A participé à la Grande Guerre, mort le 15/07/1918Que s'est-il passé ce jour là ?Domicile lors de la mobilisation : Nantes (44) |
Parents
- Julien Francois CHATELLIER 1859-1908
- Marie Rose Jeanne PAJOT 1860-1940
Fratrie
Jules Constant CHATELLIER 1886-1918
Marie CHATELLIER 1887-1984
Notes
Naissance
1er cantonDécès
Classe 1906, n° matricule 189 au Corps, n° matricule 563 au recrutement de Nantes, incorporé au 2ème régiment de cuirassiers le 1er octobre 1907, brigadier le 26 septembre 1908, brigadier fourrier le 28 décembre 1908, envoyé en congé le 25 septembre 1909, passé dans la réserve de l’armée active le 1er octobre 1909, rappelé à l’activité le 3 août 1914, passé au 54ème bataillon de chasseurs le 17 novembre 1914, sous-lieutenant à titre temporaire le 6 avril 1915, sous-lieutenant à titre définitif le 20 septembre 1915, lieutenant à titre temporaire le 4 août 1916, blessé le 24 septembre 1916 à Cléry (Somme) « plaie en séton de la cuisse droite par éclat d’obus », lieutenant à titre définitif le 26 octobre 1916, ancienneté de sous-lieutenant à titre définitif fixée au 6 avril 1916 par application de la loi du 10 août 1917, passé au 62ème bataillon de chasseurs le 11 janvier 1917, capitaine de réserve à titre temporaire pour prendre rang du 1er juillet 1918, blessé le 15 juillet 1918 région de Perthes, mortellement à la tête par éclat d’obus,
Mort pour la France « tué à l’ennemi ».Acte de décès transcrit à Nantes le 16 juin 1919.Croix de Guerre. Cinq citations.
Citations à l’ordre de la 47ème division n° 7 du 16 mars 1915 : Agent de liaison avec un corps voisin a accompli sa mission avec le plus grand courage et la plus grande intelligence. A pris à un moment critique le commandement d’une fraction d’infanterie.
Citation à l’ordre de la 129ème division n° 59 du 15 septembre 1915 : A pris le commandement d’une compagnie autre que la sienne, complètement désorganisée, l’a remise en main et a tenu énergiquement avec elle.
Citation à l’ordre de la 47ème division n° 46 du 22 septembre 1916 : Officier brillant, venu sur sa demande, comme sous-officier de cavalerie, dans l’infanterie. Nommé sous-lieutenant au feu, cinq mois après son arrivée au bataillon en raison de sa brillante conduite au cours des combats du 20 au 28 février 1915. Modèle de courage et de sang-froid, s’est particulièrement distingué le 18 août 1916, en enlevant un peloton à l’attaque d’une position ennemie et en organisant la position conquise sous un bombardement violent, donnant à tous ses hommes le plus bel exemple de calme et du mépris du danger. Déjà 2 fois cité à l’ordre de la division.
Un avis de convoi funèbre est publié dans Le Phare de la Loire du 28 janvier 1921. Le deuil se réunit à l’église Saint-Félix le samedi 29 janvier1921.
Inhumé à Miséricorde le 29 janvier 1921Inscrit sur le monument aux Morts de Nantes
Photos & documents
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