MarieMONTÉ

Papa, qui était en délicatesse avec la langue de Molière, me disaiten breton, lorsque ma conduite lui semblait un peuaudacieuse, « fils, tu ne sais pas d'où tuviens ».

Le savait il lui même ? Il était très discret sur lesujet.

Ma curiosité était piquée. C'est arrivé à la retraite que je mesuis lancé dans les recherches.

Des notables du Faou aux mendiants de Plomodiern , des meuniers deDinéault aux tisserands de Locronan, c'est quatre siècles dedécouverte de la société sud finisterienne.

La jonction  à quelques familles ,Coroller, Le Borgne, LeForestier ...m'a permis de remonter bien au-delà, l'histoire de laBretagne bien sur mais aussi des branches allant vers les Pictes,les Vikings, les Huns .......

Je remercie particulièrementJeannine CHRISTIEN et Hervé GUILLAMOT pour leur travail sur deuxdes branches de cet arbre, je remercie également Michèle Le BRASpour sa connaissance de Quéménéven et tous les autres généalogistesqui m'ont apportés leur aide

Toutes remarques sur d'éventuelles erreurs et les complémentsd'information seront les bienvenus

Nota : Afin de géo localiser les actes, j'ai priscertaines libertés avec le dictionnaire des lieux, beaucoupd'endroit ont eu une traduction française pendant longtemps et ontretrouvés aujourd'hui leur nom breton. Exemple « la villeneuve » qu'on retrouve dans beaucoup de commune redevient« Kernévez »