Albert Florentin AugusteLONGER

Incorporé à compter du 1er septembre 1914 ; arrivé au corps le 6 septembre suivant ; soldat de 2ᵉ classe dans le 132ᵉ régiment d'infanterie
Campagne contre l'Allemagne en zone de l'intérieur du 6 septembre 1914 au 26 novembre 1914
Campagne contre l'Allemagne en zone des armées du 27 novembre 1914 au 30 septembre 1915, date à laquelle il fut blessé par balle au bras droit à Souain
Campagne contre l'Allemagne en zone de l'intérieur du 31 septembre 1915 jusqu'en 1917
Maintenu service armé inapte un mois par la commission de réforme de Saint-Brieuc du 1er août 1916 pour cause de plaie en séton par balle de fusil au bras droit 1/3 moyen (Avis collectif n° 143 du 4 août 1916) ; classé service auxiliaire par décision du général commandant la subdivision de Saint-Brieuc du 6 septembre 1916 sur avis de la commission de réforme de ladite ville du même jour pour "plaie en séton bras droit 1/3 moyen et antérieur par balle de fusil, limitation de l'avant-bras sur le bras, limitation des mouvements d'élévation du bras droit" ; passé au 25ᵉ régiment d'infanterie le 24 novembre 1916 par décision du général commandant la 10ᵉ région du 20 novembre 1916 ; soldat de 1re classe le 25 novembre suivant ; maintenu service auxiliaire par décision de la commission spéciale de réforme de Cherbourg dans sa séance du 16 janvier 1917, pour limitation de l'extension du coude et de l'élévation de l'épaule suite à une plaie en séton au bras droit (Blessures de guerre) - Loi du 17 août 1915

Apte armée d'Orient par décision de la commission de réforme de Cherbourg du 13 novembre 1917 pour blessure de guerre au bras droit - Loi du 10 août 1917
Campagne contre l'Allemagne en zone de l'intérieur de 1917 jusqu'au 13 mai 1919
Proposé pour gratification de 7ᵉ ?? pour "plaie en séton du bras droit au 1/3 supérieur par la commission de réforme de Grand-Quevilly du 13 mai 1919 ; mis en congé illimité de démobilisation le 19 mai suivant par le dépôt démobilisateur du 39ᵉ régiment d'infanterie ; se retire à Saint-Pierre-Bénouville puis à Reims (Nouveau dépôt - 106ᵉ régiment d'infanterie à Châlons) ; admis à pension de 480 francs avec jouissance du 6 septembre 1916 au 5 septembre 1920 par arrêté ministériel du 13 octobre 1920 ; maintenu service auxiliaire (pensionné à 20%) par la commission de réforme du Havre du 19 novembre 1926 pour séquelles de plaie par balle face intérieure du bras droit et amyotrophie bras et main (Article 20 de la loi du 1er avril 1923)