Ernest LucienCharrière

• Né le 19 avril 1884 - Rosey, 070-0452-1, Haute-Saône, Bourgogne-Franche-Comté, France - Union européenne - Terre - Système Terre-Lune - Système solaire
• Décédé le 3 septembre 1917 - 040 - Bichat (Rue) - 10ème arrondissement de Paris - Paris, 75110, Paris, Île-de-France, France - Union européenne - Terre - Système Terre-Lune - Système solaire,à l'âge de 33 ans
• Inhumé le 5 septembre 1917 - Cimetière parisien de Pantin - Pantin, 093-0055-1, Seine-Saint-Denis, Île-de-France, France - Union européenne - Terre - Système Terre-Lune - Système solaire
• Infirmier diplômé, Infirmier

 Parents

• Jean Pierre Charrière ca 1829-/1917
• Anne Claude Magnin ca 1840-/1917

 Union(s) et enfant(s)

• Marié le 18 août 1906, 10ème arrondissement de Paris - Paris, 75110, Paris, Île-de-France, France - Union européenne - Terre - Système Terre-Lune - Système solaire, avec Marie Louise Audrain 1886- (témoins : "Joseph" Marie Bazin 1881-1916, Charles Charrière ca 1876-, Martin Lassalle ca 1885-, Julie Marie Sacreise ca 1879- ; autre : "Jean" Marie Audrain 1858-1927, Marie Louise Audrain 1859-1915, Jean Pierre Charrière ca 1829-/1917, Anne Claude Magnin ca 1840-/1917, Félix Girardin) (voir note)dont
  • Marguerite Charrière 1906-2003
  • Marie Ernestine Charrière 1908

 Relations

• Témoin (1908): mariage, "François" Marie Audrain 1882-1915 et "Albertine" Emilie Elisabeth Fierens 1890-1981

 Événements

 Notes

Notes individuelles

Notes concernant l'union

Publication bans: Mohon, novembre 1881. Quelques jours avant le mariage de Audrain, Jean-Marie et Audrain, Marie Louise, par superstition une femme est morte en tombant dans un puit qui ne contenait qu'un mètre d'eau sans que personne n'ose aller la chercher, un stupide préjugé paysans disant "qu'il est défendu de toucher un noyé ou un pendu avant l'arrivée de la Justice". Le Courrier de Bretagne ajoute dans cet article du 05/11/1881: "Détruire de ces ignorances aussi criminelles que sottes, ce serait un devoir pour nos braves instituteurs".
Publication bans: Mohon, 1882-83. Une tentative d'assassinat à lieu à Mohon le 17 décembre 1882, quelques jours après la naissance de Audrain, François Marie. Il est alors évoqué dans le journal Le Courrier des campagnes du 31/12/1882 des "réunion de jeunes gens de 14 à 21 ans sous le nom de la bande noire qui attaquent le dimanche soir les voyageurs, colporteurs et toutes personnes qu'ils rencontrent" ce que le maire de Mohon récuse dans le journal L'Armorique en janvier 1883: "étrange invention de votre correspndant : la bande, qu'il l'a dise noire ou blanche n'a jamais exité que dans son imagination" quii rétorque "Il est certain que s'il n'y a pas de bande noire à Mohon, un individu y a été tué [la victime étant morte des suites de ses blessures] dans une de ces riques trop fréquentes au sortir des cabarets". Le (présumé) assasin ayant été arrêté répondra de son (présumé) crime devant la justice.
La justice du tribulal de la cour d'assises du Morbihan jugera le 6 mars 1883 Théophile Tabot, 19 ans, cultivateur, au village de Pourhaut à Mohon. Il sera acquité ; ivre le jour des faits il ne se souvient de rien et "l'obscurité et la contradiction des témoignages sont tels que le jury prononce un verdict d'acquitement" indique le Courrier de Bretagne du 14/03/1883.
Publication bans: Mohon, novembre 1881. Quelques jours avant le mariage de Audrain, Jean-Marie et Audrain, Marie Louise, par superstition une femme est morte en tombant dans un puit qui ne contenait qu'un mètre d'eau sans que personne n'ose aller la chercher, un stupide préjugé paysans disant "qu'il est défendu de toucher un noyé ou un pendu avant l'arrivée de la Justice". Le Courrier de Bretagne ajoute dans cet article du 05/11/1881: "Détruire de ces ignorances aussi criminelles que sottes, ce serait un devoir pour nos braves instituteurs".
Publication bans: Mohon, 1882-83. Une tentative d'assassinat à lieu à Mohon le 17 décembre 1882, quelques jours après la naissance de Audrain, François Marie. Il est alors évoqué dans le journal Le Courrier des campagnes du 31/12/1882 des "réunion de jeunes gens de 14 à 21 ans sous le nom de la bande noire qui attaquent le dimanche soir les voyageurs, colporteurs et toutes personnes qu'ils rencontrent" ce que le maire de Mohon récuse dans le journal L'Armorique en janvier 1883: "étrange invention de votre correspndant : la bande, qu'il l'a dise noire ou blanche n'a jamais exité que dans son imagination" quii rétorque "Il est certain que s'il n'y a pas de bande noire à Mohon, un individu y a été tué [la victime étant morte des suites de ses blessures] dans une de ces riques trop fréquentes au sortir des cabarets". Le (présumé) assasin ayant été arrêté répondra de son (présumé) crime devant la justice.
La justice du tribulal de la cour d'assises du Morbihan jugera le 6 mars 1883 Théophile Tabot, 19 ans, cultivateur, au village de Pourhaut à Mohon. Il sera acquité ; ivre le jour des faits il ne se souvient de rien et "l'obscurité et la contradiction des témoignages sont tels que le jury prononce un verdict d'acquitement" indique le Courrier de Bretagne du 14/03/1883.
Publication bans: Mohon, novembre 1881. Quelques jours avant le mariage de Audrain, Jean-Marie et Audrain, Marie Louise, par superstition une femme est morte en tombant dans un puit qui ne contenait qu'un mètre d'eau sans que personne n'ose aller la chercher, un stupide préjugé paysans disant "qu'il est défendu de toucher un noyé ou un pendu avant l'arrivée de la Justice". Le Courrier de Bretagne ajoute dans cet article du 05/11/1881: "Détruire de ces ignorances aussi criminelles que sottes, ce serait un devoir pour nos braves instituteurs".
Publication bans: Mohon, 1882-83. Une tentative d'assassinat à lieu à Mohon le 17 décembre 1882, quelques jours après la naissance de Audrain, François Marie. Il est alors évoqué dans le journal Le Courrier des campagnes du 31/12/1882 des "réunion de jeunes gens de 14 à 21 ans sous le nom de la bande noire qui attaquent le dimanche soir les voyageurs, colporteurs et toutes personnes qu'ils rencontrent" ce que le maire de Mohon récuse dans le journal L'Armorique en janvier 1883: "étrange invention de votre correspndant : la bande, qu'il l'a dise noire ou blanche n'a jamais exité que dans son imagination" quii rétorque "Il est certain que s'il n'y a pas de bande noire à Mohon, un individu y a été tué [la victime étant morte des suites de ses blessures] dans une de ces riques trop fréquentes au sortir des cabarets". Le (présumé) assasin ayant été arrêté répondra de son (présumé) crime devant la justice.
La justice du tribulal de la cour d'assises du Morbihan jugera le 6 mars 1883 Théophile Tabot, 19 ans, cultivateur, au village de Pourhaut à Mohon. Il sera acquité ; ivre le jour des faits il ne se souvient de rien et "l'obscurité et la contradiction des témoignages sont tels que le jury prononce un verdict d'acquitement" indique le Courrier de Bretagne du 14/03/1883.
Publication bans: Mohon, novembre 1881. Quelques jours avant le mariage de Audrain, Jean-Marie et Audrain, Marie Louise, par superstition une femme est morte en tombant dans un puit qui ne contenait qu'un mètre d'eau sans que personne n'ose aller la chercher, un stupide préjugé paysans disant "qu'il est défendu de toucher un noyé ou un pendu avant l'arrivée de la Justice". Le Courrier de Bretagne ajoute dans cet article du 05/11/1881: "Détruire de ces ignorances aussi criminelles que sottes, ce serait un devoir pour nos braves instituteurs".
Publication bans: Mohon, 1882-83. Une tentative d'assassinat à lieu à Mohon le 17 décembre 1882, quelques jours après la naissance de Audrain, François Marie. Il est alors évoqué dans le journal Le Courrier des campagnes du 31/12/1882 des "réunion de jeunes gens de 14 à 21 ans sous le nom de la bande noire qui attaquent le dimanche soir les voyageurs, colporteurs et toutes personnes qu'ils rencontrent" ce que le maire de Mohon récuse dans le journal L'Armorique en janvier 1883: "étrange invention de votre correspndant : la bande, qu'il l'a dise noire ou blanche n'a jamais exité que dans son imagination" quii rétorque "Il est certain que s'il n'y a pas de bande noire à Mohon, un individu y a été tué [la victime étant morte des suites de ses blessures] dans une de ces riques trop fréquentes au sortir des cabarets". Le (présumé) assasin ayant été arrêté répondra de son (présumé) crime devant la justice.
La justice du tribulal de la cour d'assises du Morbihan jugera le 6 mars 1883 Théophile Tabot, 19 ans, cultivateur, au village de Pourhaut à Mohon. Il sera acquité ; ivre le jour des faits il ne se souvient de rien et "l'obscurité et la contradiction des témoignages sont tels que le jury prononce un verdict d'acquitement" indique le Courrier de Bretagne du 14/03/1883.

 Sources

  Photos & documents

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