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7 médias disponibles 7 médias disponibles A participé à la Grande GuerreL'actualité de la guerre au jour le jourUnité(s) : 9e régiment d'artillerie (9e RA) Domicile lors de la mobilisation : Douai (59) |
Parents
- Florimond* POL 1861-1908 (Meunier - Rentier)
- Celeste* Julia LASMEZAS 1862-1938
Union(s) et enfant(s)
- Marié le 3 août 1915, Belfort, 90010, Territoire de Belfort, Franche-Comté, France, avec Yvonne* Marie Jeanne MENEBOODE 1895-1987 (Parents :Henri *Pierre MENEBOODE 1860-1924 & Gabrielle* Berthe Augustine LEUREELE 1872-1935)dont
Alain Robert Henri POL 1916-2013 Marié le 13 septembre 1939, Notre-Dame-d'Oé, 37172, Indre-et-Loire, Centre-Val de Loire, France, avec Jeane Jeanine Paulette RENAULD 1919-2013
Alain Robert Henri POL 1916-2013 Marié le 13 septembre 1939, Notre-Dame-d'Oé, 37172, Indre-et-Loire, Centre-Val de Loire, France, avec Jeanne Alexandrine FOGLIO 1918-2003
Alain Robert Henri POL 1916-2013 Marié le 18 avril 1958, Paris VIIe, 75107, Paris, Ile-de-France, France, avec Odette Augustine Jeanne GOURMEL 1923-2010
Henry* Albert Antoine POL 1921-1947 Marié le 8 mai 1943, Paris, VIe, 75000, Paris, Ile-de-France, France, avec Raymonde* Marie Paule DORNÈS 1923-1947
Grands parents paternels, oncles et tantes
François* Jérome POL 1826-1901
Henriette* Joseph MARTIN 1830-1883
Antoine Francis POL 1855-1881
Florimond* POL 1861-1908
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Grands parents maternels, oncles et tantes
Cérysse* Magdeleine Gabriel LASMEZAS 1834-1875
(1861)
Célina* Joseph JEUNIAU 1842-1898
Celeste* Julia LASMEZAS 1862-1938
Angèle Marie Marguerite LASMEZAS 1874
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Événements
26 août 1888 : | 26 août 1888 :Naissance - (16 rue du petit pont) Douai, 59178, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France |
--- : | --- :Décoration Chevalier de la Légion d'Honneur Sources: Base Leonore - Légion d'Honneur |
--- : | --- :Décoration Croix de guerre 14-18 Sources: Tombe |
--- : | --- :Décoration Fait Officier du Mérite militaire, en sauvant sa batterie contre l'ennemi |
2 août 1914 : | 2 août 1914 :Participe à la nguerre de 14 - 18 En 1914, officier puis capitaine au 9e régiment d'artillerie, il obtient La Croix de Guerre, puis La Croix d'officier du mérite militaire en sauvant sa batterie contre l'ennemi. Plus tard , il est fait officier de la Légion d'Honneur. Cette même année, il rencontre le colonel Meneboode et fait la connaissance de sa fille Yvonne, qui deviendra sa femme. Le 22 septembre 1917, son beau-frère Henri Albert est tué par un obus. Il écrit à sa mémoire un recueil de vers, émouvant hommage posthume. |
3 août 1915 : | 3 août 1915 :Mariage (avec Yvonne* Marie Jeanne MENEBOODE) - Belfort, 90010, Territoire de Belfort, Franche-Comté, France Son épouse est la fille du colonel Meneboode, rencontré en 1914 |
21 juin 1971 : | 21 juin 1971 :Décès - Seine-Port, 77447, Seine-et-Marne, Ile-de-France, France |
Notes
Notes individuelles
Après des études au lycée de Douai (1893-1906), il est reçu en 1909 à l'École centrale de Paris, dont il sort diplômé ingénieur des arts et manufactures, promotion 1913.
Il combat comme capitaine d'artillerie pendant la Première Guerre mondiale.
Il entre au service des mines de La Houve à Strasbourg en 1919.En 1932, il est directeur général des Établissements Châtel & Dollfus, négoce de combustibles minéraux et végétaux, rue de la Bienfaisance à Paris, puis directeur des mines de la Houve à Srasbourg.
Ses œuvres principales sont :Emotions poétiques-1918 où figure "Les passantes" mis en musique par Georges Brassens.Le livre de maman-1924,Destins-1941,Plaisirs d'amour-1947,Croquis-1970 et Coktails-1971.
Bruno Antoine Pol, (son petit-fils) : « L’avant-veille de sa mort le 19 juin 1971, mon grand père savait déjà que son poème Les Passantes lui survivrait. Il était heureux malgré sa maladie et la mort qu’il savait proche. Il me dit : « - Moi j’ai écrit Les Passantes, toi tu les entendras chanter pour moi… »En 1944, Georges Brassens trouve ce recueil chez un bouquiniste de la Porte de Vanves et en le feuilletant découvre le poème, il achète le livre pour 2 ou 3 francs se privant d’un sandwich aux dire de René Fallet. Il se met alors aussitôt à écrire les premières notes de musique. Sa mélodie va le travailler jusqu’en 1964 et longtemps encore après… Il fût composé en 1911 ».
"Georges aurait tant voulu rencontrer cet homme qu'il ne connaissait que par l'écrit. En Août 1971, il l'appelle au téléphone, c'est sa femme Yvonne qui lui répond : " Il vient de mourir...". Brassens en fut inconsolable car il avait manqué un rendez-vous après avoir trop tardé."
Photos & documents
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