Je dois à Léonie, la soeur de mon arrière-grand-père EmileLANDIER, que j'ai interrogée quand j'avais 10 ans (1961), levirus de la généalogie. Mais c'est depuisla fin de ma carrière que je peux vraiment consacrer du temps àreconstruire notre passé familial.
Merci à tous ceux qui m'ont envoyé grâcieusement desrenseignements, merci à ceux dont j'ai grapillé des bouts d'arbres(j'ai veillé à les citer dans mes sources), merci à notre cousinwallon que nous ne connaissions pas avant que je le retrouve surune branche.