Sosa :1
Ingénieur Arts et Métiers
Nationalite: Française
L'usine Surex se situait au 52 rue de la Folie Méricourt (du nom d'un riche propriétaire qui possèdait sous Henri IV unemaison appelée à l'époque "Folie") et avait été construite par mon Père, pendant la guerre, malgré les propos desAllemnds qui disaient que Paris sera détruit, à la place d'une blanchisserie. Cette activité était due à la présenced'une rivière souterraine accessble par un puits. Dans ce quartier il y avait de nombreuses entreprises de traitement desurfaces (cuivrage, nickelage, chromage) car elles utilisaient l'eau de la rivière.
Note: --- Import Gedcom le Mardi 2 mai 2017 ---
ÉRIE
TYPE Entrée chez Surex, entreprise famliale de fabrication de serrures et cadenas
DATE 1957
PLAC Paris, Paris, Île-de-France,
Ingénieur Arts et Métiers
- Born 28 March 1932 - Paris, Paris, Île-de-France
- Baptized 28 April 1932 - Saint Joseph des Epinettes Paris 17
- Ingénieur
Parents
- René MÉGARD 1898-1969
- Janine, Cécile ROUSSEAUX 1910-1999
Spouses and children
- Married 25 April 1959, Seyssins, Isère, Rhône-Alpes, to Joëlle CARRON 1936-2008 with
Anne-Marie MÉGARD 1961
Laurent MÉGARD 1966
Renaud MÉGARD 1971
Siblings
Françoise MÉGARD 1937-2012
Jean, Claude MÉGARD 1940-1942
Danielle MÉGARD 1943
(displayhide) |
Events
28 March 1932 : | 28 March 1932 :Birth - Paris, Paris, Île-de-France Heure: 08:40 8 rue des Camélias Paris 14 |
28 April 1932 : | 28 April 1932 :Baptism - Saint Joseph des Epinettes Paris 17 |
1938 : | 1938 :Etudes au Lycée Carnot - Paris, Paris, Île-de-France Nous habitons au 6 rue de Lévis Paris 17 à l'angle de la place Prosper Goubeaux qui est le carrefour du Bd desBatignolles, de l'avenue de Villiers et du Bd Malsherbes. Le lycée Carnot est avenue de Villiers après la place Malsherbes. Nous étions à coté du Parc Monceau " Le village de Monceau, ou de Mousseaux, ou bien encore de Mouceaux, comme on l'appelait il y a plus de deux siècles,existait déjà au temps de Charles le Chauve. Ce village comptait moulins, champs, vignes et bois et s'organisait autourd'une grande place commerçante (actuellement place de Lévis). Le 1er janvier 1860, les communes limitrophes, et donc les Mousseaux, furent englobées dans la capitale. C'est alors quecommença la campagne d'urbanisme menée par le baron Haussmann. Sur le terrain vague qui s'allongeait de part etd'autre de l'enceinte des fermiers généraux, les promoteurs allaient lotir et bâtir ce qui allait devenir l'un desquartiers les plus élégants de Paris, comme en témoignent encore aujourd'hui les hôtels particuliers et les immeublesostentatoires qui entourent le parc Monceau. Le parc Monceau L'ancien parc du château de Mousseaux, qui existait déjà en 1300, est un bel exemple du goût du Second Empire pour lesjardins à l'anglaise, sans parterres rectilignes ni effets géométriques. Le terrain dépendait jadis de la seigneurie de Clichy et appartint un temps à Grimod de La Reynière qui le vendit auxOrléans. C'est le duc de Chartres, futur Philippe Égalité, qui le fit planter d'arbres et qui confia à l'auteurdramatique Carmontelle le soin de l'aménager en un jardin superbe qu'on appela alors « la Folie de Chartres ». En hommede théâtre et dessinateur qu'il était, Carmontelle créa ici un « jardin d'illusion », agrémentant le parc d'une pyramideégyptienne, d'un temple grec, de grottes et de cascades artificielles. En 1783, le jardinier paysagiste écossais, Thomas Blaikie, remodela le parc dans le goût anglais. En 1797, le premierparachutiste de l'histoire, André Jacques Garnerin (1770-1823), s'y laissa tomber d'une hauteur de mille pieds. Napoléon offrit le parc à Cambacérès mais, sous la Restauration, il revint aux Orléans puis fut acquis en 1852 parl'État. La moitié du parc, vendue au banquier Peirere, fit l'objet de fructueuses opérations immobilières. En 1861,Alphand transforma ce qui restait du parc en jardin public, en réutilisant les ruines et en réintroduisant de nouvellescomme l'arcade de l'Hôtel de Ville détruite pendant les événements de la Commune. Parmi les éléments remarquables de ce parc, il faut citer : l'élégante rotonde, dite de Chartres, entourée de 16colonnes, qui était un pavillon d'octroi de l'ancienne enceinte des fermiers généraux dessinée par Ledoux ; la barrièrede Chartres (encore appelée rotonde du Parc Monceau) qui constituait un poste d'observation à l'intérieur du parc du ducd'Orléans ; enfin, la Naumachie, vaste bassin ovale entouré en partie d'une colonnade corinthienne qui, selonAlexandre Lenoir, proviendrait de la chapelle que Catherine de Médicis avait fait bâtir au flanc de la basiliqueSaint-Denis pour servir de mausolée aux Bourbons et qui, restée inachevée, fut démolie en 1719. La rivière et ses ponts, les monuments à Gounod par Antoine Mercié (1897), à Chopin par Jacques Froment-Meurice (1906),à Ambroise Thomas par Alexandre Falguière (1902) et à Guy de Maupassant par Raoul Verlet (1897), les tombeaux d'origineinconnue, de même que le souvenir de Marcel Proust qui était un familier de ce jardin, sont indissociables du parcMonceau. © 2004, Hachette Multimédia / Hachette Livre J'y suis rentré en 12 ème de l'époque et jusqu'à la 6 ème incluse. Après avoir fait 1 an de latin on a conseillé à monPère de me mettre en moderne !!! A noter qu'en primaire j'ai eu en 8ème le prix d'excellence donc je ne devais pas être si mauvais que cela ! |
1940 : | 1940 :Exode vers Bordeaux avec les Parents et Françoise en voiture Citroën 11cv - Bordeaux, Gironde, Aquitaine Mon Père ayant été démobilisé dès le début de la guerre comme ayant 3 enfants, nous partons en voiture Citroën 11CV pourBordeaux. Après avoir subit des attaques aériennes des Stukas, avoir dormi dans un pré sous un orage, dormi à Loches dans unegrange et attendu 2 jours l'autorisation de rentrer à Bordeaux chez mes Grands Parents maternels Cécile et MauriceRousseaux au 14 rue Foy à Bordeaux 3ème étage de 5m50 de haut et sans ascenseur près de la place des Quinconces et desentrepôts de la Douane qui sentaient bon la vanille ! |
1941 : | 1941 :Retour à Paris - Paris, Paris, Île-de-France Mon Père nous ramène à Paris . |
27 May 1943 : | 27 May 1943 :Premiere communion - Saint François de Sales, Rue Brémontier Paris 17, Île-de-France 1ère communion Sources: [Registres paroissiaux] |
25 August 1944 : | 25 August 1944 :Libération de Paris - Paris, Paris, Île-de-France Nous sommes au 6 rue de Lévis Paris 17 Les FFI ont investi Paris et en particulier la place "Villiers" De notre balcon nous assistons à des combats entre les chars et les FFI Je vois un officier allemand blessé être tué froidement par un FFI ! J'assiste à l'incendie d'un camion de munitions au début du bd des batignolles. Devant le danger de balles perdues nous nous réfugions dans la cave de l'immeuble situé au fond de la cour. Les FFI tirent depuis notre balcon sur un char. Celui ci prend un recul maxi et tire un obus qui frappe le 4me étagejuste en dessous de chez nous. Le soir nous regagnons notre appartement et Papa nous annonce que dans le pied de la table de la salle à manger il yavait 300 cartouches de chasse !!! La boulangerie située au rez-de-chaussée a été détruite par un obus. |
1945 : | 1945 :Etudes au Collège Chaptal - Paris, Paris, Île-de-France Entrée sur concours en 5ème après avoir quitté le lycée Carnot. Dès la 4ème je prends la filière Arts et Métiers et ce jusqu'à l'entrée aus Arts et Métiers. De cette période je me rappelle le terrible surveillant général De Cottignies et mon professeur de maths Mr Plomion en1ère et Terminale que j'ai eu le plaisir de revoir avec un ami très cher, Jacques Cabaret, chez lui à Auxey-Duresses enCôte d'or où il avait pris sa retraite. Ce fût très émouvant car je pense que c'est lui qui m'a donné le goût des maths. A noter qu'à cette époque il y avait aussi Lionel Jospin !!!!! mais faut-il parler de cela ??? |
1950 : | 1950 :Ecole d' Arts et Métiers à Lille - Lille, Nord, Nord-Pas-de-Calais Entré en septembre 1950 à l'école de Lille comme pensionnaire. C'était très rustique avec des chambrées de 30 lits sanschauffage, des lavabos avec eau froide et une douche chaude par semaine sous une rampe de 12 pommeaux pour 12 personnesà la fois ! Il fallait faire vite. Je me retrouve donc dans la promotion de 70 élèves en 1ère année. A ce jour, 2006, nous nous réunissons chaque annéepour une visite culturelle dans une région de France. Je fais la connaissance de Jacques Destang qui est un de mes fidèles amis. Les études durent 3 ans et la 4ème année se fait à Paris. Je termine ces 4 ans avec le diplôme médaille d'argent et major en maths. Ce qui prouve qu' à Chaptal Mr Plomion avaiteu raison de me faire aimer les maths. |
1954 : | 1954 :Service militaire - Paris, Paris, Île-de-France Versé dans l'aviation. Entré à l'école des EOR à Caen d'où je sors Sergent car mes supérieurs ont estimé que je n'avais pas les capacités decommandement d'un officier. Je pense que j'étais surtout très contestataire sur l'organisation et le fonctionnement del'armée ! Envoyé au Ministère de l'Air à Paris, service du matériel, je suis affecté après quelques mois au bureau moteur quiétait occupé par 1 commandant issu des FFI, un capitaine pour les achats et 2 ingénieurs AM et 1 Sup Aéro. Nous sommes chargés d'analyser les accidents dus aux réacteurs Nene et Atar et de proposer les modifications techniquespour éviter le retour des accidents. Travail très intéressant qui me permettait d'être toujours en civil car je me rendais dans les usines commeHispano-Suiza, SNECMA ou dans centres d'essais. Maintenu 12 mois sous les drapeaux pour cause de la guerre d'Algérie, je restai à Paris. J'ai donc effectué 30 mois d'armée. . |
1956 : | 1956 :I A E Paris - Paris, Paris, Île-de-France J'ai profité du maintien sous les drapeaux pour suivre les cours de l'IAE à la Faculté de Droit de Paris dont je sortidiplômé. J'y ai eu un excellent professeur Mr Depallens directeur financier de la Snecma dont le fils est aujourd'huiun brillant économiste. |
25 April 1959 : | 25 April 1959 :Marriage (with Joëlle CARRON) - Seyssins, Isère, Rhône-Alpes Temoins: , Jacques/DESTANG// Temoins: , Robert/LEPAGE// |
25 April 1959 : | 25 April 1959 :Mariage (with Joëlle CARRON) - Seyssins, Isère, Rhône-Alpes Sur la fin de mon service miltaire, fin 1956, je suis allé à Mégève pour apprendre à skier. Par hasard, dans unrestaurant, j'ai fait la connaissance de Joëlle qui était une skieuse chevronnée. J'ai du ruser pour ne pas montrer moninexpérience !!! Elle était à Genève à l'école d'interprétariat et moi à Paris. Nous avons donc correspondu pendant ces 3 années avantnotre mariage. Temoins: , Jacques/DESTANG// Temoins: , Marie Claire/MURE// |
1963 : | 1963 :Ecole C. P . A - Paris, Paris, Île-de-France Afin de compléter ma formation technique, j'ai souhaiter rentrer au C P A ( Centre de Perfectionnement aux Affaires)géré par la Chambre de Commerce de Paris. (A noter que cette école est rattachée à HEC avec le titre de Executive MBA!!!) J'ai eu la chance d'être sélectionné et je me suis retrouvé pendant 1 an à faire des études de cas de 19h à 24h tous lessoirs après le travail à l'usine. J'avais comme camarade Serge Dassault, Yves Martin-Sibille Médecin Militaire, AlainGosset (Champagne), Amédée Prouvost....(En tout 66 cadres) |
1967 : | 1967 :Déménagement Surex et Famille à La Tour du Pin - La Tour-du-Pin, Isère, Rhône-Alpes |
1981 : | 1981 :Vente de Surex à Neiman - La Tour-du-Pin, Isère, Rhône-Alpes |
1982 : | 1982 :Consultant - La Chapelle-de-la-Tour, Isère, Rhône-Alpes |
1997 : | 1997 :Retraite !!!! - La Chapelle-de-la-Tour, Isère, Rhône-Alpes |
Notes
Individual Note
Nationalite: Française
L'usine Surex se situait au 52 rue de la Folie Méricourt (du nom d'un riche propriétaire qui possèdait sous Henri IV unemaison appelée à l'époque "Folie") et avait été construite par mon Père, pendant la guerre, malgré les propos desAllemnds qui disaient que Paris sera détruit, à la place d'une blanchisserie. Cette activité était due à la présenced'une rivière souterraine accessble par un puits. Dans ce quartier il y avait de nombreuses entreprises de traitement desurfaces (cuivrage, nickelage, chromage) car elles utilisaient l'eau de la rivière.
Note: --- Import Gedcom le Mardi 2 mai 2017 ---
ÉRIE
TYPE Entrée chez Surex, entreprise famliale de fabrication de serrures et cadenas
DATE 1957
PLAC Paris, Paris, Île-de-France,
Photos and archival records
{{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }}
{{ media.date_translated }}
Family Tree Preview
|