- Née le 1er février 1752 - La Gaconnière - Les Lucs-sur-Boulogne,85170,Vendée,Pays de la Loire,FRANCE
- Décédée le 28 février 1794 - La Bruère - Les Lucs-sur-Boulogne,85170,Vendée,Pays de la Loire,FRANCE,à l'âge de 42 ans
Parents
- Jean ROUSSEAU 1714-1780
- Marie MARTIN 1718-1779
Union(s) et enfant(s)
- Mariée le 6 septembre 1768, Les Lucs-sur-Boulogne,85170,Vendée,Pays de la Loire,FRANCE, avec Jean MALIDAIN 1745-1794 (voir note)dont
Jean MALIDAIN 1769-1785
Marie MALIDAIN 1771-1780- Pierre MALIDAIN 1773-
- Etienne MALIDAIN 1774-1778
- Louis MALIDAIN 1775-1794
- Jeanne MALIDAIN 1777-
- Anne MALIDAIN 1778-1778
- Louise MALIDAIN 1779-1780
- Marie Anne MALIDAIN 1782-1782
- Jacques MALIDAIN 1784-1794
- Marie MALIDAIN 1786-1819
- Rose MALIDAIN 1788-1794
- Marie Anne MALIDAIN 1790-1794
Fratrie
- Etienne ROUSSEAU 1739-1786/
- Marie ROUSSEAU 1741-1786/
- Jean ROUSSEAU 1743-/1818
- Jeanne ROUSSEAU 1745-1785/
- Catherine ROUSSEAU 1748-1786
- Jeanne Louise ROUSSEAU 1749-1753
- Renée ROUSSEAU 1752-1794
- Louise ROUSSEAU 1753-1775/
- Pierre ROUSSEAU 1755-1805/
Notes
Notes individuelles
naissance age: 40
naissance: 5628B/1752 – LES LUCS SUR BOULOGNE (85) – Baptême de ROUSSEAU Renée
Le premier jour de février mil sept cent cinquante deux a été baptisée Renée née de ce jour fille légitime de Jean ROUSSEAU et de Marie MARTIN de la GACONNIERE de cette paroisse. Le parrain a été Etienne ROUSSEAU et la marraine Renée FETIVEAU qui ne savent signer de ce enquis.
BLANCHARD Vicaire du LUC
deces age: 40
deces: Massacrée par les troupes républicaines
reference: 5628
Notes concernant l'union
mariage: 5536&5628M/1768 LES LUCS SUR BOULOGNE (85) – Mariage de MALIDAIN Jean et de ROUSSEAU Renée
Le même jour , mois et an que dessus (06/09/1768) après les trois publications faites comme il est dit, la cérémonie des fiançailles également observée et en conséquence de la dispense y mentionnée du troisième degré de consanguinité ai aussi donné la bénédiction nuptiale à Jean MALIDAIN fils mineur des dits Pierre MALIDAIN et de feue Marie MARTIN d’une part et à Renée ROUSSEAU fille aussi mineure des dits Jean ROUSSEAU et Marie MARTIN de l’autre part, en présence des mêmes témoins sans qu’il se soit rencontré aucun empêchement civil ni canonique.
Sources
- Naissance: Acte de Baptême - 5628B - Autre - AD 85 - 1752 P58/104 - Fichier
5628B/1752 – LES LUCS SUR BOULOGNE (85) – Baptême de ROUSSEAU Renée
Le premier jour de février mil sept cent cinquante deux a été baptisée Renée née de ce jour fille légitime de Jean ROUSSEAU et de Marie MARTIN de la GASCONIERE de cette paroisse. Le parrain a été Etienne ROUSSEAU et la marraine Renée FETIVEAU qui ne savent signer de ce enquis.
BLANCHARD Vicaire du LUC - Union: Acte de Mariage - 5536M5628 - Autre - AD 85 - 1768 P40/123 - Fichier
5536&5628M/1768 LES LUCS SUR BOULOGNE (85) – Mariage de MALIDAIN Jean et de ROUSSEAU Renée
Le même jour , mois et an que dessus (06/09/1768) après les trois publications faites comme il est dit, la cérémonie des fiançailles également observée et en conséquence de la dispense y mentionnée du troisième degré de consanguinité ai aussi donné la bénédiction nuptiale à Jean MALIDAIN fils mineur des dits Pierre MALIDAIN et de feue Marie MARTIN d’une part et à Renée ROUSSEAU fille aussi mineure des dits Jean ROUSSEAU et Marie MARTIN de l’autre part, en présence des mêmes témoins sans qu’il se soit rencontré aucun empêchement civil ni canonique. - Décès: Plaques commémoratives du Massacre des Lucs le 28/02/1794 - P1000557 - Autre - Photos Chapelle du Petit Lucs - 1794 - Other - Fichier
Le 28 février 1794, tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne. Mais sur le chemin, il sont attaqués par Charette et mis en déroute. Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, se retire. Martincourt, un lieutenant de Cordellier s'en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers Les Lucs avec l'intention d'y exercer des représailles.
Les Républicains, une fois entrés dans le village, rassemblent la population devant l'église. Les villageois n'étaient guère en mesure de se défendre, la population présente comptant principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans. La quasi-absence d'hommes adultes convainquit les Républicains que ces derniers avaient participé aux combats sous les ordres de Charette. Matincourt avait choisi de ne pas faire de quartier ; de plus, il souhaitait que l'opération se fasse en économisant le plus de cartouches possibles. Les soldats firent donc rentrer la population dans l'église jusqu'à ce que, tout à coup, la cohue s'arrête. L'église s'avérant trop petite pour pouvoir contenir toute la population du village. Les Républicains mirent donc leur baïonnette au canon, chargèrent et massacrèrent toutes les personnes restées à l'extérieur. Les portes de la chapelle furent ensuite fermées, emprisonnant les civils à l'intérieur. L'église fut ensuite incendiée et des tirs de canons provoquèrent son éboulement. Toute la population, soit 564 personnes avaient été massacrée. Le soir, un soldat nommé Chapelain écrivit dans son journal: Aujourd'hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter, à peu de frais, toute une nichée de calottins qui brandissaient leurs insignes du fanatisme. Nos colonnes ont progressé normalement.
Photos & documents
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