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Parents
Aristide Jean Henry BOÜARD de LAFOREST (de) 1834-1907
Marie ITHIER 1851-1939
Union(s) et enfant(s)
- Marié le 9 juillet 1898, Cavignac, 33114, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France, avec Marie Marthe Lydie GODRIE 1876-1920 dont
- Marié le 6 avril 1921, Le Plénitre - La Peyratte, 79208, Deux-Sèvres, Nouvelle-Aquitaine, France, avec
Elisabeth Marie BOUCHET 1887-1981 dont
Fratrie
Maurice Jean Marcel Marie BOÜARD de LAFOREST (de) 1870-1959
Jeanne Aline Marie Marguerite BOÜARD de LAFOREST (de) 1871-1871
nn BOÜARD de LAFOREST (de) 1873-1873
Jean Jacques Roger BOÜARD de LAFOREST (de) 1874-1874
Jean Marie Joseph BOÜARD de LAFOREST (de) 1878-1878
Henriette Jeanne Marie Joséphine BOÜARD de LAFOREST (de) 1879-1969
Yvonne Marie Louise Yon BOÜARD de LAFOREST (de) 1882-1902
Pierre BOÜARD de LAFOREST (de) 1885-1955
Charlotte Josèphe Eugénie Marie Christine BOÜARD de LAFOREST (de) 1886-1958
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Événements
16 juillet 1870 : | 16 juillet 1870 :Naissance - Saint-Macaire, 33435, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France Sources: AD33, Saint-Macaire, N 1853-1872, 4E 11917 (p. 258). |
--- : | --- :Service militaire Fiche matricule. Sources: AD33 1R1307 p |
--- : | --- :Résidence Saint-Macaire (33), Pian-sur-Garonne (33), Cordoba (Argentine), Limoges (Haute-Vienne), Sénégal, Bordeaux (33), Cavignac (33), Libourne (33), Mazerat (Saint-Emilion 33). Sources: AD33, Recensement Cavignac, 6M 157/4 (1820-1926) 1901 (p. 56), 1906 (p. 77). - Archives municipales de Saint-Emilion, 1F1 : Listes nominatives de dénombrement – Saint-Emilion, 1911. |
5 juillet 1898 : | 5 juillet 1898 :Contrat de mariage (avec Marie Marthe Lydie GODRIE) - Bordeaux, 33063, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, FRANCE Contrat de mariage par devant Me Peyrelongue, notaire à Bordeaux. Sources: AD33, 3 E 35876 |
9 juillet 1898 : | 9 juillet 1898 :Mariage (avec Marie Marthe Lydie GODRIE) - Cavignac, 33114, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France Sources: AD33, Cavignac, Mariages 1898, 4E 16406 (p. 12). |
9 mai 1910 : | 9 mai 1910 :Propriété Testament de Jeanne Eugénie Souffrain en faveur de Maurice, rédigé le 9 mai 1910 au Château Mazerat par devant Me Georges Jullien, notaire à Saint-Emilion, et enregistré à Libourne le 26 septembre (Folio 42 case 15). Sources: Document familial. |
11 février 1921 : | 11 février 1921 :Contrat de mariage (avec Elisabeth Marie BOUCHET) - Rochefort, 17299, Charente-Maritime, Poitou-Charentes, France Contrat de mariage entre le comte de Boüard de Laforest et Mademoiselle Bouchet, 11 février 1921, Emile Breton notaire à Rochefort-sur-mer. Sources: AD17, 3 E 162/87 |
6 avril 1921 : | 6 avril 1921 :Mariage (avec Elisabeth Marie BOUCHET) - Le Plénitre - La Peyratte, 79208, Deux-Sèvres, Nouvelle-Aquitaine, France Sources: AD33, Saint-Macaire, N 1853-1872, 4E 11917 (p. 258). |
3 juillet 1922 : | 3 juillet 1922 :Propriété Vente du "Clos l'Angélus" par la Société Bernheim passée devant Me Georges Jullien notaire à Saint-Emilion les 3 et 4 juillet 1922. Sources: AD 33, 3 E 68391, juin-août 1922. |
10 juin 1942 : | 10 juin 1942 :Propriété Donation-partage (Château Mazerat) du 10 juin 1942, par devant Me Lucien Sibille notaire à Libourne. Sources: AD33, Formalités hypothécaires 01 n° 189 bis - Formalités hypothécaires 02 n° 189 bis. |
6 juillet 1946 : | 6 juillet 1946 :Propriété Constitution de la Société Civile "Châteaux Mazerat et l'Angélus" devant Me Sibille notaire à Libourne le 6 juillet 1946. Sources: Document familial. |
2 juillet 1959 : | 2 juillet 1959 :Décès - Mazerat - Saint-Emilion, 33394, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France Sources: AD33, Saint-Macaire, N 1853-1872, 4E 11917 (p. 258). |
--- : | --- :Inhumation - Saint-Emilion, 33394, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France |
Notes
Notes individuelles
Onzième génération des de Boüard (depuis George Board ou Bouhart † vers 1580), Maurice Jean Marcel Marie de Boüard de Laforest est né le 16 juillet 1870 à Saint-Macaire (33490), rue Burdeau dans la maison de sa grand-mère maternelle Marcelle Parenteau.Il est l'aîné de neuf enfants (quatre filles et cinq garçons) dont quatre décédés à la naissance ou quelques jours après.
Durant l'année scolaire 1886-1887, il suit les cours de Géographie commerciale de Mr. Roehrig professeur à l'Ecole Supérieure de commerce et d'industrie de Bordeaux et membre du groupe géographique du Sud-Ouest (Société de géographie commerciale de Bordeaux). Il y acquiert des connaissances de base en géographie, économie et commerce qu'il lui serviront sans doute par la suite lors de ses séjours à l'étranger (Argentine et Sénégal) peu après cette année d'étude. Le frère de son père, René de Boüard, avait épousé Caroline Crocsel dont un membre de lafamille travaillait comme consignataire (mandataire pour un armateur) de la “Compagnie générale des Bateaux à vapeur à hélice dunord” à Bordeaux. Le départ de Maurice pour l'Argentine autour de ses dix sept ans a peut-être été facilité par sa formation commerciale et cette relation familiale. Ce pays en pleine expansion attire de nombreux immigrants. Il y réside environ deux ans, sans doute dans la région de Cordoba, où il y fait la connaissance de Francisco Capitaine Cáceres qui deviendra administrateur général puis propriétaire de "La Nueva Argentina" (usine à papier dans le quartier "Pueblo General Paz" à Cordoba) vers 1906-1907. Selon la légende familiale il serait parti rejoindre des cousins de son père implantés en Argentine. Lesquels ? Nous n’en avons aucune trace à ce jour.
Rentré en France, domicilié à Pian-sur-Garonne, il s’engage comme volontaire le 8 mars 1889 à Bordeaux. Il effectue les trois ans de son service militaire à Limoges du 11 mars 1889 au 8 mars 1892, dans le 20e Régiment de Dragons (cavalerie). Sa fiche matricule (parcours militaire) le classe au “degré d’instruction 3” : “possède une instruction plus développée” (sait lire, écrire et compter). Il est nommé Brigadier le 1er mars 1890, Maréchal des Logis le 8 décembre 1890. Un certificat de bonne conduite lui est accordé. Il retrouve à Limoges sa tante Eugénie Chatenet (1823-1910), épouse de Jean-Charles Souffrain (1804-1886) petit-fils de Jean de Boüard.
Après son service il part pour le Sénégal en décembre 1892 jusqu'en décembre 1896. Son départ se situe dans une période où cette région connaît une nouvelle expansion de l’influence française depuis quinze-vingt ans. Il travaille dans des comptoirs commerciaux (Dakar, Ruffisque, Thiès, Tivaouane, Pir N'Gouré, N'gaye Méké, Kelle, Louga, St-Louis) sur la ligne de chemin de fer Saint-Louis-Dakar récemment construite (1885), et à Podor Kaye et Kaédi sur le fleuve Sénégal. Toujours d’après son épouse il a été l’ami du “Roi du Cayor” ancien royaume du Sénégal (1566-1886) entre les fleuves Sénégal et Saloum. Sa tante Eugénie Chatenet lui adresse une lettre de Limoges en date du 24 mars 1894 où elle s’inquiète de sa santé.
Rentré en France, de nouveau domicilié à St Macaire, il est rattaché à la subdivision militaire de Libourne le 4 janvier 1897, où il effectue deux périodes de manoeuvres militaires dans la cadre de la réserve de l'armée active : dans le 15e Régiment de Dragons de [Libourne] du 21 avril au 18 mai 1897, et dans le 15e Régiment de Dragons de [Libourne] du 31 janvier au 27 février 1898. Durant ces manoeuvres on le retrouve à Bordeaux, où il loge successivement : 5 place de la Comédie en face du Grand Théâtre (16 décembre 1897), Hôtel Terminus-gare du midi (2 mai 1898), et 29 rue Prosper près du Cours de la Libération où il est mentionné comme résident sans profession au moment de son mariage.
Suite à son mariage le 9 juillet 1898 sous le régime de la communauté réduite aux acquêts avec Marie Marthe Lydie Godrie (1876-1920), il réside à Cavignac (arrondissement de Blaye) de 1898 à 1910 , sur la propriété qui appartient à son épouse, à environ trente cinq kilomètres au nord-ouest de Saint-Emilion. Il est recensé sans profession en 1901 et comme propriétaire en 1906. Leur fille Marie Joséphine Marthe Eugénie Yvonne naît à Cavignac le 24 octobre 1899.
En 1910 Maurice de Boüard de Laforest, demeurant à Cavignac, hérite de sa tante Eugénie Souffrain morte sans enfant et dernière représentante de cette branche des Souffrain, de sa propriété de Mazerat : "Madame Jeanne Eugénie Chatenet, sans profession, veuve de Monsieur Jean-Charles Souffrain, demeurant à Mazerat, commune de Saint-Emilion, laquelle étant malade de corps, mais saine d'esprit, ainsi qu'il est apparu aux quatre témoins et au notaire, a dicté à Me Jullien, son testament en présence des dits quatre témoins de la manière et ainsi qu'il suit : Je donne et lègue : [...] 5e article : A Monsieur Maurice de Boüard, propriétaire, demeurant à Cavignac, Gironde, ma propriété de Mazerat, commune de Saint-Emilion, y compris toutes ses constructions, le mobiler meublant, la maison et les vins qui se trouveront en chai au moment de mon décès. J'entends par mobilier meublant, les sièges, chaises, tables, en un mot tout ce qui est destiné à l'usage et à l'ornementation des appartements, je ne comprends par suite dans ce legs ni l'argenterie, ni les bijoux".
C'est un domaine de 6 hectares et 20 tonneaux en 1905, primé sous le nom de « Château Mazerat » en 1904, 1905, 1910. Edouard Féret mentionnait déjà en 1898 "une propriété à Mazerat au nom de Veuve Souffrain, de Limoges" d'une production moyenne de 20 tonneaux. En 1901, un ouvrier agricole travaille sur la propriété, trois en 1906. Maurice portera la production à 30 tonneaux, et renouvellera ce vignoble progressivement : trois hectares environ en 1914 et 1915, puis 1927, 1930, 1940. Ses trois fils continueront en 1950, 1957, 1958, 1960.
Première génération des de Boüard à s’installer à Saint-Emilion, Maurice réside alors au « Château Mazerat ». Il est même mentionné comme "propriétaire-exploitant" à Mazerat, avec Lydie de Bouard et leur fille Yvonne, ainsi que sa belle-mère, au recensement de 1911. En 1920, et peut-être depuis son mariage, Yvonne réside avec son mari Marie, Léonard, Jean-Baptiste Barre, au « Château Mazerat ».
Maurice de Bouard est rattaché à la subdivision militaire de Libourne le 25 janvier 1912, en tant que résidant à Mazerat (St Emilion). Passé dans la réserve de l'armée territoriale (hommes de 40 à46 ans) le 1er octobre 1908, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914. Il est mobilisé au 24e Régiment territorial d'artillerie de [Tarbes] comme secrétaire à la 13e bis commission de réquisition du 3 août au 2 décembre 1914. Il passe au 15e Régiment de Dragons [Libourne] le 26 décembre 1914. "Campagne contre l'Allemagne du 3 décembre 1914 au 7 janvier 1915". Il est renvoyé dans ses foyers le 7 janvier 1915. Il est libéré du service militaire le 8 mars 1915 (pour ses 45 ans).
Après sa libération Maurice, tout en résidant à Mazerat et s’occupant de sa propriété, achète deux immeubles à Port des Barques, commune de Saint-Nazaire, canton de Saint-Aignan, arrondissement de Marennes (Charente-Maritime). Un premier immeuble dont la date d’achat n’est pas connue. En avril 1917 il achète “un immeuble situé à Port des Barques, composé d’une maison d’un simple rez-de-chaussée avec grenier sur une partie, chai et dépendances, et avec terrain en jardin au nord et au midi ; le tout en un tenant clos de murs, avec puits ... murs mitoyens du nord à la rue longeant la côte...”. Il acquiert aussi deux véhicules lui servant "à transporter des voyageurs et des marchandises avec une remorque, de Port des Barques à Rochefort", ainsi qu’une “automobile Rochet-Schneider, douze mille francs”. Sa situation étant sans doute encore précaire sur la propriété de Saint-Emilion, ses achats à Port des Barques lui permettent d’engager en parallèle une deuxième activité professionnelle.
Deux permis de circuler confirment à la fois sa nouvelle résidence à Mazerat et à partir de 1916 ses déplacements entre Saint-Emilion, Cavignac, la Charente et la Haute-Vienne. Il partage donc son temps entre autres entre Port-des-Barques et sa propriété de Mazerat, et au moins jusqu'en mars 1919 entre Mazerat et Cavignac (Gironde), lieu de son premier mariage. Il semble qu’à partir de 1919, il décide de se consacrer un peu plus à sa propriété du Château Mazerat et au commerce du vin. Le 14 juin 1919, il passe une annonce dans le journal « Le Lorrain », recherchant des représentants pour vendre « des vins fins et ordinaires. »Marie Marthe Lydie Godrie décède le 23 mai 1920.
Le 6 avril 1921 il épouse Elisabeth de Boüard (née Bouchet 1887-1981). Contrat de mariage du 11 février sous le régime de la séparation de biens. Tout d’abord bonapartiste comme son père qui avait été Garde de Napoléon III, Maurice devient royaliste après son mariage avec Elisabeth.
En 1922 Elisabeth de Boüard achète le "Clos l’Angélus" à la Société Bernheim (Paris) suite à l'indivision Gurchy. Elle reste seule propriétaire de "l'Angélus" jusqu’en 1946. Elisabeth est mentionnée comme négociante-propriétaire à Saint-Emilion à partir de 1923. Elle achète aussi Jean du Mayne en 1927. Les Châteaux Mazerat et l’Angélus sont recommandés dans plusieurs journaux notamment à la fin des années 1930 (Journée vinicole, La Vigie de Dieppe…).
Le couple dut faire plusieurs emprunts (achat de vignes, de matériel, de chevaux ou mulets, amélioration ou agrandissement des chais, compensation de la mévente du vin, donations de 1942 et 1946…) comme en témoignent certains actes notariés et les inscriptions hypothécaires.Le 4 mai 1921, Maurice et Elisabeth empruntent à leur beau-frère Paul Romieux la somme de 35000 francs remboursés le 3 novembre 1923.Par quittance du 24 mars 1924, Mr Capdemourlin reconnait « avoir reçu la somme de 17240,90 francs restant à ce jour due par Madame la comtesse de Bouard à la dite Caisse Agricole de la Gironde sur la somme de 18000 francs prêtée à Madame de Bouard dans un acte d’acquisition Bernheim passé devant Me Jullien les 3 et 4 juillet 1924 ».On trouve également deux quittances de Paul-Emile Bouchet, « l’une du 10 janvier 1924 portant reçu du remboursement de 15000 francs avancés à sa fille pour l’acquisition de l’Angélus, l’autre du 11 novembre 1926 pour remboursement de 50000 francs avancés à sa fille pour ses affaires commerciales ».
Maurice a entretenu une correspondance avec son beau-frère Oscar Brothier, mari de Paule sœur d’Elisabeth, entre autres de 1923 à 1930.Très proche de lui, il signait souvent ses lettres : « De tout cœur à toi, Ton Frère et ton Ami Maurice ».
Maurice et Elisabeth de Boüard ont eu trois fils : Jacques en 1922, Christian en 1923 et Alain en 1927. La famille passait ses vacances sur l’île d’Oléron ou dans les Pyrénées à Villelongue près d’Argelès-Gazost.
Par un testament du 25 décembre 1925, Maurice « institue sa femme comme légataire de tout ce dont la loi lui permet de disposer en sa faveur ».
Par une donation-partage de 1942, Maurice fait une donation “entre vifs à titre de partage anticipé” à ses quatre enfants : pour Marie “une somme de 175000 francs” [le quart de la valeur de la propriété] versés le jour de la donation. Pour ses trois fils mineurs “par tiers et indivisément entre eux... des objets mobiliers meubles meublant et linges se trouvant au Château de Mazerat”, “une propriété rurale dite Château Mazerat située à Saint-Emilion [héritée de Jeanne Eugénie Souffrain]... d’une contenance de 6ha 01a 10ca”, “d’une pièce de terre en vigne au lieu-dit Beauséjour d’une contenance de 11a” et “d’une pièce de terre située au lieu-dit Beaupoil pour une contenance de 6ha 20a 25ca ”. Sont compris également divers matériels agricoles et un boeuf. La propriété avec “ses appartenances et dépendances” ainsi que le mobiler pour une valeur totale de 525000 francs, sont soumis à des réserves de jouissance au profit de Maurice et de son épouse Elisabeth de leur vivant.
Les trois fils reprennent la propriété en 1946. La Société Civile "Châteaux Mazerat et l'Angélus" a été constituée le 6 juillet 1946 pour une durée de 99 ans à compter du 15 avril 1946. Plus connue sous la dénomination “Château l’Angélus” elle regroupe les clos l’Angélus, Mazerat, Jean Du Mayne et Daugay. Alain s’est retiré de la Société civile du Château de l'Angélus en 1961.
Maurice décède le 2 juillet 1959 à Mazerat. Il est inhumé dans le cimetière de l'église de Saint-Martin-de-Mazerat à Saint-Emilion.
Dans son livre "Angélus" (Editions de La Martinière, 2016) Jane Anson fait preuve de beaucoup d’imagination concernant Maurice de Boüard.
Pour plus de précisions sur la famille de Boüard à Saint-Emilion voir les deux articles : "Château Angélus une histoire familiale, un autre son de cloche" et "Château Angélus, portraits de famille" (en PDF dans "Photos & documents").
Sources
- Personne: -«Les de Boüard de Laforest : essai historique » par Germaine de Boüard de Laforest, Epron 1983, par Germaine de Boüard de Laforest. -« Fonds de Boüard (1547-1885) », Archives Départementales de Gironde, Sous-série 4 J, 4 J 914 et 915. -Archives Départementales de Gironde et de Charente-Maritime. -Documents familiaux . - Documents fournis par Jean-Louis Carde. - Article "Château Angélus" sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_Ang%C3%A9lus
- Naissance, union 2, décès: AD33, Saint-Macaire, N 1853-1872, 4E 11917 (p. 258).
- Union 1: AD33, Cavignac, Mariages 1898, 4E 16406 (p. 12).
Photos & documents
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