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2 médias disponibles 2 médias disponibles A participé à la Grande Guerre, mort le 22/08/1914Que s'est-il passé ce jour là ?Domicile lors de la mobilisation : Prailles (79) |
Parents
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Union(s) et enfant(s)
Marié le 27 novembre 1912 (mercredi), PRAILLES,79370,F79,PCH,FRA, avec EMMA MARIE MIGAULT 1890-1984 (Parents :ALEXANDRE LOUIS MIGAULT 1863-1943 & MARIE RENAULT 1870-1938)(voir note)dont; - MARTHE MARIE RENAULT 1914-2015
Fratrie
CLÉMENTINE MARIE RENAULT 1886-1979
HYACINTHE ALEXANDRE RENAULT 1889-1914
BIEN-AIMÉ THEOPHILE RENAULT 1891-1978
ABEL ETIENNE RENAULT 1893-1960
AGATHE ADELINE RENAULT 1895-1962
EVA LEA RENAULT 1897-1976
EDMOND RENAULT 1898-1986
Notes
Notes individuelles
"mort pour la France" 3 ème régiment d'infanterie coloniale.
Le journal du régiment publié sur le site Mémoire des hommes fait état d'un nombre impressionnant de tués :
. La 3ième division d’infanterie coloniale française se bat à Rossignol. C’est un des grands désastres de la bataille des frontières. Ce corps d’élite, composé de volontaires a bivouaqué ici, et le lendemain à Rossignol l’unité entière, officiers, troupiers, intendants, infirmiers, clairon et musique était entourée et anéantie. Prise à partie par deux divisions allemandes, sans liaisons, la 3ième DIC n’avait aucune chance. Comme toujours, les officiers français sacrifient leurs troupes au panache de l’attaque, tandis que le Hun sera lui économe de ses troupes.
Il est près de huit heures, le 2ième bataillon (de 750 à 1.000 soldats) du 1er R.I.C. qui formait l'avant garde et qui marchait en colonne de route derrière les dragons, s'engage à gauche et à droite de la chaussée, pour forcer le passage. En face tout un régiment (4 bataillons 3.600 hommes) allemand : le 157ième R.I. Une lutte atroce à 1 contre 4 s'engage dans les sous-bois. Les clairons sonnent la charge sans arrêt et les Marsouins, en pantalon garance et képi, se lancent en avant, chargeant "à la fourchette !" Les Allemands, plus prudents, en gris et casques d'acier, utilisent le terrain, des carrières et des levées de terre leur offrent des retranchements tout préparés. Leur feu est terriblement efficace et le 2ième bataillon du 1er R.I.C. subit d'effroyables pertes. Alors le général français engage les deux autres bataillons du 1er R.I.C. Mais le Général commandant la XIIième division silésienne, au lieu de chercher, comme son adversaire, à forcer le passage à tout prix, décide de déborder par l'ouest la résistance française. Pour ce faire, il engage, dès avant neuf heures, le 63ième régiment d'infanterie soutenu par un groupe d'artillerie, sur les layons de la forêt de Chiny, qui débouchent au nord du village des Termes. À l'est, la XIième division qui progresse rapidement a des vues sur la cuvette Breuvanne-Rossignol où piétinent les gros de la 3ième D.I.C. Le chef allemand apprécie rapidement et sainement la situation et, sans désemparer, pousse ses forces sur Tintigny et Saint-Vincent pour couper la retraite de la colonne française engagée au nord de la Semoy et qui ne dispose que du pont de Breuvanne pour se replier. Ce pont devient l'objectif prioritaire de l'artillerie de la XIième division et Breuvanne est menacé par un bataillon de grenadiers.À Rossignol, le général commandant français s'entête à vouloir forcer le passage, il engage deux bataillons du 2ième R.I.C. pour soutenir le 1er régiment. Vers 10 heures le recul de tout le 1er régiment paraissant inévitable, il confie au général adjoint le soin d'organiser un centre de résistance à Rossignol ; le bataillon du 2ième R.I.C. non engagé dans la forêt et le 3ième R.I.C. (qu'un officier de liaison est allé chercher au sud de Breuvanne où il doit se trouver car il marche derrière l'artillerie divisionnaire arrêtée en colonne de route entre Breuvanne et Rossignol) assureront la défense du village. Il n’y eut pas un seul rescapé. Les Allemands massacrèrent les Français, ne faisant aucun prisonnier et pour se venger de la résistance qu’ils avaient rencontrée assassinent tous les habitants civils de Rossignol qu’ils peuvent attraper.
Le 1er Colonial eut plus de 2.000 tués, mais les Allemands en avouèrent 5.000. ( merci à Michel Hourman )Demeure à Fombedoire de Sepvret au mariage avec ses parents et ses frères et soeurs
Notes concernant l'union
Relie avec: BIEN-AIMÉ THEOPHILE RENAULT (1891-1978), Type: témoin
Relie avec: ALIX BONNEAU (1884-1918), Type: témoin
Relie avec: AUGUSTIN MIGAULT (1866-1944), Type: témoin
Relie avec: THÉOPHILE THIBAULT (1863-), Type: témoin
Sources
- Famille: étatc civil prailles archives 79 4E 224 17 acte 7 année 1912
Photos & documents
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