Joseph BARBIER

Décédé après 1705

Parents

Notes

Notes individuelles

Murs et portes de Boudry
Parmi les méfaits reprochés à Marguerite deVufllens, en 1378, figurait l'enfoncement et la démolition des portesdu bourg, et la destruction d'un hourd sur l'une d'elles. En 1550, laville autorisa un bourgeois à exhausser l'enceinte devant sa maison qui semblait ne pas la toucher.
En 1705 encore, Joseph Barbier refitune bâtie derrière la maison de ville, ±et la muraille le long du rusproche la porte neuve».
Au moment de l'installation d'une garde de jour, en 1708, la bourgeoisie précisa que les portes, fermées à 20 heures, se rouvriraient le matin à quatre heures; deux hommes les tiendraient closes pendant les cultes du dimanche; en 1818, pareille mesure nes'appliquait plus que le jour du jeûne. Dès 1830, l'ingénieur des routes demanda la destruction des portes qui entravaient la circulation sur cette artère principale du pays; or, la bourgeoisie tenait à ces monuments, dont l'aspect ne lui paraissait pas
plus ±désagréable qu'uneouverture ou trouée au bas et au haut de la ville, entre des maisons vieilles et caduques». Vu les dangers courus par les voyageurs assis sur l'impériale des diligences, vu l'étroitesse de ces goulets (10 pieds

=3 m), et grâce à la menace de détourner le trafic, le Conseil d'Etatobtint la démolition de deux portes et des maisons voisines, pour élargir le passage, en 1834. L'épaisseur de certains murs extérieurs desmaisons, au midi, est le seul souvenir de l'enceinte primitive. Des passages au travers des parois mitoyennes facilitaient l'intervention des défenseurs.

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Joseph BARBIER †1705/

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