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A partir de quelquesancêtres nobles vers 1650, et ce, sur plusieurs branches de lafamille, je remonte jusqu'à CHARLEMAGNE et CLOVIS avec un nombreincroyable d'aieux nobles (chevaliers, comtes, vicomtes, ducs, roiset reines de France et de Navarre...)

J'ai commencé mes recherches généalogiques il y a plus de 30 ans! (dans les mairies et les Archives départementales). Mesrecherches sont centrées sur la LORRAINE et leLUXEMBOURG,le LIMOUSIN,la BOURGOGNEet le LOIRET. Et du coté de mon mari sur lesUSA,CANADA,ANGLETERRE, ECOSSE, ainsi que laCREUSE, l'AUVERGNE, RégionLyonnaise.
Depuis peu, je rechercheaussi les ancêtres de mes petits-enfants sur le NORD de la France et laBELGIQUE.

Mais ce quim'intéresse le plus ce sont les CONTEMPORAINS, et essayer dereconstituer la vie de mes ancêtres sur les 18ème, 19ème et 20èmesiècle


Cocher

  • Né le 8 juin 1849 (vendredi) - (Malpouge) - SORNAC, 19261, Corrèze, Limousin, FRANCE
  • Décédé
  • COCHER,

 Parents

 Union(s), enfant(s) et petits-enfants

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 Événements


 Notes

Notes individuelles

Origine : LIMOUSIN, Creuse
Période : XIX ème siècle (1815-1914), XX ème siècle (1914-1990)

Les COCHERS de FIACRE (1875-1925) :
A partir du 19ème siècle, avec le développement de l’industrie, l’horizon de nos ancêtres ne se limite plus à l’espace du village.
Certains petits paysans de Haute-Corrèze de la région de Meymac et d’Ussel vont aussi migrer à Paris. Cette migration couvre à peu près 2 générations, de 1875 à 1925. Tous sont paysans au départ. Ils vivent dans des conditions médiocres qui les obligent à pratiquer des métiers d’appoint. Le premier métier pratiqué est souvent celui de palefrenier, car ils ont l’habitude de soigner les bêtes. Mais d’autres sont devenus cochers dans les grandes compagnies de l’époque : La Générale et l’Urbaine, qui avaient plusieurs milliers de véhicules à elles deux. Les Corréziens et les Savoyards monopolisaient la profession. Le recrutement était basé sur la solidarité familiale, c’est ainsi que des villages entiers se retrouvent à Paris… Pour apprendre le nom des rues et passer l’examen de « remisage », il n’était point besoin d’une grande instruction. Beaucoup ayant débuté salariés d’une compagnie, parvinrent par la suite à se mettre à leur compte.
Dans les années qui précédèrent la grande guerre, les cochers devinrent progressivement des chauffeurs de taxi

Pour devenir cocher de fiacre, il fallait demander l'autorisation de conduire une voiture dans Paris à la Préfecture de Police. Le candidat devait fournir les documents suivants :
- Acte de naissance ou de mariage
- Certificat de moralité et de résidence
- 2 photographies (1 épreuve, et 1 sur carton)
- Extrait de casier judiciaire.
L'examen consistait en un contrôle des connaissances topographiques de la capitale, des règlements de police concernant la voiture, et de la capacité à atteler et dételer un cheval.
Il existait 5 types de cochers :
1. Les cochers des grandes compagnies. Se sont les plus assidus au travail. Leur tenue et matériel sont les préférés des Parisiens
2. Les cochers de loueurs. Il s'agit de travailleurs sédentaires, originaires de Paris
3. Les cochers de coopératives. Ces sociétés indépendantes sont décrites comme déficitaires en 1891 suite à une mauvaise gestion.
4. Les cochers de remise. Pour la plupart, il s'agit de cochers ayant servi en maison bourgeoise.
5. Les cochers "mistouflards". Ce sont les plus malheureux de la corporation. L'age et la vieillesse en font les parias de la société. On les trouve gare de Lyon, d'Oréans et de Saint-Lazare. Leur matériel, ainsi que leur cheval sont en mauvais état, et n'inspirent pas confiance

CLAIRAVAUX est un petit village du centre de la France, au Sud de la Creuse, arrosée par la rivière du même nom, à mi-chemin entre Felletin (au nord) et La Courtine (au sud).
Elle fait partie de la Communauté de communes « des Sources de la Creuse »
Elle est incluse dans le Parc naturel régional de Millevaches en Limousin.
Le village de Clairavaux appartient à l’arrondissement d’Aubusson et au Canton de La Courtine.
L’altitude minimale est de 595 mètres, l’altitude maximale est de 876 mètres
Communes proches de Clairavaux :
Croze (4,20 km), Gioux (4,5 km), Féniers (4,7 km), Poussanges (6 km), Mas-d’artiges (6,5km)
La grande ville la plus proche de Clairavaux est Montluçon qui se trouve à 80 km environ.
La population de Clairavaux est actuellement de 154 habitants. Elle était de 777 habitants en 1793, 870 habitants en 1851, 780 habitants en 1901, 298 habitants en 1962.
CLAIRAVAUX villages, hameaux et lieux-dits :
Abat. Barbateix, Bauvy, Les Bessardes. Bois des Combes. Bois de Coussales. Bois de la Drouille. Bois de l’étang. Bois des Filles. Bois de Lichoses. Bois de la Morture. Bois du Suc. Bois des Ternes. Bois des Trembles. Bois des Vergnes. Boucheresse. Brande Sabrat. Branges. Les Brulés. Le Chatenier. Chavanat, Les Combes de l’Arbre. Etang du Barbadeix. Foret de Clairavaux. La Gare. Les Gasnes. Le Grand Puy. Laveix. Linard. Louzelergue. Les Madeix Lavèrie. Les Martagoules. Les Mazeaux. Mendrin. Mortefond. Le Moulin de Louzelergue. Moulin de Pralard. Le Moulin Rouge. Paudrat. Les Plaines. Les Pradeaux. Puy de Béole. Puy des Bourdayas. Puy du Bournadeix. Puy du Mas. Puy de la Pointe Rouge. Puy de la Roche. Puy des Vergnes. Raynaud. La Révolte. Les Rieux. Les Sagnes. La Sauzière. Le Soulier. Tralaigue. La Trimouille. Les Trois Ponts
HISTOIRE :
Clairavaux fut dans le passé une ville. Il est probable qu’elle a été détruite lors de l’invasion des Anglais, vers le milieu du 15ème siècle ; ce fut par la Haute-Marche qu’ils pénétrèrent en Auvergne et dans le Velay, d’où Bertrand Duguesclin alla les chasser.
L’église de CLAIRAVAUX est dédiée à l’Assomption de la Vierge et à Saint-Roch. Elle relevait de l’abbaye de Saint-Martial et appartient au diocèse de Limoges. La nef prolongée par le chœur est construite au XIIème siècle, puis au XVème siècle une chapelle est ajoutée sur la façade sud de l’édifice. Au XVIème siècle, la façade occidentale de l’église est modifiée et achève ainsi sa construction. Par sa morphologie et les matériaux mis en œuvre, elle est caractéristique des églises rurales de la Montagne limousine. Dans ce secteur, à partir du XIIIème siècle, on note la présence des moines-chevaliers de l’ordre de Malte. En attestent dans le sol de l’église plusieurs dalles funéraires gravées de croix maltaises ainsi que la croix monumentale classée monument historique, à proximité du bourg.

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

   
 
 
 
Père inconnu Père Inconnu Gabrielle LEGROS
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Pierre LEGROS, Cocher 1849-