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A partir de quelquesancêtres nobles vers 1650, et ce, sur plusieurs branches de lafamille, je remonte jusqu'à CHARLEMAGNE et CLOVIS avec un nombreincroyable d'aieux nobles (chevaliers, comtes, vicomtes, ducs, roiset reines de France et de Navarre...)

J'ai commencé mes recherches généalogiques il y a plus de 30 ans! (dans les mairies et les Archives départementales). Mesrecherches sont centrées sur la LORRAINE et leLUXEMBOURG,le LIMOUSIN,la BOURGOGNEet le LOIRET. Et du coté de mon mari sur lesUSA,CANADA,ANGLETERRE, ECOSSE, ainsi que laCREUSE, l'AUVERGNE, RégionLyonnaise.
Depuis peu, je rechercheaussi les ancêtres de mes petits-enfants sur le NORD de la France et laBELGIQUE.

Mais ce quim'intéresse le plus ce sont les CONTEMPORAINS, et essayer dereconstituer la vie de mes ancêtres sur les 18ème, 19ème et 20èmesiècle


Joseph LALIRON
Joseph LALIRON
Cocher

  • Né le 7 octobre 1885 (mercredi) - (La Barbaud) - LE MAS-D'ARTIGE, 23125, Creuse, Limousin, FRANCE
  • Décédé le 6 juin 1916 (mardi) - DAMLOUP, 55143, Meuse, Lorraine, France,à l'âge de 30 ans
  • COCHER à la Compagnie Générale de Paris. Chauffeur d'auto.
    MORT POUR LA FRANCE
9 médias disponibles 9 médias disponibles

A participé à la Grande Guerre, mort le 06/06/1916

Que s'est-il passé ce jour là ?

 Parents

  • Pierre-Alexandre LALIRON, Cocher. Scieur de long. Exploitant agricole , né le 7 janvier 1856 (lundi) - (Mont-la-Pinte) - SORNAC, 19261, Corrèze, Limousin, France, décédé le 5 janvier 1928 (jeudi) - (La Barbaud) - LE MAS-D'ARTIGE, 23125, Creuse, Limousin, FRANCE à l'âge de 71 ans,
    Cocher, Scieur de long. Exploitant agricole

    Marié le 5 juillet 1884 (samedi), LE MAS-D'ARTIGE, 23125, Creuse, Limousin, FRANCE, avec
  • Joséphine, Antoinette LEVACHER, Cultivatrice , née le 2 juillet 1866 (lundi) - (La Barbaud) - LE MAS-D'ARTIGE, 23125, Creuse, Limousin, FRANCE, décédée le 20 décembre 1944 (mercredi) - (La Barbaud) - LE MAS-D'ARTIGE, 23125, Creuse, Limousin, FRANCE à l'âge de 78 ans,
    Cultivatrice à la Barbaud (Mas-d'Artige)

 Union(s) et enfant(s)

  • Marié le 27 juin 1914 (samedi), SORNAC, 19261, Corrèze, Limousin, FRANCE, avec Noémie Célestine BOUDINOT, née le 22 mai 1893 (lundi) - SORNAC, 19261, Corrèze, Limousin, FRANCE, décédée le 9 juillet 1979 (lundi) - LIGNAREIX, 19114, Corrèze, Limousin, France à l'âge de 86 ans,
    Agricultrice
    (Parents :H Pierre Léonard BOUDINOT, Scieur de long 1860- & F Jeanne BESSE 1864-)dont

 Fratrie

(afficher)

 Événements


 Notes

Notes individuelles

Origine : LIMOUSIN, Creuse
Période : XIX ème siècle (1815-1914), XXème siècle (1914-1990)

JOSEPH LALIRON (1885-1916)D'après sa fiche militaire ,
En 1909 il est domicilié 206 bis, quai de Jemmapes, PARIS 18ème.
En 1910, il est domicilié 2 rue de la Gare, à LEVALLOIS-PERRET,
En 1911, il est domicilié 10 place Collange à LEVALLOIS-PERRET.
Incorporé dans les sapeurs pompiers de 2ème classe le 8 Octobre 1906. Envoyé dans la disponibilité le 25 Septembre 1908. Certificat de bonne conduite accordé.Passé dans la réserve de l'armée active le 1er Octobre 1908
Rappelé à l'activité par décrét de mobilisation du 1er Aout 1914. Dirigé sur le Régiment d'Infanterie de Montluçon le 3 Aout 1904
MORT POUR LA FRANCE : décédé le 6 Juin 1916, à Damloup dans la Meuse

Le village de La BARBAUD, se trouve au Sud du Mas-d'Artige, dans une enclave de la Corrèze... à 5km de la Mairie du Mas-d'Artige.

LE MAS D’ARTIGE,
Est un petit village français, situé dans le département de la Creuse en région Limousin.
Le village du Mas-d’Artige appartient à l’arrondissement d’Aubusson et au Canton d’Auzances depuis 2016, auparavant Canton de la Courtine...
L’altitude moyenne du Mas-d’Artige est de 780 mètres (686 au minimum, 921 au maximum).
Le Mas-d'Artige est situé dans le Massif Central, et dans le Parc Naturel Régional de Millevaches en Limousin.
C'est également sur le territoire du Mas-d'Artige que se situe la source de la Creuse (terrain ayant appartenu à mes ancetres).
Les paysages sont constitués de vallonnements couverts de bruyères, de genets aux fleurs jaunes, de fougères, mais aussi de bois avec des chênes, des hêtres, des frênes, des chataigniers, des bouleaux, des conifères. On y trouve aussi des tilleuls, des noisetiers, des pommiers et autres arbres fruitiers. Il y a encore quelques vaches, mais plus de moutons comme à une certaine époque. On peut y trouver des girolles et des cepes, et pecher la truite
Dans la deuxième moitié du 19 ème siècle et au début du 20 ème siècle un grand nombre d'hommes sont partis pour être cocher à Paris, puis chauffeur de taxi
Les villes et villages proches du Mas-d’Artige sont : La Courtine (6 km), Clairavaux (6 km), Saint-Setiers (6,4 km), Féniers ( 5,5 km), Sornac (7 km), Aubusson (30 km), Ussel en Corrèze (27km).
La population du Mas-d’Artige est actuellement de 100 habitants. Elle était de 373 habitants en 1793, 503 habitants en 1836, 406 habitants en 1906, 180 en 1962.
L'église du Mas d'Artige : "Eglise Saint Pierre Saint Paul" est datée de 1893. Elle a remplacé une ancienne église qui dépendait de la commanderie de Féniers et qui avait un clocher mur
L'église de Villefert : Eglise Saint-Robert, Saint-Laurent. En ruines... érigée au 12ème ou 13ème siècle. Eglise d'une ancienne commune supprimée le 6 Juillet 1831 et réunie au Mas-d'Artige. Dépendant du prieuré de Pigerolles, jadis Saint Robert en était le patron
Hameaux et lieux-dits du Mas-d’Artige :
Artiges, La Barbaud, Crépiat, Le Gaudeix, Marcelleix, Le Massoubre, Le Pomet, La Vialle, Villefert.
Histoire :
Jusqu'à la Révolution française, la paroisse et l'église Saint-Pierre du Mas-d'Artige ont fait partie des possessions de la Commanderie de Féniers.
Les hospitaliers percevaient également la dîme et des redevances en nature et en espèces sur les villages alentour, entre autres à Artige, Crépiat, Le Gaudeix, le Marcelleix, le Massoubre, Massoubras, Le Pomet, et Villefert. (Villefert rattaché au Mas-d'Artige en 1831)

La COMMUNE du MAS d’ARTIGES (Rapport du directeur des contributions directes, en 1809). Archives (en ligne) Départementales de la Creuse : « Patrimoine et Territoire » :
La commune du MAS d’ARTIGE, faisant partie de l’arrondissement d’Aubusson, est distante de cette ville, au Sud est, d’environ 25 milles, ainsi que de la route de Lyon à Bordeaux et de celle de Felletin lieu du marché le plus voisin.
Située dans la partie la plus montagneuse du département, elle est bornée au Nord par la commune de CLAIRAVAUX, au levant par celle du TRUCQ, et de la COURTINE, au midi par celle de SORNAC et VILLEFERT.
Quelques sources et deux petits ruisseaux, qui prennent naissance dans la commune, servent à l’irrigation de son territoire, et à faire tourner 6 petits moulins à l’usage de chacun des propriétaires, au moyen des écluses qui retiennent les eaux lorsqu’elles sont abondantes, ce qui ne s’obtient que dans les temps pluvieux.
La superficie de son territoire est d’environ 1072 arpents métriques, dont 708 ne présentent que des landes ou bruyères, le reste est employé à la culture du seigle, du sarrasin, de l’avoine, raves et pommes de terre, les près et les pâturages occupent une assez grande étendue, ainsi que des bois futaie, essence de hêtres et bouleaux mal peuplés.
Sa population est d’environ 260 individus de tout sexe et tout âge, disséminés dans le Bourg et cinq villages qui composent la commune.
Ses habitants sont robustes et laborieux ; après avoir donné les soins nécessaires à la culture de leur terre, ils vont dans les départements voisins exercer la profession de scieur de long.
On compte environ 170 bêtes à cornes, 75 velles (nom limousin de la génisse) ou veaux au dessous de 2 ans pour élever, 4 juments poulinières pour propager les mulets et environ 1000 bêtes à laine.
On se sert de l’araire (nom masculin : charrue simple sans avant-train) attelé de deux bœufs ou de deux vaches, qui tracent des sillons très rapprochés et superficiels.
La nature du sol a déterminé l’expert à former 3 classes. Les engrais sont considérables, à raison de ce que l’hiver étant très long dans cette partie, les bestiaux se tiennent plus longtemps à l’étable, ils fournissent ainsi plus d’engrais à raison des fougères, des pailles et des bruyères qu’on emploie pour la litière, en général.

Selon le Dictionnaire Topographique, archéologique et historique de la Creuse, d'André LECLERC (1902) :
LE MAS-D'ARTIGE est le chef-lieu d'une commune dans le Canton de La Courtine, arrondissement d'Aubusson, qui a 1621 hectares de superficie et 347 habitants. Sa plus faible altitude est de 779 mètres au niveau du dessus de la mer, mais dans la partie ouest, près des sources de la Creuse, elle atteint 920 mètres.
Je ne connais pas de variante de ce nom, qui, en 1678, s'écrivait comme de nos jours : Paroisse du Mas-d'Artige, (Reg. de Pigerolles)
Cette paroisse, située dans l'ancien archiprêtré de Chirouze, était soumise à Féniers en 1307, elle est qualifiée cure en 1555 ; son patron était Saint Pierre apôtre. Au siècle dernier elle avait 390 communiants, supposant 520 habitants. C'était un membre de la commanderie de Féniers. Le vicaire chargé de la desserte de cette église recevait, à titre de gages, quatres setiers de seigle. Il ne prenait rien sur les dimes,qui appartenaient entièrement au commandeur de Féniers. Celui-ci jouissait de la justice moyenne et basse, la haute appartenait au roi. C'était aussi le commandeur de Féniers qui nommait les titulaires du Mas d'Artiges, ce qu'il fit en 1557, 1742, 1755
N.... La PORTE curé du Mas-d'Artige mourut en Septembre 1755.N.... BLAZIOT fut son successeur jusqu'en 1784.Gabriel Francois GOUMOT, fut nommé en 1784 .N... LECOUR était curé en 1823 et 1829. François FARDEAU-DON fut nommé en 1841. François LEBLANC en 1847. Benoit LAROCHE en 1889
Notre-Dame-d'Artige, qui était une annexe, était aussi soumise à Féniers en 1309. Sa fête patronale était la Nativité de la Sainte Vierge. Le curé des Mas en prit possession en 1555. Elle était desservie par un vicaire en 1616. C'était alors un simple oratoire de dévotion, entretenu à l'aide des offrandes des nombreux pèlerins qui y venaient de toute la région. Aujourd'hui cette chapelle est détruite
La Varbaud ou La Barbaud, ou Varrabeau ou La Barambaud, qui était aussi soumise à Féniers en 1309, était une annexe du Mas-d'Artige, dont la fete patronale, était la Décollation de Saint-Jean. En 1616, cette chapelle, située à l'extrémité méridionale de la commune, avait des fonds baptismaux et était desservie par un vicaire
Le territoire de la commune du Mas-d'Artige, faisait jadis partie de LA MARCHE, et du Franc-Aleu

Les COCHERS de FIACRE (1875-1925) :
A partir du 19ème siècle, avec le développement de l’industrie, l’horizon de nos ancêtres ne se limite plus à l’espace du village.
Certains petits paysans de Haute-Corrèze de la région de Meymac et d’Ussel vont aussi migrer à Paris. Cette migration couvre à peu près 2 générations, de 1875 à 1925. Tous sont paysans au départ. Ils vivent dans des conditions médiocres qui les obligent à pratiquer des métiers d’appoint. Le premier métier pratiqué est souvent celui de palefrenier, car ils ont l’habitude de soigner les bêtes. Mais d’autres sont devenus cochers dans les grandes compagnies de l’époque : La Générale et l’Urbaine, qui avaient plusieurs milliers de véhicules à elles deux. Les Corréziens et les Savoyards monopolisaient la profession. Le recrutement était basé sur la solidarité familiale, c’est ainsi que des villages entiers se retrouvent à Paris… Pour apprendre le nom des rues et passer l’examen de « remisage », il n’était point besoin d’une grande instruction. Beaucoup ayant débuté salariés d’une compagnie, parvinrent par la suite à se mettre à leur compte.
Dans les années qui précédèrent la grande guerre, les cochers devinrent progressivement des chauffeurs de taxi

Pour devenir cocher de fiacre, il fallait demander l'autorisation de conduire une voiture dans Paris à la Préfecture de Police. Le candidat devait fournir les documents suivants :
- Acte de naissance ou de mariage
- Certificat de moralité et de résidence
- 2 photographies (1 épreuve, et 1 sur carton)
- Extrait de casier judiciaire.
L'examen consistait en un contrôle des connaissances topographiques de la capitale, des règlements de police concernant la voiture, et de la capacité à atteler et dételer un cheval.
Il existait 5 types de cochers :
1. Les cochers des grandes compagnies. Se sont les plus assidus au travail. Leur tenue et matériel sont les préférés des Parisiens
2. Les cochers de loueurs. Il s'agit de travailleurs sédentaires, originaires de Paris
3. Les cochers de coopératives. Ces sociétés indépendantes sont décrites comme déficitaires en 1891 suite à une mauvaise gestion.
4. Les cochers de remise. Pour la plupart, il s'agit de cochers ayant servi en maison bourgeoise.
5. Les cochers "mistouflards". Ce sont les plus malheureux de la corporation. L'age et la vieillesse en font les parias de la société. On les trouve gare de Lyon, d'Oréans et de Saint-Lazare. Leur matériel, ainsi que leur cheval sont en mauvais état, et n'inspirent pas confiance

 Sources

  • Personne: Archives mlitaires de la Creuse.

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

Antoine LALIRON, Cultivateur 1784-1858 Catherine GIRY, Cultivatrice 1789-1817 François LABARRE, Aubergiste à Sornac 1784- Jeanne PIGEROL 1776- sosa Sylvain LEVACHER, Scieur de long. Propriétaire cultivateur 1809-1883 sosa Marie Madeleine BARBIER, Propriétaire Cultivatrice 1814-1883 Jean LOCHE 1795- Antoinette VENNAT 1810-1876
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Leonard LALIRON, Ferronnier.Propriétaire Cultivateur 1810-1871 Marie-Anne LABARRE 1819-1885 Paul Marcelin LEVACHER, Scieur de long. Propriétaire cultivateur 1841-1904 Marie LOCHE, Cultivatrice 1840-1887
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Pierre-Alexandre LALIRON, Cocher. Scieur de long. Exploitant agricole 1856-1928 Joséphine, Antoinette LEVACHER, Cultivatrice 1866-1944
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Joseph LALIRON, Cocher 1885-1916