvement, par Ronchamp, vers Villersexel : instruction au camp.A partir du 28 février, mouvement par étapes vers Héricourt, puis vers Belfort et Montreux-Vieux : travaux.A partir du 8 avril, mouvement vers Villersexel : instruction.A partir du 14 avril, transport par V.F. de la région de Belfort, dans celle d'Épernay et de Château-Thierry. Repos et instruction vers Condé-en-Brie.A partir du 18 mai, mouvement par étapes vers la région de Soissons : repos.29 mai - 21 août 1917

Mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la ferme de Mennejean et le moulin de Laffaux6 juin, secteur étendu, à gauche, jusqu'au sud de Vauxaillon et réduit à droite, jusqu'au nord de Nanteuil.21 août - 4 septembre 1917

Retrait du front, mouvement par étapes vers la région de Villers-Cotterêts : repos et instruction.4 - 28 septembre 1917

Mouvement vers le front. Éléments en secteur vers Nanteuil-la-Fosse et éléments aux travaux ( préparatifs d'attaque)28 septembre - 20 octobre 1917

Mouvement par étapes vers la région de Villers-Cotterêts : repos et instruction.20 - 31 octobre 1917

Occupation d'un secteur vers la ferme Mennejean et le nord de Nanteuil-la-Fosse.A partir du 23 octobre, engagée dans la bataille de La Malmaison23 - 27, combats, puis organisation et défense des positions conquises, sur le canal de l'Oise à l'Aisne, dans la partie est de la forêt de Pinon.31 octobre - 7 décembre 1917

Retrait du front, transport par camions vers Crécy-en-Brie : repos et instruction.7 décembre 1917 - 9 janvier 1918

Transport par V.F. de la région de Meaux, dans celle de Lure et de Villersexel. À partir du 13, mouvement vers Delle : travaux vers Héricourt.3. 6. 19189 janvier - 20 mai 1918

Mouvement par étapes vers le Thillot.A partir du 18 janvier, occupation d'un secteur vers Metzeral et le ballon de Guebwiller, étendu à droite, à partir du 30 mars, jusque vers Leimbach20 - 27 mai 1918

Retrait du front, et, à partir du 24 mai, transport par V.F. vers Ville-en-Tardenois : repos.27 mai - 5 juin 1918

Engagée dans la 3e bataille de l'Aisne : Résistance à la poussée ennemie dans la région de Fismes, puis dans celle de Châtillon-sur-Marne.5 juin - 15 août 1918

Retrait du front, transport par V.F. en Champagne.A partir du 14 juin, occupation d'un secteur vers la ferme Navarin et l'Épine de Vedegrange: le 1er juillet, front déplacé à droite, entre la cote 193 et l'est de l'Épine de Vedegrange.15 juillet engagée dans la 4e bataille de Champagne. Puis contre-attaques et réorganisation du front vers le Trou Bricot et la ferme des Wacques.15 août - 5 septembre 1918

Retrait du front : repos vers Saint-Germain-la-Ville.5 septembre - 12 octobre 1918

Occupation d'un secteur vers le Trou Bricot et le Mesnil-lès-Hurlus, déplacé à gauche, le 16 septembre, entre Perthes-lès-Hurlus et l'est de Souain.A partir du 26 septembre, engagée dans la bataille de Champagne et d'Argonne, d'abord en 2e ligne, puis, à partir du 29 septembre, en 1e ligne, vers Manre et Aure : progression vers Monthois.3 - 11 octobre, attaques en 2e ligne.12 - 20 octobre 1918

Retrait du front : mouvement vers Dommartin-sur-Yèvre : repos.20 octobre - 5 novembre 1918

Transport par camions vers Reims, puis vers Asfeld-la-Ville.1er novembre, occupation d'un secteur au nord-ouest de Condé-lès-Herpy, et progression jusqu'à la région de Saint-Fergeux.5 - 11 novembre 1918

Engagée dans la poussée vers la Meuse : Progression vers la région de Signy-l'Abbaye, puis vers celle de Belval..3. 7. RattachementsAffectation organique : 21e CA d'août 1914 à novembre 1918

Ire Armée 2 août - 3 septembre 1914 14 avril - 17 mai 1917

IIe Armée 1er 4 octobre 1914 19 janvier - 18 février 1916 27 février - 5 avril 1916

IIIe Armée 4 - 6 septembre 1914 25 - 26 février 1916

IVe Armée 7 - 13 septembre 1914 6 avril - 1er mai 1916 21 juillet - 9 août 1916 24 - 26 mai 1918 8 juin - 20 octobre 1918

Ve Armée 2 mai - 20 juillet 1916 29 mai - 7 juin 1918 21 octobre - 11 novembre 1918

VIe Armée 18 mai - 6 décembre 1917 27- 28 mai 1918

VIIe Armée 22 décembre 1916 - 13 avril 1917 7 décembre 1917 - 23 mai 1918

IXe Armée 14 - 30 septembre 1914

Xe Armée 5 octobre 1914 - 18 janvier 1916 19 - 24 février 1916 10 août - 21 décembre 1916

4. L' entre-deux-guerresLa loi du 13 juillet 1927, sur l’organisation générale de l’armée et la loi des cadres et effectifs du 28 mars 1928, fixent le nombre des divisions d’infanterie métropolitaines à vingt. Ces dernières sont considérées comme des forces de territoire affectées à la défense du sol métropolitain.Ces grandes unités d’infanterie sont de trois types, dix divisions d’infanterie de type « nord-est », sept divisions d’infanterie motorisées et trois divisions d’infanterie alpine.La 13e Division d'Infanterie, stationnée à Besançon, est de type "nord-est". Sa composition est la suivante:

•21e Régiment d'Infanterie : Chaumont•60e Régiment d'Infanterie : Besançon•8e Régiment de Tirailleurs Marocains : Belfort•28e Régiment d'Artillerie Divisionnaire : Chaumont

http://wapedia.mobi/fr/Bataille_de_l%27Artois_(automne_1915)

La bataille de l'Artois de l'automne 1915 (appelée aussi Deuxième bataille d'Artois [1] ou Troisième bataille d'Artois), est une bataille qui eut lieu du 15 septembre au 4 novembre 1915, sur le Front Ouest, pendant la Première Guerre mondiale. Elle opposa la Xe Armée française, soutenue par 6 divisions britanniques, à la VIe Armée allemande. La bataille de l'Artois s'inscrivait dans le cadre de l'offensive française menée pendant la seconde bataille de Champagne.

La seconde attaque française, la troisième bataille d'Artois, commence avec la prise de la ville de Souchez. Après cinq jours de combat intensifs, les Français s'emparent des hauteurs de la crête de Vimy, pour la troisième fois. Cependant, ils progressent ensuite de façon limitée, et la résistance accrue des Allemands entraîne de lourdes pertes. Les Français n'arrivent pas à capitaliser leurs premiers succès. On estime que les pertes françaises s'élèvent à 48 000 hommes et celles des Allemands à 30 000.

Dans le cadre de cette grande offensive, la Ier armée du général sir Douglas Haig lance une attaque entre Lens et le canal de la Bassée (c'est le début de la bataille de Loos). Les Britanniques, à court de munitions d'artillerie, utilisent le gaz pour la première fois dans la guerre. Cependant, des vents contraires renvoient une partie du gaz sur les lignes britanniques, et le terrain, des villages fortifiés et des terrils, rend la progression difficile. Le troisième jour, ils ont avancé de plus de 3 500 m et les troupes d'assaut s'emparent partiellement de la redoute de Hohenzollern, du village de Loos, et de la colline 70. La deuxième ligne allemande résiste cependant. Les Français venus apporter du renfort aux Britanniques avancent lentement et leur attaque le matin du 26 est contrée. Les contre-attaques allemandes permettent de reprendre la redoute de Hohenzollern. Les combats se poursuivent en octobre.

L'attaque dirigée par les Allemands contre les lignes franco-britanniques le 8 octobre et renouvelée plus mollement le 9 a été une des opérations les plus sérieuses et les plus largement conçues qu'ils aient menées depuis longtemps dans la région. Le maréchal French a indiqué dans son rapport que les troupes françaises ont occupé depuis quelque temps, sur sa demande, le secteur compris entre l'ancienne gauche de la ligne française, au Sud; et Loos, incluse, au Nord. L'attaque du 8 octobre avait pour objet de réoccuper les conquêtes récentes de l'armée britannique, depuis la redoute Hohenzollern jusqu'à Loos comprise. Des interrogatoires de prisonniers ont même appris que si l'objectif immédiat de l'attaque ne consistait que dans cette reprise du terrain, tout était préparé, matériel et personnel, et amené à pied-d'œuvre pour exploiter à fond le succès escompté, prendre en flanc et mettre ainsi en péril les récentes conquêtes françaises de mai et de septembre.

Cette attaque, qui a un peu différé des précédentes, présente quelques caractéristiques qu'il peut être intéressant de noter. Un bombardement assez violent, intermittent, mais sans arrêts de longue durée, était opéré par l'ennemi depuis plusieurs jours. Ce bombardement était dirigé sur les premières lignes - soutiens compris - d'une part, et d'autre part sur les cantonnements de repos (ce dernier procédant par rafales, destiné à produire un effet brutal de surprise terrifiante).

•Le 8 octobre, après une matinée relativement calme, un tir extrêmement violent et rapide de tous les calibres fut déclenché sur nos lignes, à midi. Ce tir comprenait des obus d'un calibre inusité: il tomba des obus de 380 et de 305. Les effets de ces obus, ainsi que de très nombreux projectiles de 210 et de 150 qui nous arrivèrent, ont été très au-dessous de ce que l'assaillant pouvait en espérer comme destruction de vies humaines.•◦Vers 3 h. 1/2 de l'après-midi, le tir devint d'une intensité vraiment extraordinaire. C'était bien le « trommelfeuer », le feu tambourinant, suivant le pittoresque surnom que lui ont trouvé les Allemands.Pendant ce temps, la deuxième ligne et les villages les plus rapprochés étaient soumis à un déluge d'obus suffocants, destinés à empêcher le tir de l'artillerie et l'arrivée des renforts. Ce barrage était si sérieux que l'odeur persistait, fétide et entêtante, trente-six heures après le bombardement.•◦A 4 h. 10, la première vague allemande couronnait les tranchées de départ construites en avant de la ligne ennemie pendant les nuits précédentes. La fusillade éclatait aussitôt dans les tranchées françaises et britanniques, mais aussi hâtive et nerveuse que nourrie. Les hommes tiraient dans le bleu. Pendant que les officiers calmaient ce premier énervement, faisaient ajuster le tir et régulariser la densité d'occupation des tranchées, la deuxième vogue d'assaut suivait la première à 150 mètres; la troisième ne tardait pas à paraître. Ces trois vagues étaient constituées par des hommes placés coude à coude. Disons tout de suite que la première vague, disloquée et fauchée par les feux d'infanterie et de mitrailleuses, se confondit rapidement avec la deuxième. D'importants éléments de cette dernière parvinrent, grâce à des ondulations de terrain et à de hautes luzernes, jusqu'au contact presque immédiat de notre ligne en certains points. Le combat se poursuivit à la grenade. Un poste d'écoute fut même submergé par les assaillants, mais un seul obus de 75, tombant dans ce poste, tua tous les Allemands qui y avaient pénétré. La troisième vague ne put pas s'approcher des tranchées, le barrage foudroyant de notre artillerie l'ayant immobilisée puis détruite. Peu de temps après l'apparition de la troisième vague, se montrèrent les réserves, ou plutôt le deuxième échelon, en colonnes denses. Ces colonnes, accueillies par le feu qui les atteignait par-dessus les premières vagues - toutes les balles trop longues étaient pour elles, - hésitèrent, oscillèrent et finalement se mirent à l'abri dans quelques bâtiments isolés, dont les murs de briques suffisaient à arrêter les balles. Le commandant d'une des compagnies de première ligne, dont le téléphone avait été détruit au début de l'action, put le faire réparer à temps et prévenir l'artillerie que des masses très compactes se pressaient dans la zone de sécurité relative ainsi constituée. Une rafale formidable d'obus moyens et gros s'abattait bientôt sur ces bâtiments, où des centaines de fantassins ennemis furent écrasés. Les débris des unités qui y avaient cherché refuge se sauvèrent en désordre sur la route de Lens à la Bassée, poursuivis par les shrapnells. L'attaque était enrayée, elle allait bientôt se terminer complètement. Elle avait duré presque une heure entière, durée extrêmement longue pour la partie violente d'une action aussi meurtrière. Meurtrière, elle l'a été: devant le front d'une seule compagnie et dans une zone voisine de la tranchée, 300 cadavres ont été comptés dans la nuit qui a suivi. Or, lès victimes de l'artillerie, bien plus nombreuses, sont impossibles à dénombrer, étant situées au voisinage de la tranchée allemande. Les blessés ont afflué à Lens et dans toute la région, au dire des prisonniers. Deux régiments saxons qui attaquaient sur le front des deux compagnies accrochées aux pentes de, la cote 70, à l'Est de Loos, ont perdu presque tous leurs officiers. L'un d'entre eux, le 10G0 R. I. R., n'avait plus que six ou sept officiers lorsqu'il a quitté le secteur.•◦Le récit de l'affaire terminé - car la faible et désespérée tentative d'attaque qui se produisit le lendemain matin, à 8 h. 10, ne saurait se comparer au gros et sanglant effort du 8, - il est intéressant de relever quelques remarques faites par les officiers de première ligne. Les hommes de la première vague portaient pour armement, outre les habituelles musettes à grenades et les bombes munies d'un long manche de bois fixé à la ceinture, une masse d'armes, formée d'un lourd cylindre d'acier terminé par une pointe et emmanché sur un manche de bois dur, que retenait au poignet une dragonne. Les hommes de la deuxième vague, destinés à occuper les tranchées conquises, avaient l'équipement complet - sans sac. Ceux de la troisième vague et- les suivants, destinés à pousser de l'avant, avaient l'équipement complet de campagne. Aucun ne portait le casque. Les casques étaient emmagasinés à Lens.Les hommes d'assaut se sont avancés avec un grand courage et un esprit de sacrifice évident. Néanmoins,.plusieurs détails décèlent un affaiblissement dé l'esprit agressif qui était resté, durant de longs mois, une des plus belles caractéristiques du soldat allemand: 1e les officiers qui, normalement, dans l'ordre de bataille allemand, doivent se placer derrière la ligne d'assaut pour surveiller la marche et pousser tes hésitants, ont dû, pour susciter un élan devenu moins irrésistible, se porter en avant, se dresser au- dessus des hommes couchés entre deux bonds, agiter leur sabre nu; ils ont presque tous payé de leur vie cet héroïsme, rendu nécessaire par les défaillances de la troupe; La troupe d'assaut ignorait complètement le terrain. Pour éviter la démoralisation que produit une réflexion trop prolongée, les hommes ont été tenus, jusqu'à la veille au soir du jour fixé, dans l'ignorance absolue de l'attaque et du terrain, dont la connaissance leur eût assurément enlevé la confiance; Les hommes ont été tenus dans l'ignorance de l'ennemi qu'ils avaient à combattre. Les officiers leur avaient annoncé que l'artillerie était peu nombreuse. Enfin, un signe certain de l'affaiblissement des effectifs a été relevé: les divisions qui ont donné l'assaut dont il est question avaient attaqué, avec de grandes perles, très peu de jours avant, devant Souchez et Lorette.

•◦L'attaque, d'autre part, devait être renouvelée le lendemain matin, après qu'une nuit de veille et d'attente énervante aurait diminué la valeur des troupes de défense. Cette attaque, dépourvue d'éléments frais en nombre suffisant, ne fut qu'esquissée, et son seul résultat fut d'amener de nouvelles pertes, même dans la tranchée de départ, où se massaient des formations qui furent gravement atteintes, sans même sortir, par le tir de notre artillerie. Le mouvement offensif était terminé. Son échec était complet. Les troupes de défense avaient déjà de fortes raisons d'estimer très lourdes les pertes qu'elles avaient causées à l'assaillant, lorsqu'un document allemand, trouvé sur un officier tué quelques jours après, dépassa toutes les espérances. Les troupes allemandes qui ont exécuté les attaques du 8 et du 9 octobre ont perdu, outre la presque totalité des officiers, 80 pour 100 de leur effectif.

•◦Du 13 au 14 octobre, la 46ème division britannique s'empare d'une partie de la redoute de Hohenzollern tenue par les Allemands à la fin de la bataille de Loos, et repousse les contre-attaques allemandes. Les pertes britanniques s'élèvent à 62 000 hommes, tandis que les pertes allemandes comptent environ 26 000 tués, blessés ou prisonniers. Le commandant du corps expéditionnaire britannique, le maréchal sir John French, est accusé d'avoir fait mauvais usage de ses réserves pendant les combats et les réclamations pour le remplacer se multiplient

http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/fr/complementter.php?table=bp&id=3737193&largeur=1600&hauteur=900.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°Autres informationsSon lieu de naissance est en erreur sur MdH (Assistance) Ses parents sont alors indiqué comme cultivateurs à la Rente du Seuil à Is-sur-Tille sur l'acte de naissance - Lui-même sera ouvrier agricole à Busserote. Il était enfant assisté des Hospices de la Côte d’Or. Son père devait donc être mort très tôt (SIC)

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"ADRIEN" ARMAND GOISET 1892-1915