François EugèneRICHARD

Heure: 1:00
Durant l'année 1892,
Politique : 10 janvier, Annecy : Election législative partielle après le décès accidentel de Félix Burnier. Le docteur Bernard Thonion, républicain, est élu par 8648 voix contre 4937 à Jules Agnelet, négociant-manufacturier à Paris, originaire de Thônes.
-Fait Divers : 11-12 juillet : l´établissement de bains de Saint-Gervais est dévasté par un torrent d´eau et de boue.
Société : 4 septembre, Chambéry : inauguration de la statue de la Sasson par le président Sadi Carnot et le sculpteur Falguière.
Economie : 5 septembre, Aix-les-Bains : inauguration officielle par le ministre Jules Roche du premier chemin de fer à crémaillère construit en France, d´Aix-les-Bains au Revard. Il circule jusqu´au 25 octobre 1935. Et en 1936 pour les marchandises.
Société : Annecy : Création du journal La Croix de Haute-Savoie.
Société : Evian : le casino et les bains sont réunis en une société unique qui conclut avec la ville un contrat de concession de 75 ans.

Il est ouvrier boulangé chez Jean Rey son futur beau frère.
Source : AD74 - Thônes - 6 M 385 - Recensement de Population - 1911 - Vue 79
Le Thuy
Rey Jean 28 ans Chef Boulanger
Rey Clotilde 28 ans Femme Epicière
Rey François 25 ans Frère Boulanger
Richard François 19 ans Ouvrier Garçon boulanger

mobilisé
Source : AD74_NUM - Registre matricule - 1 R 800 -

Registre
Bureau de recrutement : Annecy
N° de matricule de recrutement : 1024
Classe de mobilisation : 1912

État civil
Richard François Eugéne
Né le 11 septembre 1892 à Esserts Esery , canton de Reignier, département de la Haute Savoie
Domicilié à Esserts Esery
Boulanger

Père
Richard Louis Marie
Domicile – Esserts Esery

Mère
Forestier Andréanne

Signalement
Description physique
Cheveux : Châtains foncé - Yeux : Châtains clair - Front : Proéminent - Nez : Sinueux et long - Bouche : Moyenne - Visage : Allongé – Menton saillant - Taille : 1,68 m
Degré d'instruction
Générale : 2

Décision du conseil de révision et motifs
Inscrit sous le N° 66 de la liste du canton de Reignier
Classé dans la première partie de la liste en 1913 :

Données militaires ou civiles
Campagne : conte l'allezur 2 août 1914

Soldat au 97ème régiment d’Infanterie, blessé par un éclat d’obus le 20 octobre 1915 à Souchez, atteint à la main droite. Hospitalisé à l’hôpital 35 à Paris Plage du 24 octobre 1915 au 22 novembre 1915.
Nommé 1ère classe le 17 04 1916.
Soldat au 97ème régiment d’Infanterie, blessé par un éclat d’obus le 24 juillet 1918 à Reims, atteint au gros orteil du pied droit. Hospitalisé à hôpital de la Compagnie 46 à Privas du 21 août 1918 au 16 septembre 1918.
Envoyé en congé le 23 août 1919.

Blessures et citations
Blessé le 11 10 1915 en xx plaie en séton de la main droite par éclat d’obus.
Blessé le 24 07 1918 au Bois le Roi plaie gros orteil par éclat d’obus.

Décoré de la croix de guerre 1 étoile de bronze.
Décoré de la médaille militaire par décret présidentiel du 7 octobre 1932, bulletin officiel du 19 octobre 1932.
Citation à l’ordre du régiment le 4 4 1917 N° 468
‘’ Bon soldat courageux et plein d’entrain, le 25 mars 1917 a fait preuve de sang-froid en assurant le service de sa pièce sous un bombardement violent. A été blessé le 11 octobre 1915’’

Proposé pour pension définitive 15% par la commission de réforme de Chambery du 5 mai 1935 pour séquelles de pleurésie purulente .

Campagne contre l’Allemagne
Intérieur CS le 02 08 1914
Aux armées CD du 03 08 1914 au 10 10 1915
Intérieur RdG CD du 11 10 1915 au 27 12 1915
Aux armées CD du 28 12 1915 au 23 07 1918
Intérieur RdG CD du 24 07 1918 au 18 10 1918
Aux armées CD du 19 10 1918 au 11 11 1918
Aux armées RdG CD du 12 11 1918 au 23 07 1919
Aux armées CS du 24 07 1919 au 22 08 1919


Localités habitées
7 juin 1928 Annemasse rue de la gare département Haute Savoie

Retranscription journal des unités
97ème régiment d’infanterie 5ème Compagnie
Reillon
Richard François Eugène Blessé le 20 octobre 1915 à Souchez

Source Mémoire des hommes 97ème régiment d’infanterie 26 N 672/12 19 juin1915 au 31 décembre 1916 Vues 20 et suite

Retranscription partielle des préparations et opérations du 10 au 12 octobre 1915
Vues 34, 35,36,37



Vues 24, 25, 26

3° Historique des opérations du Bataillon primitivement de 2ème ligne (2èmeBataillon)
a ) 25 Septembre - La 5èmeCompagnie en exécution de l’ordre d’attaque précité participe toute entière avec le 4ème Bataillon à l’assaut de 12h25. Dès 13h30 après nouvelle venues du front de bataille la 7ème Compagnie reçoit l’ordre de se porter sur DD’ ; vers 17h elle envoie sur l’arrière quelques prisonniers allemands dont 1 officier
.
A 16h40 le chef de Bataillon reçoit du chef de Corps l’ordre d’engager ses Compagnies dans une nouvelle attaque générale fixée à 17 heures. Ci-joint copie de l’ordre d’attaque donné par le chef de Corps :
" La 88ème brigade a pour mission de reprendre aujourd’hui à 17h l’attaque des objectifs désignés dans l’ordre d’attaque précédent ; elle sera appuyée à droite par un mouvement simultané de la 55e D I.
L’attaque sera menée : à droite par la 2e Compagnie du 28e Bataillon ………."


Au reçu de cet ordre, le chef de Bataillon porte ses unités sur la 1ère ligne (6e et 8e Compagnie et 8e Compagnie du 1er Bataillon) et s’installe de sa personne à la Sape S5 à 16h55. L’inclémence du temps et l’état déplorable des boyaux gênent singulièrement le mouvement et le placement des unités ; d’autre part, on constate qu’à notre droite la liaison est mal établie avec la 55e DI qui doit participer à l’action. De ce fait l’opération se trouve obligatoirement suspendue et les unités se bornent à occuper, dans la mesure du possible la tranchée de départ et sa parallèle, tandis que la liaison est cherchée et établie sommairement avec la 55e DI. A 20h40 les éléments de la 7e Compagnie qui se trouvent toujours dans D sont relevés par3 sections de la 8e Compagnie et retournent à P Varoquier. Aucun incident notable dans la nuit.
b ) 26 Septembre--- Dans la matinée, l’ordre est donné au chef de Bataillon d’appuyer une attaque que la 7e DI à notre gauche et la 55e DI à notre droite doivent mener sur leurs objectives respectifs de la veille ; mais le mouvement de cette dernière, fixé d’abord à 9 heures, puis à 11 heures, enfin à 11h10 ne se prononçant pas, le 2e Bataillon ne peut agir. A 15 heures le chef de Corps communique au chef de Bataillon qu’à notre gauche le 159e RI repoussé de B va tenter de le reprendre par surprise et que le 1er Bataillon tentera lui aussi un coup de main sur G’ ; le chef du 2e Bataillon prescrit alors au Comdt de la 8e Compagnie de progresser par la gauche jusqu’en D’, en se liant au mouvement. L’opération est esquissée, mais l’avance est impossible (bombardement intense, pertes assez sérieuses)
Vers 18h des allemands en nombre se présentent devant nos tranchées pour se rendre, d’un interrogatoire rapide de certains d’entre eux ; il résulte que D’ ne serait pas occupé, aussi dès 18h55, l’ordre est-il donné aux 8e et 3e Compagnie de se porter en avant, en liaison à gauche avec le 1er Bataillon 97e à droite avec le 246e RI. La 6e Compagnie passe de la P Savourey à la tranchée de départ ; la P Savourney est occupée par 1 Compagnie du 61e Bataillon de chasseurs, mise à la disposition duchef du 2e Bataillon.
Le mouvement commencé de suite réussit, la 8e Compagniese fixe en avant de D’ et creuse une tranchée de 40 m environ en avant de cette ligne. La situation est alors la suivante : Le 2e Bataillon se relie par sa gauche au boyau des Uhland, au 1er Bataillon 97e par la droite (un peu en retrait) au boyau de l’Ersat, à la 55e DI. Le génie creuse un boyau d’accès vers D’ et la nouvelle tranchée.
A 22 heures, nouvelle progression, quoique légère, de la 8e Compagnie qui s’accroche sur le prolongement de G’’ vers le S, restant en liaison par la gauche au 1er Bataillon qui a lui aussi un peu progressé, par la droite avec la 554e DI.
C ) 27 Septembre ----- à 6 heures, avis est donné par le Chef de Corps de la reprise de l’attaque à 7 heures. Le Chef de Bataillon prend toutes dispositions utiles concernant le placement initial de ses unités, sa liaison avec la 55e DI et s’installe de sa personne en D’ avec un poste téléphonique. Le bombardement est extrêmement violent et l’attaque qui n’a pas lieu doit être reprise à 14h ; dès 13h30, ordre est donné par le Chef du 2e Bataillon, aux 3e et 8e Compagnie de progresser sur D’’ en liaison avec la 55e DI qui fait savoir qu’elle a pu pousser un petit poste dans le boyau de l’Erzat. Bientôt, à 15h55, la 8e Compagnie en liaison à gauche avec le 1er Bataillon occupe le boyau de Laudsturn ; certain éléments arrivent jusqu’auxpentes O de 119 sur un talus à hauteur du boyau nouveau ou ils sont arrêtés par des feux de mitrailleuses. A 18 heures la situation est assise : 8e Compagnie en grande partie dans le Landsturn, 6e et 3e Compagnie dans D’’, 7e dans D’.




Vue 28
II Remarques sur les opérations du 25 septembre au 2 octobre.


Malgré une préparation d’artillerie extrêmement violente, par suite de la configuration spéciale du terrain de la lutte, les troupes d’assaut furent dès la sortie des tranchées, soumises non seulement au tir de barrage prévu, mais encore à un feu de mousquetonnerie et de mitrailleuses très violent, dont le résultat fût de ne permettre qu’une avance insignifiante au Bataillon de droite et d’arrêter toute progression du Bataillon de gauche.
L’objectif assigné, la crête 119, était séparée de nos parallèles de départ par un ravin profond et marécageux, les Ecouloirs, dont les 2 débouchés (Souchez au Nord- Bois des Ecouloirs et tête du ravin au S.) étaient fortement tenues par des mitrailleuses, aussi dès qu’elles se présentèrent sur les pentes descendantes (O) du ravin, les Compagnies d’attaque furent prises à droite et à gauche par le feu de ces mitrailleuses, subirent des pertes et ne purent avancer. La marche en avant ne fut réellement reprise que lorsque les troupes voisines occupèrent successivement les abords de Souchez et la tête du ravin des Ecouloirs. La progression sur la pente de 119 pendant les journées des 27, 28 et 29 sept se fit lentement, mais en concordance avec les unités voisines, et fût de ce fait autrement plus facile et moins meurtrière que la traversée du ravin.
On peut à la suite des combats du 25/9 au 2/10 faire différentes remarques dont ci-après les principales.
1er le bombardement intense de notre artillerie a bouleversé les tranchées allemandes qui se trouvaient en face de nous, mais laissa à peu près intact les abris ennemis installés dans la tranchée de Cologne ; aussi fut-il possible aux défenseurs degarnir à nouveau partiellement les tranchées et d’arrêter notre marche par son feu.
2e dans un assaut tel que celui du 25/9 ; l’unité placé à droite du 97e RI avait une heure retardant d’au moins 10 minutes sur l’heure officielle donnée au 97e RI. L’ennemi put donc concentrer son feu sur les troupes qui se montrèrent les premièreset arrêter leur mouvement.
3e Quand au cours des opérations une attaque doit être à nouveau montée, le temps nécessaire à l’organiser est forcément très long ; et celui qui l’ordonne ne peut compter sur une exécution immédiate ; il faut souvent des heures entières à un Bataillonqui doit circuler à travers un terrain ravagé, des boyaux bouleversés et encombrés de cadavres et de blessés, pour aller se placer face à son objectif.
4e . On peut se demander, si un tir d’efficacité de l’artillerie, prolongé et violent précédent immédiatement l’attaque (comme le 9 mai) n’aurait pas obtenue un résultat meilleur ; l’assaillant aurait pu profiter de la surprise et de l’abrutissement de l’ennemi pour arriver d’un bond au pied de la pente 119. ………..



Vue 36
Compte rendu des opérations de la journée du 11 octobre 1915

Au coup de corne du chef de Bataillon, répété par les sifflets des Cdts de Compagnie de tête (1er et 3e ) la 1ere vague de la Compagnie de gauche, portant des T préparés en avance de la tranchée des Walkefries, se porte à l’attaque de son objectif.La Compagnie de droite se porte en même temps de F’’ à l’attaque du petit poste allemand qui lui fait face.
L’attaque reçoit immédiatement un feu de mousqueterie violent, en même temps qu’un tir de barrage à lieu sur la tranchée de départ. La Compagnie de droite engage la ,lutte à coups de pétards contre le PP allemand ; mais étant en pointe par rapport aux élément de gauche partant des Walkyries, les hommes sont obligés, devant la résistance du poste ennemi, de se terrer momentanément dans des trous d’obus ; c’est à ce moment que le Lt Duboc, Cdt la Compagnie , voit les allemands sortir jusqu’àmis corps de leurs tranchées, ne paraissant nullement démoralisés par les bombardements et, au coude à coude , faisant un feu très ajusté.
Quant aux vagues de gauche, partant de la Walkyrie, progressant sous un feu très violent pendant 60 ou 80 m ; elles sont bientôt obligées de se terrer. Certains éléments arrivèrent jusqu’aux défenses accessoires ennemis, parmi celles-ci le Ss Lt Emeriaut, rentré seulement à la nuit tombée, rendit compte que les fils de fer étaient à peu près détruits, mais que la tranchée elle-même n’était pas endommagée et semblait très forte et bien organisée.
………

Vue 37
B Sous-Secteur du centre
…………
………….
A 16h 15 pour être sûr d’enlever plus énergiquement ses hommes à l’assaut, le chef de Bataillon monte en personne sur la tranchée de départ et donne le signal de l’assaut. La 1er vague de la compagnie de gauche sort avec ensemble et, sous un feu violent, gagne environ 60 m et est obligée de se terrer ; le St Lt Tanchot qui commandait cette vague, est tué net à quelques mètres de la tranchée. La 1er vague de la Compagnie de droite éprouve les mêmes difficultés et doit se terrer. A ce moment le terrain était littéralement balayé par les feux d’infanterie et les mitrailleuses. Malgré tous ces efforts le Chef de Bataillon n’a pu gagner plus de terrain.
……….
………..
G Sous secteur de gauche.

A 16h 15 la tranchée de départ donne le même signal de l’assaut. Le Comdt de la Compagnie fournissant la 1ere vague de droite, Lt Paissac (12e Compagnie) monte sur le parapet et crie "En avant ", cette vague commandée par le Ss Lt Barbaz se porte en avant, mais une rafale de feu de mitrailleuse qui la prend de flanc, arrête la progression au bout d’une quinzaine de mètres, le Ss Lt Barbaz est tué d’une balle dans la bouche.
A la même heure, débouche la 1er vague de la Compagnie de gauche (10e Compagnie) sous le commandement du Ss Lt Danguin. Elle éprouve les mêmes difficultés que la vague de droite et doit se terrer aussi rapidement ; le Ss Lt Danguin est blessé d’uneballe à l’épaule, l’adjudant Laval chef de section, prenant le commandement du peloton est aussitôt tué. ………….

……….



Vue 29 X0022_X6

Pertes du 25 septembre au 20 octobre inclus

Officiers

Tués : M M Le Lieutt Peuget ; Lieutt Liautey ; SS Lieutts Gery, Satre, Genevois.
Bléssés : M. M. Le Capitaine Guyot ; Lieutts Couillaud, Lesaint, Fieschi ; SS Lieutts Langlois, Porte, Telllier,Monteil, Cuillere, Domiés, Leibig, Paccot, Faisan.
Disparu : M. le SS Lieutt Perron. ,

tués 5
Récapitulation blessés 13 19
disparu 1


Troupes

tués 135
Récapitulation blessés 383 808
disparu 290



1ère Cie Mermaz (sergent), Demaistre (caporal fourrier), Vancoret, Geben, Perin, Rolland, Bagard, Crespon, Gauthier, Macabet (soldats).

2ème Cieect… Suit une liste nominative par compagnie des hommes de troupe tués entre le 25 septembre et le 20 octobre.



Vue 40 X0022_X7

Pertes du 17 au 23 octobre


tués 4
Récapitulation
blessés 20


----------------- Tués -----------------.

Joubert, soldat 2ème Cie ; Frappat J Claude (13ème), Clunet E (13ème) Jouvenou Marius (15ème).


----------------- Blessés -----------------.

1ere Desbiolles J (soldat)
2ème Chappuis (Sergent) Pulvin (caporal), Jamaique, Maire (soldats).
4ème Pellet, Massengal, (soldats).
5ème Caute F, Astier, Mayet, (soldats).
6ème Rossat (adjudant)
7ème Buttin, Faguin (soldats).
8ème Real (soldat).
12ème Muzet (sergent).
14ème Pannetier (caporal)
16ème Féchoz (sergent) Armanet (caporal)
M.C Richard Lafont (soldats).
C.H.R Desmonceau Claude (soldats).

• Remarque :
  M.C. = Mitrailleuse de Compagnie
  M.B. = Mitrailleuse de Brigade
  CHR = Corps Hors Rang (approvisionnement, transmission,….)
  
  
  Vue 41
  
  ………
  17 au 23 octobre
  Secteur 77 DI
  I Opérations
  Cf dossier  "secteur 77ème division"
  II Personnel
  Arrivé au corps du St Lieut T.T Perelli (A) venu de l’artillerie, affecté au 4ème baton (Cie)
  Le 23 remise de la croix de la légion d’honneur au Lieutenant Rey ( R) Ct 15 Cie (ordre D du G Q G en date du )
  
  
  
  
  Citation à l’ordre du régiment pour son courage lors de l’attaque du 25 mars 1917
  
  

Source : Recensement 6 M 122 Annemasse 1926 vue 6
Sur l' acte de recensement la famille Richard habite 5 rue de la gare à Annemasse .

Source : Recencement 6 M 122 Annemasse 1931 vue 18
Sur l' acte de recencement la famille Richard habite 23 rue de la gare à Annemasse .

En 1932, la famille qui habitait 6 rue de la Gare à coté de la Grande Fabrique déménage dans une maison que François a fait construire route de Bonneville. Cette maison a été financée grâce à la loi Loucheur.