Message d'information du propriétaire de l'arbre

close

Si vous observez des erreurs ou des commentaires àposter, n'hésitez pas à me contacter,généralement je réponds toujours l'erreur esthumaine.

L'origine de Armoiries familiales daterait du XII èmesiècles, mais pour illustrer certaines fiches avant lacréations des armoiries je me suis parfois permis  demettre l'armoirie de la ville, au moyen âge certainesfamilles nobles, seigneurs ou chevaliers illustraient leursboucliers ou étendards par des figures géométriques ou d'animaux.

si cela peut vous offusquer signalez le moi. Merci de visiter magénéalogie


Chevalier de la Légion d'Honneur député maire de Pithiviers

  • Né le 14 janvier 1818 - Pithiviers, 45300, Loiret, Centre, FRANCE
  • Décédé le 22 août 1896 - à son domicile, 19 faubourg du Gatinais - Pithiviers, 45300, Loiret, Centre, FRANCE,à l'âge de 78 ans
  • Négociant en safran à Pithiviers, administrateur des chemins de fer de Bourges à Beaune-la-Rolande. Député conservateur Bonapartiste
5 médias disponibles 5 médias disponibles

 Parents

portrait
  • Négociant en Safran à Boynes, fondateur de la maison de commerce BRIERRE & ANCEAU, créée le 2 août 1807 avec Jacques François Louis ANCEAU, son beau-frère
  •  Union(s) et enfant(s)

     Fratrie

     Grands parents paternels, oncles et tantes

     Grands parents maternels, oncles et tantes

     Présences lors d'événements

    • 1877 (témoin): Décoration de Louis Théodore Anceau, Commandeur de la Légion d'Honneur (décret du 6 février 1877) (cote LH / 32 / 51). 1803-1888
    (afficher)

     Événements


     Notes

    Notes individuelles

    Carrière politique

    Membre du Conseil municipal de Pithiviers en 1852, adjoint au maire de cette ville en 1855, et maire en 1862, il comptait, sous l'Empire, parmi les fonctionnaires municipaux les plus dévoués au gouvernement, et fut décoré de la Légion d'honneur à la promotion du 4 août 1868.
    Lorsque la ville fut envahie en 1870 par les Prussiens, sa conduite entraîna d'abord sa révocation par le préfet du Loiret le 22 septembre, mais cet arrêt de révocation fut rapporté le 9 octobre.
    Conseiller d'arrondissement depuis 1870, il se présenta comme candidat conservateur Bonapartiste, aux élections législatives du 20 février 1876 : il fut élu député de l'arrondissement de Pithiviers par 8 647 voix (15 090 votants, 17 429 inscrits), contre un autre candidat conservateur, le Comte Bernard d'Harcourt député sortant, qui obtint 5 782 voix. Sa profession de foie contenait ce passage « Défenseur convaincu du suffrage universel, persuadé qu'aucun gouvernement, s'il n'est fondé sur l'assentiment des citoyens, n'a jamais chance de durée, au cas où le chef de l'état viendrait suivant son droit, proposer la révision de la Constitution pendant la durée de législature, je demanderais que la questions soit tranchée par une consultation directe du pays ».
    Brierre siégea à droite, dans le groupe de l'Appel au peuple, applaudit à l'acte du 16 mai et donna son vote au Ministre Fourtou-de Broglie. Réélu, avec l'appui du gouvernement le 14 octobre 1877, par 8 446 voix (15 514 votants, 17 761 inscrits), contre 6 961 à Monsieur Dumesnil, il continua de s'associer aux votes comme protestation de la minorité monarchiste, se prononça contre les invalidations des députés de droite, contre le ministère Dufaure à propos de l'épuration de personnel judiciaire et administratif, contre l'élection de Jules Grévy comme président de la république, contre le retour à Paris, contre l'amnistie, contre l'article 7 de la loi sur l'enseignement supérieur , contre l'application des lois existantes aux congrégations religieuses et contre le projets de rétablissement du divorce.
    Jacques Charles Hyacinthe Brierre prit part notamment, en 1880, à la discussion d'une proposition de la commission du budget tendant au dégrèvement des sucres et des vins.
    Il obtint sa réélection le 21 août 1881, par 7 502 voix (14 948 votants, 17 928 inscrits), contre 7 330 à Monsieur Dumesnil. Il ne cessa de voter avec la droite : contre les projets de séparation de l'église et de l'État, contre l'expulsion des princes, pour le maintien de l'ambassade auprès du pape ; il repoussa les demandes de crédits destinés à l'expédition du Tonkin.
    En octobre 1885, sur la liste conservatrice, il n'obtint que 25 089 voix, tandis que le dernier élu de la liste républicaine, M. Cochery, en réunissait 46 616 et ne fut pas réélu.
    Il décède à Pithiviers le 22 août 1896 à l'âge de 78 ans.
    Sources:archives Nationale site de Paris, Ministère de la Culture
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Charles_Hyacinthe_Brierre

      Photos & documents

    {{ media.title }}

    {{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }}
    {{ media.date_translated }}

     Aperçu de l'arbre

    Jacques le jeune Brierre 1716-1789 Marie Geneviève Bidault 1713-1764 Pierre Scellier Marie Jaubert    
    |
    8
     |
    9
     |
    10
     |
    11
      



     


      
    | |  
    Jacques Hyacinthe Brierre 1753-1811 Marie Scellier 1750-1808 Étienne Guillemineau Marie Sophie Guillemineau
    |
    4
     |
    5
     |
    6
     |
    7



     


    | |
    Antoine Isaac Brierre 1785- Marie Sophie Françoise Victoire Guillemineau 1791-1846
    |
    2
     |
    3



    |
    Jacques Charles Hyacinthe Brierre, Chevalier de la Légion d'Honneur député maire de Pithiviers 1818-1896