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A voir sur cet arbre : Mathieu JABOULAY - Gilles de ROBIEN - Jacques PERRET - Antoine PINAY - Jean Baptiste BERLIER - Charles BOSSUT - Georges CHAVANES - Andrée PUTMANN - Abbé PIERRE - Antoine BRENIER de MONTMORAND - Félix FAURE - Franck RIBOUD - Albin CHALANDON - Philippe ETIENNE - Jean Pierre BACHASSON - Antoine LAVOISIER - André Barthélémy BOISSONNET - André HERMIL - Léon ETIENNE - Pierre HANOTEAU - Hippolyte TAMPUCCI - Lucien REBATET - Hippolyte CHARLES - Paul LEYDIER - Jean Baptiste GUIRAUD - Michel FROMENTOUX - Marthe ALLARD & Léon DAUDET - Sacha GUITRY - Jacqueline DELUBAC - Jean Claude THOMAS - Mgr. Jean HERMIL - Eugène Napoléon ETIENNE ...

 

 Family Book



  '''Les ESTIENNE et apparentés.'''


"Souviens-toi de qui tu es, mon fils, et ne forlignes pas..."
[sentence usuelle dans les anciens tournois]
Summary

 1 - L'histoire des BLANC, de Plaisians et Bédoin... à Marseille.

L'histoire des BLANC porte ses empreintes dès 1540 sur la paroisse de Plaisians, dans le baillage du Buis, aux portes des Baronnies, diocèse de Gap, et se poursuit au cours du 18° siècle (après la Grande Peste dans le Comtat Venaissin) sur Bédoin aux pieds du Mont Ventoux ! Notre ascendant le plus proche et connu fut Jean Pierre BLANC, resté longtemps introuvable/intraçable, et qui nous a permis de faire la jonction avec ses ancêtres. Il est né à Bédoin pendant la Révolution, qui coutât à ce village un grand nombre de martyres de la foi, parmi lesquels un membre de la famille, François JOUVE, qui fut condamné à mort le 9 prairial an 2 par le tribunal criminel du département comme contre-révolutionnaire et guillotiné. Ce même Jean-Pierre a ensuite disparu vers 1850, nul ne sait où ni dans quelles conditions... Le nom de sa femme reste attaché à un gite d'altitude qui subsiste et fonctionne encore sur le Mont Ventoux, le Chalet Reynard. Une de ses filles est partie à Pondichéry en Inde, où elle s'est mariée avec un officier français, union dont il subsiste encore une nombreuse descendance.En remontant plus avant, sur Plaisians, nul doute que l'on trouverait encore plein de cousins tant les BLANC étaient nombreux. On notera qu'une fille BLANC a épousé un LEYDIER, fils du Consul de Plaisians, ce nom étant toujours porté et honorablement connu dans la drôme et la famille Leydier ayant fourni des personnages célèbres dans toute la région.


 2 - Les CHAPPUIS de Condrieu, une ascendance noble.

Sous l'Ancien Régime, les terres de Condrieu, placées sous la suzeraineté de l'Eglise de Lyon, étaient administrées par une famille dont les hommes d'armes avaient pris part aux croisades : les CHAPPUIS, dont nous sommes issus.

Il y eût :d'abord Claude CHAPPUIS, Seigneur de Condrieu et de Chamelit (né vers 1065 +1109), qui épousa Aline de Faugerolles,Jean (né vers 1100), qui épousa en 1154 Pétronille de Valluy,Hugues (né vers 1154), qui épousa Jeanne de Montecla,Jean (né vers 1190 +1235), qui épousa Jeannette de Roux,Pierre (né vers 1230), qui épousa en 1255 Marguerite Carrier,Antoine (né en 1256), qui épousa Claudine de Montecia,Guillaume (né vers 1290), qui épousa Isabelle de Fauquelin,Durand (né vers 1320 +1377), qui épousa Marguerite d'Arlempdes,Pierre (né vers 1340 +1412), qui épousa Alix de Cunières,Louis, Seigneur de La Chapelle, de Bienassis, de Passins et de Chonas, (né vers 1370 +1440), qui épousa en 1395 Drevonne de Génas,

Louis et Drevonne eurent deux fils dont les branches se séparent :- Jérome (né vers 1400 +après 1468), forme la souche des Seigneurs de Pommiers, et épousa en 1430 Huguette de la Besse.- Thomas (né vers 1400 +1466), forme la souche des Seigneurs de Passin & de Bienassis, et épousa en 1437 Jeanne Peyrollier.

Avec ce couple Jérôme CHAPPUIS x Huguette de la Besse on retrouvera - 7 générations plus tard - un mariage COUTURIER x MEILLAN, le 9 juillet 1720, à Saint Jean-en-Royans, puis une alliance Ferdinand ETIENNE avec Léoncie Elisabeth ABISSET.

http://books.google.fr/books?id=f_dCtzspcusC&pg=PA138&dq=chappuis+seigneur+de+condrieu&hl=fr&sa=X&ei=jVKmT46tC6KQ0AXMgtDyAw&ved=0CEAQ6AEwAQ#v=onepage&q=chappuis%20seigneur%20de%20condrieu&f=false

Pour l'anecdote, une fille naquît également de ce même couple, Jeannette, qui épousa en 1427 Jean de la Colombières, et dont la descendance jusqu'à nos jours a donné naissance à l'homme politique Gilles de Robien.


 3 - Les DUPLAY - Une famille du terroir français.

Cette famille est originaire du Play, sur la paroisse de St.Just-Malmont.

On tient pour certain que son nom vient du lieu de ce hameau, ce que confirme un terrier du mandement de St. Didier datant de 1592, lequel indique que le hameau était habité par deux familles Du Play : celle de Jehan et celle de Louys (que l'on retrouve en cet arbre).

Vers 1730, Jean partage avec son frère Jacques, "sur parole" les 2 propriétés familiales. Jacques prit la propriété de Rebaudes, sur la paroisse de Jonzieux, et Jean, celle du Fraisse, sur la commune de St Victor Malescours.

En 1754, par son mariage avec Gabriel DUPLAY, Catherine Didier apporte en dot le domaine des Grandes Fraches sur la paroisse de St.Just-Malmont.Gabriel démontra du gout pour les affaires commerciales et fit valoir ses domaines du Fraisse et de la Mure. Son commerce de fer lui permit de s'approvisionner en vins de Bourgogne à Chalons et d'en fournir toute une partie du Velay. La Révolution lui fit abandonner ce commerce, mais elle lui fournit l'occasion de développer les grandes qualités de son coeur et surtout son attachement à la foi de ses pères. Il fut le premier à reconnaitre le "curé intrus" Dazo qui fut bien vite obligé de quitter la paroisse de St.Victor.... Les prêtres proscrits trouvèrent toujours chez lui un asile assuré et les fidèles du voisinage venaient en foule recueillir les secours et instructions de la religion. Dénoncé, il fut obligé de se cacher avec sa compagne durant les six derniers mois de la Terreur...... Quand le commerce put reprendre, se voyant à la tête de six fils dont plusieurs annonçaient des dispositions remarquables pour le commerce, il prit la résolution de descendre sur St.Etienne où il commenca l'exploitation de la rubanerie...

Plus tard, Mathieu abandonna à ses frères la maison commerciale qu'il avait fondé à Bordeaux et commenca l'exploitation d'un nouveau commerce avec voyageurs dans le Midi, le Centre et l'Est de la France. Il a été durant sa vie entière un catholique sincère et d'une très grande intégrité commerciale. Il fut Président du Conseil de Fabrique de la paroisse de Saint-Etienne et membre du Conseil Municipal de la commune de Valbenoite.

L'histoire complète est racontée dans la Notice historique sur la paroisse de Saint-Just-Malmont de Jean Theillère.

http://books.google.fr/books/reader?id=k-VLAAAAYAAJ&hl=fr&printsec=frontcover&output=reader

Ces ancêtres DUPLAY sont à l'origine de deux familles ETIENNE contemporaines : celle d'Eugène, qui fait souche à Saint-Etienne en 1922, et celle de Paul, qui fait souche à Lyon en 1904.

Pour celle d'Eugène ETIENNE, la descendance passe par le mariage d'une Antoinette DUPLAY avec Marcellin MOREL en 1650 à St.Victor Malescours, puis par des alliances successives avec des CHOREL, PUGNET, PRUDHOMME, DEVILLE, GOUTAREL et BURLAT.

Pour celle de Paul, la filiation est beaucoup plus proche puisqu'elle passe directement par le mariage d'une Thérèse DUPLAY avec Paul ETIENNE en 1904 à Villette d'Anthon.


 4 - Les GOUTAREL ou GOUTARAY - Des familles de mineurs.

Depuis pas mal de temps, il y avait un blocage sur cet arbre, au niveau de la branche ascendante des DEVILLE et autres GOUTAREL. C'est maintenant arrangé !Un figure marquante est celle de Jean GOUTAREL, descendu en vallée du Gier avec ses frères pour trouver du travail dans les mines de charbon vers la fin du XVIII° siècle. Ces GOUTAREL sont issus d'une longue lignée d'agriculteurs, vivant du coté de Chuyer, des Haies ou de la Chapelle-Villars. Vers 1800, quatre garçons s'installent à Rive-de-Gier et trouvent du travail dans les Houillères locales. Notre ancêtre Jean trouvera une mort accidentelle précoce au puits Coste en 1816, à l'age de 44 ans, laissant quatre orphelins. L'un de ses petits-neveux, Jean Antoine Goutaray, réussira l'Ecole d'Aix, autrement dit l'ENSAM, et sera embauché par les frères MARREL qui le placeront à la direction des Forges de la Capelette à Marseille, où il s'éteindra en 1895, laissant une descendance sur Marseille et Nice.


 5 - Henri Martini (1894-1967) Les derniers combats 1918.

Henri MARTINI a servi au 415° Régiment d'Infanterie jusqu'au dernier jour de l'armistice du 11 novembre 1918.Alors que les pourparlers d’armistice se déroulaient à Rethondes entre le maréchal Foch et les plénipotentiaires allemands, la 163ème division commandée par le général Boichut reçut l’ordre de franchir la Meuse «coûte que coûte» le soir du 9 novembre 1918 dans la région de Dom-le-Mesnil et de Vrigne-Meuse. Cette ultime offensive menée dans la précipitation et l’improvisation, destinée à obtenir la capitulation de l’armée allemande, s’acheva le 11 novembre 1918 à 11 heures du matin. Comment s’est déroulée cette opération de Vrigne-Meuse qui coûta la vie à une centaine de soldats français supplémentaires dont la grande majorité appartenait au 415ème régiment d’Infanterie commandée alors par le chef de bataillon Charles de Menditte ? L’opération était-elle justifiée ? Pourquoi, cette opération dont fait état le dernier communiqué officiel de la Grande Guerre, est-elle restée confidentielle pendant 20 ans, et largement méconnue jusqu’à ce jour ?

Plus de détails ici :http://rha.revues.org/index291.html"

Dominique Venner - dans son Histoire de la Collaboration (Pygmalion, 2000) - revient dès le premier chapitre sur ces derniers combats du 3ème bataillon d'Henri Martini commandé par son Capitaine, un certain Lebreton, dont Maman se souvenait très bien dans les récits que lui en faisait son père. Il écrit :«Toute la nuit, l'artillerie allemande a pilonné la position. Plus de cent morts et disparus. Soudain, à 8H45, dans le vacarme des fusants, un homme réussit à traverser la passerelle. Il trébuche, agite un morceau de papier et hurla:"Ca y est ! C'est signé ! c'est fini !"»


 6 - Le Chanoine Camille BURLAT (1737-1794).

Camille BURLAT, prêtre et chanoine de l'église collégiale de Saint-Chamond , s'était retiré à Lyon , près de son frère , qui y exerçait le commerce. Dans cette ville, il rendait encore son ministère utile aux catholiques. Son frère ayant été obligé de prendre les armes, afin de défendre sa patrie contre les soldats de la Convention , rendit fort périlleuse la situation du chanoine , lorsque les assiégeants entrèrent dans la ville. Il engagea cet ecclésiastique à se sauver avec lui, parmi les assiégés qui fuyaient en armes ; le négociant, blessé dans cette fuite, put néanmoins échapper aux assiégeants , mais le chanoine tomba entre leurs mains. Traduit ensuite comme prêtre réfractaire devant le tribunal révolutionnaire, il fut condamné au dernier supplice, à l'âge de 57 ans, le 12 pluviôse an II (31 janvier 1794 ). Son frère Jean Jacques BURLAT, Marchand de Lyon, mourut des suites de sa blessure, et avec les dispositions d'un martyre, au village de Saint-Cyr près de Lyon.

[source : Vies des saints du diocèse de Lyon Par F. L. Collombert - page 302]

Ledit Chanoine, issu de la branche Saint-Chamonaise, était cousin avec nos aïeux Jean BURLAT x Antoinette SIBERT et Estienne BURLAT x Françoise CLERC.


 7 - Nos cousins d'Amérique.

Vers 1914, Paul CROZEL et Marie ETIENNE son épouse émigrent aux Etats Unis avec quatre de leurs enfants ; seule Roze (déjà mariée) et Pierre (appelé sous les drapeaux) restent en France. La famille s'installe dans le Montana, où Andrée épousera en 1917 un immigrant d'origine franco-canadienne, Joseph Croteau et ce couple aura une descendance qui vit encore dans l'Oregon - Pierre a malheureusement trouvé la mort au cours de la bataille de la Somme, en 1916 - En 1918, Marguerite épousera un immigrant norvégien, Olaf Rood - En 1919, Roze rejoint la famille aux Etats Unis, mais elle reviendra bientôt sur Nice et la Drôme où elle est la seule de la fratrie à être inhumée dans le caveau de Saint-Paul-lès-Romans - Puis, c'est Joseph qui se mariera à son tour et ira s'installer dans l'Idaho voisin, à Osburn ; son fils Paul mourra de manière tragique en avril 1958, à l'age de seulement 19 ans, dans un accident de voiture qui précipita le pick-up qu'il conduisait dans la Sandy River, et on ne retrouvera jamais son corps malgré des jours de recherche à bord d'un bateau que loua son père.

Le caveau de famille des Crozel se trouve à Spokane, au cimetière catholique de Holy Cross ; celui des Croteau se trouve à Eugene, au cimetière catholique de Mount Calvary. - Aujourd'hui Jim CROTEAU''' dirige toujours une chaine de restaurants et vit a Eugene (Oregon) ; sa soeur Marie Anne vit à Beaverton (Oregon). Ils ont eu chacun un enfant.


 8 - Les ESTIENNE et les ETIENNE

Nous sommes à l'origine des ESTIENNE-ROSSIGNOL, puis des ESTIENNE-PELISSIER (ou PELLISIER), qui vivaient dès le 15° siècle au hameau de Saint Antoine (aussi dénommé "la Pisse"), l'un des cinq hameaux de la commune de Pelvoux (les autres étant le Poët, le Sarret, le Fangeas, les Claux et Ailefroide) dans la vallée de Vallouise, en Briançonnais, commune autrefois dénommée "paroisse de Vallouise". Le surnom derrière le patronyme est très important, afin de distinguer les différentes branches d’une même famille en montagne. Les ESTIENNE sont en effet très nombreux ; néanmoins tous les ESTIENNE de la vallée descendent d’une seule et même souche.

En 1658, il se produit un événement malheureux qui va conduire Messire Vincent ESTIENNE, prêtre ordonné en 1645, à adopter deux neveux orphelins et les emmener avec lui à Saint-Lattier, où il doit prendre possession de la cure. De là, notre ancêtre le plus connu, Jean ESTIENNE, épousera une fille du village. Cette migration représente pour les spécialistes une réussite surprenante, car elle se prolonge sur plus de 10 générations. D'après un anthropologue spécialisé sur les migrations, il s'agirait du seul cas trouvé au XVe, XVIe et XVIIe siècle : généralement, chaque fois qu'un montagnard migre, avec l'aide d'un oncle curé ou d'un frère régent, il pénètre un marché matrimonial qui est déjà saturé, où les filles du village sont déjà promises et il "reste" au migrant soit une fille assez âgée (donc avec un potentiel de descendance moindre) soit une jeune veuve... Or - pour notre Jean - la suite sera toute différente ; il réalisera un beau mariage, duquel naîtront dix enfants.

Sur ce patronyme (le "S" de ESTIENNE a disparu à la Révolution), il reste de nos jours trois principales branches de descendants survivants du couple Claude ESTIENNE et Marie MIETTON. Mais du couple de la génération au dessus, il y en a bien davantage.

La première, issue de Jean, l'ancien Maire de Saint-Lattier, avec des ETIENNE, des LACUIRE, des HERMIL, des PAGES, des CLEMENT, des MASFRANC et des BERNARD qui se sont multipliés principalement à partir des régions lyonnaise et cannoise. Probablement aussi, des CREPEY en région parisienne...

La seconde, celle de Joseph dont les descendants, des MONTAGNAT-RENTIER, des VACHON, des HENRY et des COTTIN ont perdu le patronyme car il n'y a eu que des filles, et dont les descendants sont le plus souvent en Isère.

Et enfin la troisème, celle de Ferdinand, issue de St. Jean-en-Royans et Saint-Etienne, avec des ETIENNE, des BERTOIS, des GOUEDO, des PUPIER, des JULIAT, des HUART et des MANOPOULOS, essentiellement basés sur la région marseillaise et sur la Loire.

Tous ces patronymes ne constituent pas une descendance exhaustive car plusieurs branches restent inexplorées à ce jour.


 9 - Les "célébrités" cousines, présentes sur cet arbre.

Voir: Renée PUTMANN célèbre architecte-décoratrice, qui vient de disparaitre en janvier 2013, et avec qui nous cousinons par Antoine BURLAT & Antoinette BONNARD de St.Genis-Terrenoire - Charles BOSSUT Mathématicien et mécanicien qui vécut au 19° et avec qui nous cousinons par Pierre BRUYAS & Isabeau BAJARD, de Longes - Antoine PINAY Industriel, homme politique, maire de Saint-Chamond ancien ministre des finances français, et avec qui nous cousinons par Jean VELLERU & Jeanne DUMAS, de St.Genis-Terrenoire. - Gilles de ROBIEN homme politique français, ancien ministre, et avec qui nous cousinons par Simonet d'ARZAG & Antoinette de la Méerie, de Chatte - Jacques PERRET écrivain non-conformiste qui nous a quitté en 1992 et avec qui nous cousinons par Benoit GUTTON & Françoise VIRIEU de St.Martin la Plaine - Jean Baptiste BERLIER , Ingenieur de l'Ecole des Mines Saint Etienne & Inventeur du transport pneumatique ; on lui doit les principaux plans servant de fondation au métro parisien, avec qui nous cousinons par Jean BRUYAS & Françoise MALOZON de Trêves et Longes - Georges CHAVANES , ancien Président du directoire de Leroy Somer et avec qui nous avons (entre lui et sa femme [Anne Marie BALAS]) pas moins de 24 liens de cousinage, dont un sur Saint-Lattier. - l'Abbé PIERRE le fameux prêtre des pauvres et des démunis, et avec qui nous cousinons par Pierre BRUYAS & Claudine CHAMBERON de Longes - [Antoine François BRENIER de MONTMORAND] , Lieutenant Général de Napoléon, qui fit la campagne de Russie sous les ordres du maréchal Ney, et avec qui nous cousinons par Antoine BRENIER & Judith de RÜE de St.Marcellin. - Félix FAURE oui, l'ancien Président de la République qui mourrût mystérieusement en son palais de l'Elysée en 1899, et avec qui nous cousinons par Jean FAYOLLE & Benoite MOULIN de Larajasse - Franck RIBOUD le Président de danone, avec qui nous cousinons par Antoine BURLAT & Antoinette BONNARD de St.Genis-Terrenoire - Albin CHALANDON ancien ministre et ancien Président d'Elf, contemporain, et avec qui nous cousinons aussi par Antoine BURLAT & Antoinette BONNARD de St.Genis-Terrenoire - Philippe ETIENNE Normalien, Enarque et Diplomate en poste à Bruxelles comme représentant de la France, et avec qui nous cousinons par Claude ETIENNE & Marie MIETTON de St.Lattier - Pierre DURET Médecin qui inventa la vaccine et Marc SEGUIN inventeur et constructeur génial marié à une DURET, et avec lesquels nous cousinons par Pierre CHAMBERON & Florie CHARMEL de Longes - Désiré BANCEL député républicain ami de Gambetta et de Victor Hugo et avec qui nous cousinons par Jacques BANCEL & Marie BOUILHAC de Desaignes - Pierre Emé de MARCIEU Lieutenant-général commandant en Dauphiné et avec qui nous cousinons du coté de sa femme née PRUNIER par Simonet d'ARZAG & Antoinette de la MEERIE de Chatte - Jean Gabriel MARCHAND Avocat & Général d'Empire et avec qui nous cousinons par Nicolas CLEMENT & Magdeleine PAIN de Saint-Lattier - François Léonce VERNY Ingénieur constructeur du chantier de Yokohama au Japon et avec qui nous cousinons du coté de sa femme par Antoine BRENIER & Judith de RÜE de Saint-Marcellin - Jean Baptiste DUGAS-MONTBEL écrivain, Député de Lyon, Membre de l'Académie des Belles Lettres, avec qui nous cousinons par Guillaume BROSSY de Saint-Christo-en-Jarez - Irène FRACHON célèbre pneumologiue qui vient de dénoncer le scandale du Médiator, et avec qui nous cousinons par Antoine BURLAT & Antoinette BONNARD de St.Genis-Terrenoire - Jacques BARROT l'ancien ministre, avec qui nous cousinons par plusieurs voies, dont Gabriel ESCOFFIER & Marthe SEVE de Cellieu -


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