Aimé AugusteBOUTIER

Heure de naissance : 4:00
Témoin : Paul Dominique Ismaël BOUTHIER (1860-1932), le père de l'enfant.

Matricule 1410
Classe 1905
Bureau de La Rochelle
Classe de mobilisation 1905
Inscrit sous le n°4 de la liste du canton de Loulay

Cheveux et sourcils châtains clairs
Yeux noirs
Front ordinaire
Nez et bouche moyens
Menton rond
Visage ovale
1m69

Détails des services et mutations diverses
Incorporé au 1er régiment du Génie. Arrivé au corps le 6 octobre 1906. Numéro de matricule 10101.
Soutien de famille (décision du conseil départemental du 9 mars 1907) et 2ème sapeur aérostier le dit jour.
Certificat de bonne conduite "accordé".
Passé dans la disponibilité de l'armée active le 25 septembre 1908.
Mobilisation générale, rappelé à l'activité par décret du 2 août 1914, arrivé au corps le 3 août 1914, aux armées le 23 août 1914, passé au 58ème régiment d'artillerie le 30 août 1915.
Classé service armé le 3 novembre 1914 à Rochefort, affecté au 24ème régiment d'artillerie.
Campagne contre l'Allemagne du 3 août 1914 au 16 octobre 1917.
Blessé le 8 novembre 1916 à Fraimbois (note : au sud de Lunéville, Meurthe-et-Moselle) au cours des opérations. (Plaies multiples du thorax et de l'avant-bras par éclats de torpilles). Proposé pour la réforme temporaire n°1 avec gratification 10°/8°catégorisé par la commission de réforme de Saintes du 16 octobre 1917 pour "paralysie du nerf cubital gauche suite de blessure par éclat de torpille à la face postérieure de l'avant-bras.
Admis à la réforme temporaire n°1 avec gratification de 100 francs par décision ministérielle du 20 juillet 1918, notifiée le 1er août 1918 sous le n°1729/3. Se retire à Saint-Savinien (Charente-Inférieure).
Maintenu réformé temporairement, n°1 et gratification de 8ème catégorie par la commission spéciale de Saintes le 28 novembre 1918.
Maintenu réformé temporaire n°1 avec pension temporaire de 10% par la commission de réforme de Saintes le 11 septembre 1919 pour paralysie cubitale gauche avec griffe irréductible des 2 derniers doigts.
Maintenu réformé temporairement et proposé pour une pension temporaire de 15% par la commission de réforme de Saintes du 2 septembre 1920 pour griffe persistante complète et irréductible activement de 2 derniers doigts de la main gauche avec paralysie cubitale en voie d'amélioration.
Réformé définitivement et proposé pour une pension permanente de 25% par la commission de réforme de Bordeaux du 19 septembre 1921 pour paralysie cubitale gauche au dessus du coude avec griffe caractérisée irréductible des 2 derniers doigts, intégrité des 3 autres doigts. Admis à une pension de 600 francs par arrêté ministériel en date du 31 juillet 1922 avec jouissance du 16 octobre 1921.
Maintenu réformé définitif avec pension permanente de 25% par la commission de réforme de La Rochelle du 27 février 1930 pour paralysie cubitale gauche avec griffe irréductible des 2 derniers doigts, 2/ Séquelles de phlegmon de l'index droit. 3/ Cicatrice superficielle creuse ... gauche.
Maintenu réformé définitivement avec pension permanente de 25% par la commission de réforme de Bordeaux du 3 septembre 1930 pour paralysie typique du nerf cubital gauche. Gêne fonctionnelle épaule gauche.
Maintenu réformé définitivement avec pension permanente de 25% par la commission de réforme de La Rochelle du 11 février 1932 pour paralysie cubitale main gauche.
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Proposé Médaille Militaire en 1925.

Heure du mariage : 10:00
Témoin : Paul Dominique Ismaël BOUTHIER (1860-1932), Le père du marié
Témoin : Jean-Paul AMBERT (1857-1925), Le père de la marié
Témoin : Adèle ANDREAU (1864-1951), La mère de la mariée
Témoin : Ernest Louis MEUNIER (1884-1932), Le beau-frère du marié.
Autres témoins :
- Marcel Meunier, né en 1888, maréchal-ferrant, sans parenté
- Théophile Gourbail, né en 1888, cultivateur, cousin de la mariée
- Georgine Vernoux, née en 1877, sans profession, cousine de la mariée