Connétable de FRANCE

  • Né en 1199
  • Décédé en 1276,à l'âge de 77 ans

 Parents

 
 

 Union(s)

 Fratrie

 Demi-frères et demi-sœurs

Du côté de Alice de BOELARE, née vers 1180, décédée

 Grands parents paternels, oncles et tantes

 Grands parents maternels, oncles et tantes

 Notes

Notes individuelles

Gilles de Trazegnies dit le Brun
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Article principal : Maison de Trazegnies d'Ittre.
Ne doit pas être confondu avec Gilles II de Trazegnies.

Armes de Gilles de Trazegnies dit le Brun [note 1].

Saint Louis et la Septième croisade

Le siège de Tunis et la mort du roi Louis IX - Huitième croisade
Gilles le Brun[note 2] de Trazegnies (1199 - Ü 1276) conseiller et connétable[note 3] du roi Saint Louis vers 1250. Il participa à la septième et huitième croisade.
Sommaire [masquer] ? 1 Le plus glorieux des Trazegnies ? 2 Généalogie ? 3 Bibliographie ? 4 Voir aussi ? 4.1 Articles connexes ? 4.2 Liens externes ? 5 Notes et références ? 5.1 Notes ? 5.2 Références
Le plus glorieux des Trazegnies [modifier]
Voir la catégorie : Connétable de France.
Cet étonnant personnage est sans doute le plus glorieux des Trazegnies. Ce níest pas en quelques lignes que l'on puisse bien retracer sa carrière, mais en voici líessentiel : avant 1226, il épousa Ida de Sotrud, dame de Bailleul sur líEscaut. Il prit de plus en plus díinfluence à la Cour de Flandres, où Marguerite de Constantinople lui montra toujours sa confiance et líinvita à toutes les grandes cérémonies.
En 1248, Saint Louis partit à la croisade. Gilles líaccompagna avec líarmée du comte de flandres. Après la prise de Damiette et la terrible défaite de Mansourah, Saint Louis fut désemparé par la mort du connétable, Imbert de Beaujeu. Cíest à ce moment, en 1250, quíil nomma Gilles le Brun de Trazegnies, connétable de France.
Cette extraordinaire ascension était due à son astuce et à sa piété. Le connétable était le premier personnage du royaume après le roi ! Gilles devint ainsi líhomme de confiance de Saint Louis. Son beau-frère, Joinvilleéééé[réf. nécessaire] en parle abondamment.
Après la croisade, il rentra en France, y épousa une soeur de Joinville et reçut de nombreuses terres de Saint Louis. En 1268, Marguerite de Constantinople le nomma gouverneur du jeune prince, Robert de Béthune, héritier de la couronne comtale. Gilles partagea son temps entre la Flandre, le Hainaut et la France. En 1255, il fut témoin au mariage du fils héritier de Saint Louis. En 1259, il porta plainte contre Enguerrand de Coucy qui avait fait pendre trois jeunes Flamands, coupables de síêtre égarés sur ses terres en chassant le lapin[1]. Cíest une histoire bien connue que líon raconte toujours lorsquíon veut donner un exemple de la justice de Saint Louis.
Ce que líon sait moins, cíest que les trois gentilshommes flamands étaient trois Trazegnies de la branche de Wedergraet[note 4], et que cíest Gilles le Brun qui demanda justice. Enguerrand IV de Coucy, malgré líénorme influence de sa puissante maison, fut condamné de la manière la plus stricte. Saint Louis avait pensé le faire pendre aussi.
En 1265, Charles díAnjou, frère de Saint Louis, descendit en Italie avec une grand armée, pour conquérir le trône de Naples quíil revendiquait. Robert de Béthune, qui avait épousé Blanche díAnjou, sa fille, commandait líarmée. En fait, cíétait monseigneur le connétable, son précepteur, qui supervisait tout. Sans entrer dans les détails de cette guerre, disons que Gilles le Brun síy montra admirable, que cíest à lui que líon doit cette victoire à Bénévent. Certains disent même, que cíest lui qui tua le Bâtard Manfred, le compétiteur au trône, le fils de Frédéric II.
Gilles revint ensuite en Hainaut. Son grand âge líempêcha díaccompagner, en 1270, Saint Louis à Tunis. Il mourut en 1276. Il avait épousé en secondes noces, comme déjà dit, Simonnette de Joinville, soeur du célèbre Jean et fille de Simon, sire de Joinville et Vaucouleurs, et de Béatrice de Bourgogne-Comté. Selon certains actes, il se serait marié trois fois. Tout prête à penser que c'est la vie étonnante de Gilles le Brun qui fut à la base de la célèbre légende de Gillion de Trazegnies, le chevalier bigame.
Généalogie [modifier]
Il est le fils de :
? Gilles II de Trazegnies de Silly[note 5] (v.1174 - Ü 1204) qui épouse Aleide de Boulaere[note 6], mère de Michel de Harnes, le Bayard de Blanche de Castille[note 7] avant 1197. Il est cité dans des actes en 1195 et accompagne le comte de Hainaut lors de la quatrième croisade Ü en 1202. Dès 1199, on rencontre déjà son sceau. Le fait pour les Trazegnies de posséder un sceau du type héraldique appartenant encore au XIIesiècle doit être signalé comme rarissime[2].
Il est le petit-fils de :
? Othon II de Trazegnies (v.1150 - Ü 1192). C'est en son honneur que fut donné, en août 1170, un tournoi à Trazegnies; c'est lui également qui rapporta un morceau de la Vraie Croix des Croisades en 1187. Il fut tué devant Saint-Jean-d'Acre à son second voyage en Terre sainte en 1192. Il fut un des chevaliers les plus accomplis de son temps.
Il est le frère de :
? Othon III de Trazegnies (v. 1198 - Ü v.1241)
Bibliographie [modifier]

source utilisée pour la rédaction de cet article
? Olivier, marquis de Trazegnies, Les Trazegnies, 1970
? Cl-R Paternostre de la Mairieu, TABLETTES DU HAINAUT Tome I, VII. - Les TRAZEGNIES p.111-112, 1955
? Roger Brunet, Généalogie et histoire de la famille de Trazegnies, Préfacée par le marquis de Trazegnies, 1996
Voir aussi [modifier]
[Dérouler]
La légende de Gillion de Trazegnies
On ne peut parler des Trazegnies sans mentionner la légende de Gillion de Trazegnies, le chevalier bigame, et de ses deux femmes[3]. Très populaire dans le Hainaut et bien connue de tous les amateurs de littérature médiévale[4], cette histoire se forma au XIVesiècle, où elle fut mise en vers par un anonyme sur le modèle des lais de Marie de France. En 1458, le Grand Bâtard de Bourgogne, fils de Philippe le Bon, Antoine, comte de Laroche, etc., très soucieux de mettre en exergue les gloires de sa maison[5], commanda au sire de Willerval (en fait cíétait là le nom díemprunt díun anonyme, peut-être bien le grand Georges Chastellain) de recomposer la légende et díen faire un roman. Il demanda au célèbre miniaturiste David Aubert[6] díillustrer ce dernier.
En voici líhistoire très résumée :
Gillion, sire de Trazegnies cadet de Bourgogne, avait épousé Marie díOstrevant, nièce du comte de Hainaut. Malheureusement, ce mariage était resté stérile. Un beau jour, Gillion surprit Marie, son épouse, qui se lamentait à son balcon, navrée de voir dans líeau des fossés síébattre une carpe et ses carpillons. Gillion, ému, fit le voeu de partir en pèlerinage à Jérusalem si Dieu lui donnait postérité. On ne sait si ce fut la bonté divine ou líexemple de la carpe mais, quelques jours plus tard, Marie était enceinte. Gillion níavait quíune parole. Il partit. Le texte raconte longuement son voyage et son pèlerinage. Au retour, le bateau fut attaqué par les pirates du Soudan de Babylone[7] (líémir du Caire) Gillion fit grand carnage autour de lui mais sa bravoure ne líempêcha pas díêtre capturé et traîné jusque Babylone.
On le jeta dans un cul de basse fosse et le soudan, irrité, s'apprêtait à la faire percer de flèches en grande cérémonie, lorsque sa fille Gratianne, Pocahontas avant la lettre, voyant le
´ crestien nud et que on le lioit a lestache, dapart elle veoit les archiers prests pour tirer, moult piteusement prist a regarder Gillion, car advis lui estoit que oncques plus bel homme ne mieulx forme elle níavait veu et comme il pleut a dieu que ainsi linspira elle vey sa belle face coulourée, les beaux yeulx quil avoit ou chief pour regarder, la bouche vermeilles pour baiser, en son cuer le print a amer et desir de croire en Jhesu Christ afin que de lui peust estre amee a
Belle conversion, mais les voies de Dieu ne sont-elles pas impénétrables ! Elle demanda en pleurant la grâce de Gillion à son père qui la lui accorda. Mis en geôle et gardé par un certain Hertan que Gillion síempressa de convertir, il reçut périodiquement la visite de Gratianne qui en sortit chrétienne.
A quelques temps de là, Babylone fut attaquée par une théorie de féroces rois ennemis. Le soudan, vaincu, fut capturé. Gratianne au désespoir vint trouver Gillion et le revêtit de líarmure de son père. Gillion avec quelques fidèles assaillit le camp des confédérés, trancha la tête de tous les méchants rois et sauva le Soudan qui vit en lui un représentant díAllah. Gillion revint stoïquement dans sa prison, mais, peu après, Gratianne avoua tout et le Soudan, ému jusquíaux larmes, nomma Gillion son Premier ministre.
Entre-temps, en Hainaut, Marie díOstrevant avait donné le jour à deux jumeaux, Jean & Gérard. De nombreuses années passèrent. Jean & Gérard étaient maintenant des chevaliers accomplis qui remportaient les prix de tous les tournois. Malgré la paternelle insistance du comte de Hainaut son oncle, Marie exclut toujours de se remarier, refusant de croire à la mort de son mari. Les beaux partis, attirés par sa beauté et sa noblesse, ne faisaient pourtant pas défaut. Un chevalier français exilé, nommé Amaury des Maires et que Marie avait éconduit, décida de se venger. Il partit en Orient et, par recoupements, parvint à savoir où était Gillion de Trazegnies. Il se rendit à Babylone, se présenta à Gillion et lui annonça que sa femme était morte. Ce félon ne tarda pas à mourir ignominieusement peu après. Gillion, plein de chagrin, se crut libre et put épouser Gratianne selon le rite chrétien. Le Soudan le nomma son héritier au trône.
Cependant, en Hainaut , voyant leur mère inconsolable, Jean et Gérard décidèrent de partir à la recherche de leur père. Ils firent un voyage plein díaventures à líoccasion duquel Gérard eut une idylle avec la princesse Nathalie, fille du roi Mombrant díEsclavonie. Avec líarmée chypriote, ils allèrent guerroyer contre les Maures. Après bien des péripéties, ils furent capturés par les troupes du Soudan de Babylone. Gillion inspectait les prisonniers lorsquíil aperçut deux jeunes gens dont líarmure était ornée de ses armes. Il les questionna, découvrit leur identité, se fit reconnaître et apprit que sa femme était toujours vivante. Très ému, il obtint de son beau-père de pouvoir rentrer en Hainaut . Gratianne et Hertan partirent avec luiainsi quíune escorte chargée de joyaux. Ils traversèrent líItalie, où le pape les reçut et où Hertan mourut, puis la France et le Hainaut . Marie, prévenue, manqua de se trouver mal. Mue par une admirable abnégation, elle décida díentrer au couvent pour laisser la place à Gratianne. Sur quoi Gratianne, douce et soumise, entra avec elle à líabbaye de líOlive. Gillion se retrouva donc bigame, mais tout seul. Un peu plus tard, appelé au secours par son beau-père, il repartit en Egypte avec líélite de la chevalerie hennuyère et périt devant les murs de Babylone. Son fils Jean fit ramener son coeur à líabbaye de líOlive, où il fut enterré entre ses deux épouses.
Le personnage qui inspira cette légende est très vraisemblablement Gilles le Brun[8], connétable de France, qui eut deux épouses, se croisa, fut le bras droit de Saint Louis etc On retrouve aussi des éléments de la vie de Saint Louis, de celle de Gilles Ier et díautres personnages également.
Le Grand Bâtard de Bourgogne eut des émules, et Philippe de Clèves, sire de Ravenstein, son cousin, fut en possession díun manuscrit qui aboutit à líuniversité díIéna. Líhistoire fut populaire en Allemagne puisquíelle donna naissance à la légende, beaucoup plus célèbre, mais copiée sur celle de Gillion, des deux femmes du comte de Gleichen.
Un autre écrivain, que cette légende inspira, fut Maurice Barrès, dans son histoire des deux femmes du bourgeois de Bruges. Le prénom de Gillion, qui est en fait une mauvaise traduction de Gilonem, accusatif du prénom latin Gilo (Gilles) est depuisun nom de famille traditionnel que les Trazegnies portent tous, au moins dans leurs prénoms secondaires.
Articles connexes [modifier]

Jean de Joinville beau-frère de Gilles le Brun et chroniqueur de Saint Louis.


? Septième croisade
? Huitième croisade
? Connétable
? Connétable de France
? Salles des Croisades[note 8]
? Gilles Ier de Trazegnies (Ü 1161) et son frère Anselme
? Othon II de Trazegnies (Ü 1192)
? Gilles II de Trazegnies (Ü 1204)
? Othon III de Trazegnies ( Ü 1241)
? Arnould de Hamal (Ü 1456)
? Anselme Ier de Trazegnies (Ü 1418)
? Anselme II de Trazegnies (Ü 1490)
? Jean II de Trazegnies (Ü 1513)
? Jean III de Trazegnies (Ü 1550)
? Charles Ier de Trazegnies (Ü 1578)
? Charles II de Trazegnies (Ü 1635)
? Gillion-Othon Ier de Trazegnies (Ü 1669)
? Octave-Joseph de Trazegnies (Ü 1698)
? Philippe-Ignace de Trazegnies (Ü 1739)
? Eugène-Gillion de Trazegnies (Ü 1803)
? Maison de Trazegnies d'Ittre
? Château de Trazegnies
? Silly (Belgique)
? Trazegnies
? Enguerrand IV de Coucy
? Gilles de Rais[note 9]
Liens externes [modifier]
? Les salles des Croisades (vidéo présentant les cinq salles du musée du château de Versailles)
? Le château de Trazegnies
? Trazegnies, souvenirs díune puissante féodalité
? Nobiliaire des Pays-Bas, et du comté de Bourgogne
? earlyBlazon.com[note 10]
? Les treize enfants...
? Connétables de France
? Au blason des armoiries : Connétable de France
? Charges royales
Notes et références [modifier]
Notes [modifier]
1. ? bandé d'azur et d'or à la bordure engrêlée de gueules, au franc-quartier d'hermine. L'écu des armes du connétable avait pour ornements extérieurs, de chaque côte, une épée nue, la pointe en haut, tenue par un dextrochère ou main droite, armée d'un gantelet et sortant d'une nuée
1. ? "Le Brun" níétait pas un patronyme, mais un surnom personnel (lié à la couleur de ses cheveux). Une de ses filles fut díailleurs surnommé "Marie la Brune". Elle épousa Thomas de Mortagne, seigneur de Pottelles, second fils díArnould, prince deTournai, et de Yolande de Coucy-Vervins.
1. ? Au Moyen Âge, cíest le grand officier de la couronne qui est le chef des armées. Gilles le Brun est le seul connétable dans l'histoire de France qui n'était pas français!
1. ? Que les trois enfants ou un seul des trois fussent des Trazegnies, il semble bien qu'il s'agît du lignage d'Otton II de Trazegnies-Wedergraet, cousin germain du connétable. Cette branche flamande de la famille était implantée autour de Ninove où elle possédait de nombreuses forteresses. Les trois adolescents étaient venus en France pour apprendre ce qui devenait le parler de tout aristocrate policé, mais ils avaient été incapables d'expliquer leur situation au terrible Enguerrand IV de Coucy (Olivier, marquis de Trazegnies, Les Trazegnies)
1. ? La pairie de Silly est entrée très tôt dans la Maison des Trazegnies, probablement par alliance.Les premières chartes datent de 1095 avec Fastré ou Fastrede, Siger et Wautier ou Walter de Silli ou Siligio qui scellent la donation d'Hellebecq àl'abbaye d'Ename et qui partagent ainsi la pairie de Silly. Le dernier baron et pair de Silly est le marquis Ferdinand-Octave de Trazegnies en 1740. Silly passe ensuite dans la famille de Ligne (Maison de Ligne).
1. ? Alix de Boulers
1. ? Ce qui explique l'influence de Gilles le Brun auprès du fils de celle-ci : le roi Saint Louis.
1. ? Les salles des Croisades du château de Versailles créées par Louis-Philippe en 1843 comportent les armoiries et noms des principaux chefs croisés. Voir : les croisés de la cinquième salle : Gilles, dit Gillion, seigneur de Trazegnies
1. ? Gilles de Rais fut baptisé de la sorte en souvenir de son lointain oncle, Gilles le Brun de Trazegnies (Olivier, marquis de Trazegnies, Les Trazegnies)
1. ? Les vassaux des comtes de Hainaut
Références [modifier]
1. ? Henri Martin, Histoire de France, depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789 [archive], 1860, p. 303
1. ? Source: Cl-R Paternostre de la Mairieu, TABLETTES DU HAINAUT Tome I, Les TRAZEGNIES p.111-112, 1955
1. ? Olivier, marquis de Trazegnies, Les Trazegnies
1. ? même díauteurs français, puisque Henri Bordeaux, dans son histoire de Saint-Louis, raconte cette légende sans se douter que le connétable Gilles le Brun de Trazegnies, quíil cite abondamment par ailleurs, est probablement celui qui inspira la légende
1. ? níoublions pas quíà líépoque les Trazegnies étaient considérés comme des cadets de Bourgogne
1. ? Calligraphe attitré des ducs de Bourgogne (1456-1479) fixé à Bruges, puis attaché à la Cour de Philippe le Bon en tant que copiste, remanieur-manuscrit, auteur de mise en prose, éditeur de textes. Originaire de Hesdin en Artois. Le manuscrit, merveilleux ouvrage enluminé du XVesiècle, devint plus tard la propriété des Trazegnies (probablement par le biais de la fille díAntoine de Bourgogne qui épousa le sire de Culembourg ; Son arrière-petite-fille, Marie de Pallant-Culembourg épousa Charles, baron de Trazegnies). Il resta dans notre famille jusquíà la mort díAlexandre de Trazegnies, en 1862, qui le légua à sa nièce Nathalie de Ligne, duchesse de CroËy-Dülmen. Un autre manuscrit, commandé par Louis de Bruges-Gruuthuse (fils de Marguerite de Trazegnies, princesse de Steenhuyse) appartient actuellement au duc de Devonshire.
1. ? Ville de l'Egypte près du Nil ; le grand Caire s'est formé de ses ruines.
1. ? Gillion était le 16e connétable de France.
Précédé par Gilles de Trazegnies dit le Brun Suivi par
Gilles II Seigneur de Trazegnies Gilles III
Humbert V de Beaujeu Connétable de France Humbert de Beaujeu
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 Aperçu de l'arbre

sosa Otton II de TRAZEGNIES ca 1145-1192 portrait
sosa Mathilde de ALLEU ca 1145-ca 1228
 Nicolas de BOELARE ca 1160- Ade du ROEULX ca 1155-
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Gilles II de TRAZEGNIES ca 1174-1204 Alice de BOELARE ca 1180-
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Gilles (Le Brun) de TRAZEGNIES, Connétable de FRANCE 1199-1276