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2 médias disponibles 2 médias disponibles A participé à la Grande Guerre, mort le 02/03/1915Que s'est-il passé ce jour là ?Unité(s) : 349e régiment d'infanterie (349e RI) Domicile lors de la mobilisation : Chénas (69) |
Parents
- Jean Marie FONTAINE 1846-
- Françoise FAYARD 1853-
Fratrie
Jean Marie Abel FONTAINE 1880-1962
Elizabeth FONTAINE 1882-
Camille FONTAINE 1885-
Claudius FONTAINE 1887-1915
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Événements
30 mai 1887 : | 30 mai 1887 :Naissance - Chénas,69840,Rhône,Rhône-Alpes,FRANCE Sources: Chénas - 4 E 7581 - Naissance (1887) - p2/4 |
2 mars 1915 : | 2 mars 1915 :Décès - Badonviller,54540,Meurthe-et-Moselle,Lorraine,FRANCE Mort pour la France Sources: Mémoires des Hommes |
5 juin 1915 : | 5 juin 1915 :Transcription du décès - Sancé,71000,Saône-et-Loire,Bourgogne,FRANCE Sources: Mr Perrier - http://www.hetg69220.com/monuments-aux-morts.php |
Notes
Notes individuelles
![]() Classe 1907 - N°1055 - Lyon Nord Incorporé au 149e Régiment d'Infanterie (Épinal - Vosges) le 8 octobre 1908 Arrivé au corps le dit jour et Soldat 2eme classe Soldat musicien le 25 septembre 1909 Envoyé en congé le 25 septembre 1910 Rappelé à l'activité le 1er août 1914 (Mobilisation générale) Arrivé au 349e Régiment d'Infanterie (Épinal - Vosges) le 4 août 1914 Tué à l'ennemi le 2 mars 1915 à Badonviller (Meurthe et Moselle) - Campagnes Contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 2 mars 1915 | ![]() |
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- Casernement en 1914 : Épinal - Il fait partie de la 141e brigade d'infanterie, 71e division d'infanterie, 21e région. - Constitution en 1914 : 2 bataillons. - Rattaché à la 71e DI d'août 1914 à juillet 1916. - Pas de citation au régiment. 1914 : Vosges : col du Bonhomme, Sainte Marie (23/08), Épinal, défense d'Épinal (sept.), Rambervillers, Baccarat, La Chapelotte, secteur de Badonviller (nov.), Domèvre-sur-Vezouze 1915 :Vosges: fév.-déc Badonviller, ferme du Chamois, Le Croupillon, La Chapelotte 1916 :mêmes secteurs Régiment dissout en juin 1916 ; les soldats rejoignent les 358e et 370e RI pour former leur 3e bataillon. |
- Samedi 27 février : Progrès de l'armée belge, près de Nieuport et de l'armée britannique, près de la Bassée. Dans la vallée de l'Aisne, nous réduisons au silence l'artillerie allemande. En Champagne, nous accentuons notre avance daus la région de Perthes, le Mesnil, Tahure, jusrqu'à la crête des Hauteurs; dans la vallée de la Meuse, nous détruisons des rassemblements ennemis. Dans la forêt d'Apremont, les Allemands sont chassés de plusieurs de leurs abris. Les Russes accusent des succès à Bolimow, à l'ouest de Varovie et dans les Carpathes et reprennent l'offensive en Bukovine. Quatre forts de l'entrée des Dardanenelles sont détruits. Trois taubes out été abattus par nos soldats, l'un à Noeux-les-Mines, le second à Lunéville, le troisième à Largitzen près de la frontière Suisse. Un zeppelin a été detruit à Pola. - Dimanche 28 février : Près de Lombaertzyde, En Flandre, une de nos patrouilles enlève une tranchée dont elle tue les occupants, et où elle prend une mitrailleuse. En Champagne, nous avons occupé 500 mètres de tranchées ennemies et refoulé de nuit une violente contre-attaque. A Malancourt, les Allemands ont jeté du pétrole enflammé dans une de nos tranchées, mais quand ils ont essayé de s'en emparer, ils ont été arrêtés net avec de fortes pertes. Sur les Hauts-de-Meuse, notre artillerie a détruit des pièces, des caissons et des dépôts de munitions, anéanti un détachement et tout un campement. En Lorraine, près de la forêt de Parroy, nous avons brisé une offensive. Nos avions ont jeté des bombes sur les casernes de Metz. Nos trois cuirassés Suffren, Gaulois et Charlemagne ont pris une part active à la destruction des forts de l'entrée des Dardanelles : cette opération a été achevée par les troupes de débarquement. - Lundi ler mars : L'artillerie belge démolit deux ouvrages ennemis près de Dixmude, tandis que l'infanterie belge progresse sur la rive droite de l'Yser; nous arrêtons une attaque près d'Albert. L'ennemi se venge de ses défaites en lançant 60 obus sur Reims et 200 sur Soissons. Nos progrès sont importants en Champagne, dans les régions de Perthes et de Beauséjour : ouvrages enlevés, contre-attaques brisées, plus de 2000 mètres de tranchées occupés: plus de 1000 Allemands capturés; combat d'artillerie sur les Hauts-de-Meuse. En Argonne, succès sérieux; nous prenons 300 mètres de tranchées à l'ouest de Boureuilles et notre infanterie s'installe sur le plateuu de Vauquois. L'offensive russe se déploie victorieusement sur le front de Pologne. Nos alliés ont réoccupé Prasznisch, en infligeant d'énormes pertes aux troupes de Hindenburg. - Mardi 2 mars : Tempête de pluie et de neige sur différents points du front. Les opérations sont par suite ralenties. Nouveaux gains en Champagne, où une contre-attaque est repoussée au nord de Mesnil. Nous enlevons un Blockhaus près dePont-à-Mousson, brisons une offensive à Sultzeren et maintenons toutes nos positions à Hartmansweilerkopf. La flotte alliée poursuit ses opérations dans les Dardanelles. L'armée russe a repris une seconde fois Prasznisch que les Allemands avaient réoccupée. Elle a progressé en Galicie orientale. - Mercredi 3 mars : Une attaque ennemi est repoussée près d'Ypres: plusieurs autres sont refoulées dans le secteur de Reims. Entre Souain et Beauséjour, notre poussée s'accentue. Nous prenons pied au delà de la crête déjà occupée par nous: nous maintenons nos gains à Vauquois et progressons dans les Vosges près de Celles. Les russes ont pris l'avantage sur deux points importants, aù delà de Prasznisch. - Jeudi 4 mars : Canonnade de la mer à l'Aisne; Les Allemands bombardent Reims avec des obus incendiaires. Nouveaux progrès de nos troupes en Champagne, sur le front Souain-Mesnil-Beauséjour. Sur plus de six kilomètres, nous occupons uneligne de tranchées allemandes d'une épaisseur d'un kilomètre. Un régiment de la garde impériale a subi des pertes énormes, au cours d'une contre-attaque, que nous avons repoussée. D'autres offensives ont été arrêtées par nos soldats près de Verdun et près de Pont-à-Mousson. Les Russes, après avoir enfoncé le centre allemand près de Prasznisch et progressé dans la direction de Mlava à proximité de la frontière prussienne, ont également repris l'offensive dans la région de Grodno et sur le Niémen. Offensive d'ailleurs heureuse. En Bukovine, ils bombardent Czernovitz. Une division navale française, postée dans le golfe de Saros, a bombardé les lignes turques de Boulaïr qui commandent le débouché des Dardanelles vers la mer de Marmara. Les troupes ottomanes ont évacué plusieurs ouvrages importants sous notre feu. Un grand conseil de la Couronne a été tenu à Athènes. Il a délibéré sur le point de savoir quelle attitude adopterait la Grèce en présence de notre entreprise sur les Dardanelles. La famine s'accentue en Autriche. Le gouvernement a opéré la saisie des céréales, et cette confiscation n'a pas été sans susciter des troubles dans plusieurs villes. - Vendredi 5 mars : Le bulletin français signale des combats de tranchées en Flandre et dans le Nord, - des engagements plus importants et toujours à notre avantage en Champagne et dans l'Argonne (Vauquois). Un officer aviateur français a été bombarder une gare très importante d'Allemagne, près de Donaueschingen. La flottille des destroyers de Douvres a détruit un sous-marin allemand, le U-8, dont l'équipage a été d'ailleurs sauvé. Le U-8 était parmi les bâtiments-pirates qui torpillaient les navires de commerce en Manche. Sur le front oriental, les régiments russes atteignent de nouveau la lisière de la Prusse, après avoir forcé les Allemands à un repli sur toutes leurs lignes. Ils ont repris Stanislaw, en Galicie, sur les Autrichiens. Le siège d'Ossowietz, que Hindenburg se flattait de prendre, traîne en longueur. Les opérations des Dardanelles n'ont été jusqu'ici signalées par aucun accident pour les flottes alliées. Le gouvernement grec comme s'il était à la veille de l'action, consulte l'état-major général sur les moyens dont il dispose. Le conseil de la Couronne est convoqué une seconde fois. Deux croiseurs français ont bombardé des postes turcs sur la côte de Syrie. La presse allemande attaque vivement le ministre de l'Agriculture, auquel elle reproche son imprévoyance. Les pommes de terre, après le blé, commencent à faire défaut. |
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Sources: AD du Rhône Mémoire des Hommes Chtimiste.com Gallica Pages 14-18 Memorial-Genweb
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