Allain LouisKERBRAT

La marraine d'Allain Louis Kerbrat, baptisé le 2 avril 1896, est Caroline Plantec. Par son père, Yves Plantec, elle était la nièce de la grand-mère maternelle d'Allain Kerbrat, Marie-Perrine Plantec.Le parrain est Alain Mer. Son épouse, Marguerite Caroff, était une soeur de Marie-Françoise Caroff, mère d'Allain Kerbrat.Noter que la signature sur le certificat de baptême est bien "Alain Mer".

Classe 1916. Bureau de recrutement : Brest.N° 58 de la liste du canton de Saint-Thégonnec.Appelé bon pour le service armé de la classe 1916, Saint-Thégonnec, mars 1915 - n° au registre matricule de recrutement : 1228, partie de la liste de recrutement cantonale : 1 .Deuxième n° matricule : 8332.Troisième matricule à la 5e compagnie du 7e bataillon de chasseurs alpins : 9366, partie de la liste de recrutement cantonal : 58.Campagne contre l'Allemagne du 9 avril 1915 au 23 octobre 1919.incorporé au 64e régiment d'infanterie le 9 avril 1915, passé, au 111e régiment d'infanterie le 7 avril 1916 et au 370e régiment d'infanterie le 28 juillet 1916 (170e division, 19e compagnie), puis au 47e bataillon de Chasseurs le 1er novembre 1917, affecté au 7e bataillon de Chasseurs le 16 mars 1919 (matricule 9366). Nommé caporal le 20 juin 1918, et sergent le 10 mai 1919.Soldat de 2e classe, 19e compagnie.Cours de mitrailleur 2-11 juillet 1916 (très apte).Première blessure de guerre le 24/07/1917 (secteur de Sancy, Aisne, tranchée Baron, témoins Henri Gaston Guénot, caporal fourrier, André Lemoine, caporal, Joseph Mochon, infirmier, Jean Neirac, médecin, à la 19e compagnie) : éclat d'obus sur le médius droit.Deuxième blessure le 20 août 1918 au Bois des Loges (Beuvraignes, Somme) : trépanation.Ordre de bataille n° 37, "le 20 août 1918 s'est porté bravement à l'attaque des positions ennemies, au cours du combat a été grièvement atteint d'une balle à la tête en secourant un blessé sous le feu ennemi ; jeune caporal courageux d'un dévouement absolu". Croix de guerre avec étoile de bronze, à Rennes le 19 mai 1949.Chasseur de 2e classe (47e bataillon de chasseurs alpins, 7e compagnie) : Distinction italienne selon décret du 21 mars 1916, n° 641, zone de guerre, 10 mars 1918 (Badge pour l'effort de guerre ("Exactement un an après l'entrée en guerre, l'arrêté royal du 21 mai 1916 n ° 641 instituant une décoration pour les militaires et assimilés qui ont enduré les affres de la guerre. Les personnes ayant droit à cette décoration étaient les soldats de l'armée royale, la Royal Navy et le personnel militarisé qui avait appartenu, pendant une durée totale d'au moins un an, les contrôles, les intendances ou qui ont été mobilisés dans les zones de guerre, les Alpes carniques ou Venise. Le décret précisait que la durée minimale d'un an pourrait être obtenue en calculant le temps passé dans les hôpitaux et les maisons de convalescence à la suite de blessures reçues pendant la guerre ou lors d'opérations militaires. La durée minimale d'un an a été réduite à quatre mois pour ceux qui opérait en dehors du territoire national, à condition que la raison n'était pas une incapacité de travail. La décoration est composée d'un ruban de soie, métal banalisée, 37 mm de large, divisé en dix-huit lignes verticales d'égale largeur, vert, blanc, rouge avec le vert comme la première couleur à droite. Les couleurs sont celles de la Médaille commémorative de la guerre pour l'unification de l'Italie, depuis la Grande Guerre a été considérée comme une extension de la lutte pour l'indépendance. Le ruban a été porté sur la veste sur la poitrine gauche, seul ou avec d'autres décorations. Compte tenu de la poursuite du conflit afin de différencier, au sein du peuple décorés, ceux qui avaient passé plus d'années dans les domaines des opérations, le décret fut complété par la circulaire 257 GM, le 5 avril 1918. La circulaire stipule que chaque année (sur la base des règles en vigueur) a été marquée par une étoile d'argent avec cinq points, 5 mm de large, qui a dû être attaché au ruban de la personne décorée.")Croix de guerre avec étoile de bronze : attestation de citation pour blessure de guerre du 20 août 1918 (trépanation)Attestation de bonne conduite fait à Chaulnes (Somme) le 11 septembre 1919 par le chef de bataillon Tissot commandant le 7e BCA : sergent à la 5e compagnie du 7e bataillon de Chasseurs.Mis en congé illimité le 23 septembre 1919, n° d'échelon 423. Réformé définitivement n° 2 juin 1931. Pension temporaire de 55%.

domicile du marié : Paris 19 rue du Rocher ; de la mariée : Paris 135 boulevard Neytémoins : Jean Kerbrat (frère d'Allain), employé de banque, domicilié 52 rue Bisson ; et Antoinette Leteurtrois (soeur de la mariée)