Aujourd'hui alors que nos parents et grands-parentsrespectifs nous ont quittés, il m'arrive souvent d'éprouver leregret de ne pas avoir su les faire parler davantage de notrehistoire familiale. C'est donc cette déficience, ces blancs dansnos racines qui m'ont d'abord convaincu de faire ce travail demémoire afin que mes enfants et mes petits enfants ne ressententpas, un jour, ce manque à leur tour. (Janvier 1990)