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1 média disponible 1 média disponible A participé à la Grande Guerre, mort le 06/10/1915Que s'est-il passé ce jour là ?Domicile lors de la mobilisation : Arlet (43) |
Parents
- Guillaume TRINQUART 1829-1914
- marie Catherine CLAUSE 1849-
Union(s) et enfant(s)
- Marié le 27 octobre 1909, Soulages, 15100, Cantal, Auvergne, France, avec Jeanne henriette DELORME 1890-1962 dont
Jean Guillaume Désiré TRINQUART 1911-
Jules Marcel TRINQUART 1914-1976
Renée henriette baptistine TRINQUART 1915-1989
Fratrie
Jean TRINQUART 1877-1877
Mélannie TRINQUART 1879-1887
frédéric TRINQUART 1883-1915
Demi-frères et demi-sœurs
Du côté de Guillaume TRINQUART 1829-1914 |
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Notes
Notes individuelles
65e bataillon de chasseurs à pied : J.M.O. > J.M.O. • 1er juin 1915-15 mars 1916 • 26 N 833/2
1er octobre 1915
Le bataillon occupe toujours les mêmes positions. Pas de changement durant toute la journée et rien à signaler sauf un bombardement assez violent vers le soir. A 22H la relève du bataillon par le 170ème de ligne commence. Elle est achevée à 1H. le bataillon vient passer la nuit dans les anciennes tranchées françaises de 1ère ligne, à 1km est de souain.
Ordre de bataillon n°44
Tableau nominatif des officiers au 1er octobre 1915
5 HRchef de batailloncommandant Rousselot
Officier adjoint De détail lieutenant Bénard, D’approvisionnement lieutenant Hazouard Médecin aide major 1ère clMr. Gardey
D’aide 2ème clM. Colas PDM commandant lieutenant Sax Adjoint sous lieutenant Heritier
1ère cnie commandant lieutenant Lheureux
2ème cnie commandant lieutenant Ravallec Sous lieutenant Dürel
3ème cniecommandantcapitaine Chrisment
4ème cniecommandantlieutenant Bourel
Pertes : officiers néant troupes 1 blessé
2 octobre 1915
Un renfort de 156 hommes venant du 92ème de ligne (dépôt mobile) arrive au bataillon.
Celui-ci occupe toujours les mêmes tranchées que la veille. La journée se passe sans incidents. A 20H le bataillon quitte cet endroit pour aller s’établir dans les anciennes tranchées de 1èrelignes allemandes (récemment prises) au bois de sadowa 4km nord est de souain.
Pertes néant.
3 octobre 1915
Le bataillon occupe les mêmes emplacements. Situation sans changements. Pendant la nuit les hommes font des travaux pour s’abriter des obus, car est assez nourri par moments.
Pertes néant.
4 octobre 1915
Le bataillon reste au même endroit. Continuation des travaux défensifs. Bombardement intense toute la journée.
Pertes officiernéant troupes tués 3 Blessés 6 Disparus 2
5 octobre 1915
Même emplacement. Travaux de défenses. Bombardement excessivement violent toute la journée.
Ordres bataillon N°46 – N°47
Effectif :officiers 12hommes 996(reçu renfort 156)
Pertes officier néant troupe 1 blessé
6 octobre 1915
Le bataillon part à 1H. L’ennemi bombarde toujours violemment avec des obus suffocants le fond du ravin de sadowa. Les chasseurs sont fortement incommodés par le gaz asphyxiants. Après bien des difficultés pour se guider dans la nuit, très sombre, le bataillon arrive à ses nouveaux emplacements (bois U25) derrière le 294ème. Celui-ci doit mener une attaque, et le bataillon la soutenir, contre le saillant 1257 (extrémité ouest de la butte de souain ; entre la tranchée de la kulture et la tranchée des satyres). Cette attaque ce déclenche à 5H1/2 ; commencée par le 294ème elle dure jusqu’à 9H, mais sans grand succès. Il y a en avant un blockhaus de mitrailleuse boschs qui fait un tir de barrage infranchissable, et les fils de fer allemands paraissent intacts.
Depuis le début de l’attaque le bataillon fait partie de la 111ème brigade ( lieutenant colonel Pougin).
Le 294ème reprend ses positions de départs et la préparation d’artillerie commence, le bataillon doit attaquer.
Ordre brigade 111 P.C. 15H20. 6/10/15 « je fais appuyer votre mouvement immédiatement par 2 compagnies du 294 ; tachez néanmoins d’appuyer votre compagnie qui a pris pieds dans 1257 ; il importe de vous y établir et de déblayer la tranchée U6 et P18. ».
Ordre brigade 111 14H40 du lieutenant colonel Pougin (ordre à placer avant le précédent)
« voyez si par bois U5 pouvez faire reconnaitre existence de brèches dans réseaux fils de fers entre 1257 et 1258. ».
Le bataillon prononce l’attaque à l’heure dite ; il a ordre de s’emparer de 1257. Les 4 compagnies forment 4 vagues.
La 1ère compagnie rigoureusement enlevée par son chef prend pieds dans les tranchées allemandes et les dépasse sans les nettoyer. La 2ème qui suit à quelque distance est arrêtée par un barrage violent de mitrailleuses et se trouve décimée avant d’arriver aux tranchées allemandes, elle s’accroche au terrain. La 3ème compagnie est en retrait vers la droite et la 4ème plus en arrière.
Le mouvement en avant devenant impossible puisque toutes les sections sont successivement fauchées, le capitaine commandant le bataillon (capitaine Chrisment), qui viens de remplacer le capitaine Rousselot assez grièvement blessé, donne ordre à la 4ème compagnie d’attaquer le saillant 1257, par le ravin à l’ouest du bois U5. Ce mouvement s’exécute avec entrain malgré de grosses pertes et dans la soirée les 3 compagnies encerclent le saillant à une distance variant de 30 à 100 mètres ( voir ordres I et II si dessus).
Deux compagnies du 294ème sont mises à disposition du bataillon, appuyant le mouvement à l’ouest. L’attaque est prête lorsque des ordres arrivent de reprendre les positions précédentes tout en conservant par des fractions, le terrain conquis. Il faut donc abandonner la 1ère compagnie à bon sort, car le cercle c’est refermé ; elle est vraisemblablement prisonnière, les allemands occupent de nouveau leur 1ère tranchée.
Ordre brigade 111 16H40 lieutenant colonel Pougin : « vous fait appuyer de 2 compagnies du 294 ; faite tout vos efforts après entente commandement de ces 2 compagnies pour prendre pieds dans 1257. Fais prévenir le lieutenant colonel du 294ème de ces dispositions. L’artillerie va exécuter nouvelle préparation, mais à reçu ordre de ne pas tirer entre 1257 – 1258 et 200m au nord. ».
Ordre brigade 56ème DI 18H20 « Toute attaque nouvelle est suspendue, les ordres suivront ».
La nuit est employée à exécuter des tranchées à moins de 40m des lignes allemandes. Elles en sont si rapprochées qu’elles s’enchevêtrent dans leurs réseaux de fils de fers. Deux boyaux relient ces tranchées nouvelles aux tranchées françaises de 1ère ligne. (ordre brigade n°9)
Pertes :officiers tués0 Blessés2 Disparus2 troupes tués32 blessés98 disparus181
Commandant ROUSSELOT blessé le 6
du 5 au 9 octobre 1915 le 65è se sacrifie entierment à la butte de souain en attaquant tous les jours les lignes allemandes sous un violent bombardement réduit à une poignée d'hommes, il à perdu son chef, le commandant ROUSSELOT, blessé le 6.
à été qualifié par le général PAULNIER commandant le 6è corps d'armée "troupe d'élite qui c'est magnifiquement montrée"
frédéric trinquart est mort à la guerre de 14-18 le 6/10/1915 à la butte de souain (marne) tué à l'ennemi matricul au corps 05907 au 65é bataillon de chasseurs à pieds. est nommé sur monument aux morts à arlet à l'intérieur de l'église. signalement cheveux et sourcils noirs yeux bruns front ordinaire nez grand bouche moyenne menton rond visage ovale taille 1m51
voir http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/fr/resultpatro.php
-compagnon du 65 BC mort au combat avec lui le 06/10/1915BACHELART Fernand Alfred Joseph,BARRES François Félix,CARON Francois Nicolas,CHAMBON Antoine,CHASTANG Joseph Jean Baptiste,CHAUX Jean Marie,DOUAY Edouard Joseph,FACON Marcel Leon,HENRIET Louis Henri,LAMBERT Alexis Marin,LEFEBVRE Alexandre,LIENARD Clodomir,MOREAU Alexandre André,PARMENTIER Joseph Almir,PIEDANNA Désiré Adolphe,WAGNER Alfred,MAZOCKY Lucien Jean Baptiste,MAURAGE Adolphe,BRICOUT Georges Joseph,GRANDIN Ismael,DHERBOMEZ Barthélémy Hubert,BLISSON Paul Henri,
Naissance
à comparu trinquart guillaume 55ans né de lui et de clause marie 35ans. en présence de ceysset antoine 43ans et de clause baptiste 31ans cultivateurs à arletNotes concernant l'union
Union avec Jeanne henriette DELORME
en présence de 1-pierre VIERNE agé de 55ans cultivateur à soulhac commune de saint cirgues cousin de l'époux, 2-Antoine CLAUSE agé de 26 ans cultivateur à arlet cousin germain de l'époux. 3-Antoine DELORME agé de 71ans cultivateur à la fage commune de vedrine saint loup cousin de l'épouse. 4- jules DELORME agé de 26ans cultivateur domicilié au chef lieu de la commune de montchamps demeurant en ce moment à soulages cousin de l'épouseSources
- Naissance: page 3
- Union: page 24
- Décès: page 2 décés 1920 à Arlet
Photos & documents
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