Arthur Henri ROUSSEAU Henri

Il reçoit en second prénom celui de son parrain.
sur son baptême ses prénoms son Henri Arthur. alors qu'a l'état civil il est déclaré Arthur Henri, dans la vie de tous les jours, ses parents devait l'appeler Henri car sur tous les recensement avant son mariage il est nommé Henri alors qu'après son mariage il est nommé Arthur.
Arthur n'a pas connu ses grands parents paternels, mort avant qu'il ne naisse.

Il est déclaré propre au service, atteint de faiblesse permettant le service actif.
Parti le 13/11/1894, Il est arrivé au corps le 14/11/1894.
Il est envoyé en Congé en septembre 1895 avec son Certificat de Bonne Conduite : "Accordé"
Il a accompli une 1ère période d'exercice dans le 151ème régiment d'infanterie à Verdun (Caserne Miribel) du 3 au 30/10/1898.
il a accompli une 2ème période d'exercice dans le 151ème régiment d'infanterie du 30/9 au 27/10/1901
il a accompli une période d'exercice dans le 1er régiment térritoriale d'infanterie à Cambrai (Caserne Renel) du 28/9 au 6/10/1907

Heure: 10:00
le père de Julienne était décédé.Lors du mariage Julienne était enceinte de 1 mois de leur fille Jeanne.

Il est rappelé à l'activité par décret du 1/8/1914, pour la Mobilisation Générale, arrivé au corps le 15/9/1914
du 15 Septembre 1914 au 20 mars 1915 il était au 1er Régiment d'infanterie Territoriale, 22eme Compagnie à Limoges
du 20 mars 1915 au 22 mars 1915, il était au meme régiment mais dans la 27eme compagnie à Aix/Vienne
du 22 mars 1915 au 1/8/1915, il était au 5e Régiment d'infanterie Territoriale, 17e Compagnie au camp retranché de Paris
du 1 août 1915 au 9 septembre 1917, il était au 295e Régiment d'infanterie territorial, 1e Compagnie dans la somme aux lieux de combats du Bois des Loges et du Bois Détoilé.
du 9 septembre 1917 au 20 octobre 1918, il était au 87e régiment d'infanterie territoriale, 5e compagnie à Chauny et Tergnier (Aisne)
et enfin du 20 octobre 1918 jusqu'au 16 décembre 1918, il était au Dépôt de Versailles.

Pendant qu'il est au front, Julienne et ses enfants évacus Pérenchies, mais je ne sais pas où ils sont aller.

Bien des années après la guerre, Suzanne Sohier, la femme de son petit fils Robert, un jour en rangeant leur grenier est tombé sur une boite en fer, dans laquelle elle a trouvé des lettres, écrite par la main d'une femme qu'Henri avait rencontré quand il était à la guerre en 1914, il aurait eu avec elle un enfant dont on ignore tous, quand Arthur su ce qu'elle avait découvert il lui ordonna de bruler les lettres et de ne rien dire a sa femme, Suzanne garda la boite en fer et le secret.

Il travaillait au chantier de reconstruction de Pérenchies pour la société Entrepreneurs Générales et de Trvaux Publics
Arthur a eu un doigt écrasé par un tréteau.

À Lille, le 19 juillet 1928, Arthur reçoit sa carte d'ancien combattant.
Il faisait parti de l'union national des Anciens Combattants pour la section de Pérenchies.

Médaille du Travail
En 1939, Arthur reçoit une Médaille d'Honneur du Travail

chez lui
Son décès fut déclaré le jour même à 10h.

Succession
Il lègue à sa femme, un quart des biens, puis le reste a sa fille Jeanne, son fils Ernest et les enfants de ce dernier.
Il y a des capitaux réservés à la mutuelle des anciens combattants 12118 fr, Le prorata de la pension de retraite des vieux travailleurs 12000 fr et un forfait mobilié de 5% 1206 fr.