Cette
généalogie présente principalement les branches de mes ascendants
directs Tuyte, Massing, Camax, Philippoteaux,
Giauque et par alliance
Brunswick.
De nombreux autres ascendants et collatéraux (parfois lointains),
sont mentionnés.
Figure également, pour le plaisir de la recherche, quelques
personnes plus ou moins connus, qui ont croisés mes ascendants sans
avoir aucun lien généalogique avec eux et des généalogies réalisées
pour des tiers.
Je puise principalement mes informations dans les diverses archives
numérisées et parfois sur des arbres en lignes (merci aux auteurs).
Je m'efforce à chaque fois de citer mes sources, vous pouvez en
faire autant si vous réutilisez mes données, car au delà de nos
recherches personnelles, la raison d'être de tous les arbres en
ligne est, avant tout, le partage.
Si vous constatez des erreurs (elles sont inévitables) ou si vous
possédez des informations complémentaires, n'hésitez pas à me
contacter.
Family Book
Après une "traque" virtuelle de quelques mois jâÇÖai identifié formellement ce grand-père maternel, décédé en 1921. Même si la réalité documentaire a dépouillé lâÇÖhomme dâÇÖune partie de sa légende, jâÇÖai pu apprendre à ma mère de 92 ans qui était son père, mort il y a presque un siècle alors quâÇÖelle nâÇÖavait que six mois. Cerise sur le gâteau, jâÇÖai même obtenu son ascendance jusquâÇÖen 1530 grâce aux découvertes quâÇÖa bien voulu partager avec moi un lointain cousin porteur du nom. Merci Michel !
Dès lors, atteint comme tant dâÇÖautres par le virus généalogique, je saute dâÇÖune branche à lâÇÖautre, me trouvant ici un cousinage flatteuravec William GIAUQUE, prix Nobel de chimie en 1949, là une parenté avec Jean-Marie Bastien-Thiry, organisateur de lâÇÖattentat du Petit-Clamart et dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France. Dans la même branche,un MASSING (pas encore dans mon arbre), qui industrialisa la fabrication de la peluche de soie servant à garnir les hauts-de-forme et qui ne verdissait pas à lâÇÖusage, ça paraît cocasse mais il y fit fortune. Sans oublier, dans une autre ascendance, François Nicolas LÉCU, inventeur dâÇÖune cuvette développatrice (sic) pourla photographie qui lui, hélas, ne fit pas fortune...
JâÇÖai égalment découvert Marie-Anne PRÉMONTRÉ, trisaïeul maternelle, exposée (déposée dans le tour dâÇÖabandon) de lâÇÖhospice de Quimperlé en 1838, rameau tranché dâÇÖune branche quirestera mystérieuse, enfant de rien et de (presque) personne mais qui,transplanté de la terre bretonne au macadam dâÇÖune banlieue industrielle, a refait souche. JâÇÖai répertorié tous les enfants exposés à lâÇÖhospice de Quimperlé au 19e siècle, la liste est en ligne.
Du côté de mon beau-père BRUNSWICK, un sien cousin, le fameux MONTEHUS, chanteur-auteur-compositeur libertaire qui se prévalait dâÇÖêtre issue dâÇÖune fratrie de vingt-trois enfants, nombre que jâÇÖai réduit à cinq.
Hélas, par encore de guillotinés sous la terreur, de soldats de Napoléon ou même de morts de la Grande-guerre (ce qui paraît impossible !), mais je ne désespère pas de combler ces fâcheuses lacunes...
Confortablement installé derrière mon écran, jâÇÖeffeuille les registres et je grimpe aux arbres pour déterrer des racines (nâÇÖayons pas peurdu paradoxe) qui se situent majoritairement au Nord et à lâÇÖEst. En Suisse (GIAUQUE), Belgique (TUYTE), Allemagne et Moselle (MASSING), Alsace (BRUNSWICK et ZIMMERLIN), dans le Nord (LÉCU) mais aussi en Normandie (CAMAX) pour ne parler que des patronymes des grands et arrières-grands-parents
Évidement il y a encore de nombreux fils rompus dans la trame du passé,des dates et des lieux manquants qui mâÇÖempêchent de trouver des traces qui existent fatalement, quelques rejetons de filles-mères amputés àjamais dâÇÖune moitié de leurs ascendants. Si câÇÖétait trop facile çanâÇÖaurait aucun intérêt !
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